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Podcast : 10 raisons pour lesquelles vous ne devriez pas être salarié

Pour ce quatrième podcast, je vous donne 10 raisons pour lesquelles être un employé n’est vraiment le statut idéal pour vivre une vie libre, heureuse et épanouie, et j’insiste sur les formes d’aliénation que peuvent représenter le travail salarié. Je présente la création d’entreprise – avec une approche de business et pas technicienne – comme une bonne solution à cette aliénation qui consiste à croire que l’on doit passer du temps pour gagner de l’argent.

A la fin, je donne un exemple de business model qui peut être lancé avec des frais minimes sur Internet aujourd’hui, et explique son caractère automatisé à presque 100%.

Vous pouvez écouter ce podcast en live en cliquant sur le bouton Play en haut, téléchargez le MP3 en cliquant sur Download, ou le récupérer dans iTunes directement.

Livres dont je parle dans le podcast :

  • De la brièveté de la vie de Sénèque, qui parle de l’affairement dans lequel la plupart des personnes se débattent afin de se donner l’impression de vivre. Elles sont semblables à un navire qui dérive au large du port pendant une tempête, alors qu’un autre fait toute voile fait son port de destination : l’un est beaucoup secoué, l’autre a beaucoup vécu.

Vous pouvez lire ce livre gratuitement sur Wikisource ou l’acheter pour moins de 2,50 € sur Amazon :

 
Vous pouvez aussi en lire un extrait tout en faisant un test de vitesse de lecture sur ce blog.
 
  • La Semaine de 4 heures de Timothy Ferris, qui vous donne des pistes, méthodes et astuces pour libérer votre temps, créer vos business automatisés sur Internet, et parcourir le monde.

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  • The E-Myth Revisited de Michael E. Gerber, qui explique de manière brillante pourquoi la plupart des créateurs d’entreprise ont une approche biaisée dès le départ en adoptant une approche technicienne de leur entreprise, et comment y remédier avec de nombreuses méthodes et astuces pour automatiser un business offline.

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  • Walden ou la vie dans les bois de Henry David Thoreau, qui raconte l’expérience de deux ans de ce philosophe Américain qui partit dans une cabane dans les bois, non loin de Walden, pour vivre une vie simple et proche de la nature.

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Transcription texte (littérale) du podcast :

Bonjour, c’est Olivier du blog: des livres pour changer de vie. Bienvenue sur ce quatrième Podcast dans lequel je vais vous donner 10 raisons pour lesquelles vous ne devriez pas avoir  d’emploi mais plutôt créer votre entreprise.

Mon propos dans ce Podcast est d’argumenter sur le fait qu’être employé, ce n’est vraiment pas la chose la plus idéale, et qu’il y a beaucoup de choses à gagner à créer son propre  business, à se lancer dans l’aventure, malgré les risques que cela comporte.

Pour ceux qui ne me connaitraient pas, je suis Olivier Roland, j’ai 28 ans et j’ai créé mon entreprise à 19 ans, dans les services informatiques. C’est une aventure que j’ai tentée très tôt, je sais donc de quoi je parle, j’ai pris à l’époque beaucoup de risques et c’est cette expérience, cet esprit d’entrepreneur, que je vais tenter de partager avec vous aujourd’hui.

La première raison, c’est tout simplement l’argent. Si vous n’aimez pas l’argent, s’il est tout en bas de vos priorités, est que vous êtes salarié, tant mieux. Tant mieux, car être salarié, c’est la pire manière au monde de gagner de l’argent, c’est la moins efficace.

Pourquoi? Tout simplement, être salarié signifie échanger son temps contre de l’argent. Cela veut dire que vous ne pouvez pas gagner de l’argent sans y passer du temps.

Si vous avez baigné dans cet état d’esprit selon lequel, pour gagner de l’argent il faut y passer beaucoup de temps, ce que je vous dis va peut-être vous paraitre très étonnant, voire bizarre. Vous vous dites sans doute que c’est un peu le monde à l’envers, mais moi, je vous pose la question:  » pourquoi d’après vous il faudrait absolument passer du temps pour gagner de l’argent? Pourquoi ne seriez-vous pas payé, 24h/24, 7j/7, pendant que vous mangez, pendant que vous dormez, pendant que vous partez en safari en Afrique, pendant que vous partez faire du ski à la montagne….? »

Cela peut paraitre un peu surréaliste, mais est ce que vos plantes s’arrêtent de pousser quand vous arrêtez de les arroser? Non. Gagner de l’argent sans travailler et tout à fait possible, et cela existe depuis longtemps. Un des moyens classiques de le faire, c’est d’investir dans l’immobilier.

Une fois votre emprunt remboursé, les loyers constituent un revenu passif, c’est-à-dire que l’argent gagné est dissocié du temps que vous devez y passer. Si vous avez plusieurs appartements dont les crédits sont remboursés, bien sûr vous devrez peut-être y passer un peu de temps, mais le revenu que vous gagnerez sera indépendant du temps que vous y passerez.

Bien évidemment, c’est le rêve de presque tous de pouvoir gagner de l’argent sans rien faire, mais le but n’est pas de ne rien faire. Le but est de pouvoir dissocier le temps de travail du revenu pour être libre de faire ce que l’on souhaite. Si l’on a envie de travailler, on peut travailler.

Créer une entreprise n’implique pas forcément de pouvoir dissocier le temps que l’on y passe de l’argent que l’on gagne. Au contraire, beaucoup de créateurs d’entreprises ont une approche biaisée à la base, technicienne. C’est d’ailleurs l’approche que moi-même j’ai eu lors de ma création d’entreprise. Ils conçoivent leur entreprise comme leur job. Au final, ils répètent dans leur entreprise le modèle du travail salarié qu’ils ont vécu avant.

Par exemple, ils vendent des heures de prestations ou ils n’ont pas créé un système suffisamment autonome pour qu’ils puissent diminuer leurs horaires de travail ou faire une pause. D’où le fait que beaucoup de chefs d’entreprises ont des semaines de travail énormes qui dépassent les 70 heures pour un revenu, qui est parfois bien inférieur, en termes de taux horaire, à celui d’un salarié qui a moins de responsabilités.

Néanmoins, créer une entreprise et être à la tête d’une entreprise offre beaucoup plus de possibilités de dissocier son temps de travail de ses revenus que le travail salarié. Lorqu’on est salarié, c’est quasiment une mission impossible, à moins de trouver des sources de revenus extérieures à son travail.

Lorsqu’on est chef d’entreprise, on est libre de pouvoir créer un système, un business, donc de ne pas avoir une approche technicienne, c’est-à-dire de concevoir son entreprise pour se créer un métier, mais de créer une entreprise pour créer un business autonome qui tourne plus ou moins sans nous, en fonction des contraintes du chef de l’entreprise.

Ainsi, nous sommes beaucoup plus libres de disposer, de créer une source de revenus, qui nous évite l’obligation de travailler. C’est là toute l’importance. Selon moi, on ne peut pas vivre une vie pleinement libre, si on ne dispose pas d’une source de revenus qui nous permettre de faire ce que l’on veut. À partir du moment où l’on est obligé de travailler pour pouvoir vivre, il y a une restriction à notre liberté fondamentale d’être humain.

Ce qui est clair, c’est que pour nous, être humain, à la vie si brève, si limitée dans l’immensité de l’univers, c’est que notre temps est vraiment très précieux. Notre temps, c’est ce que nous avons de plus précieux; il ne peut pas se mettre en banque, il ne peut s’économiser, ni s’empiler dans un coin en attendant d’être utilisé. Tout temps non utilisé est du temps perdu.

Comme notre temps est ce que nous avons de plus précieux, nous ne devrions pas l’échanger pour de l’argent au-dessous d’un taux très avantageux.

Le temps salarié n’est pas un échange de temps contre de l’argent avantageux. Si notre temps est si précieux, le fait d’être obligé de consacrer une grande partie à une obligation, à un travail que nous sommes obligés de faire pour vivre, nous enlève une grande partie de notre vie.

Certains pourraient évoquer la passion de ce que l’on fait, la passion du travail…cependant dans les entreprises, la majorité des gens ne sont pas passionnés par ce qu’ils font. La majorité des personnes travaillent pour vivre, payer le loyer, la nourriture, l’éducation des enfants, etc…

Bien sûr qu’il y a des personnes passionnées par leur métier qu’elles apprécient, mais elles représentent une exception. Alors que la majorité des personnes ne sont pas du tout passionnées par leur métier. Quand bien même, elles le seraient, est-ce qu’il y a beaucoup de personnes qui sont passionnées par la même chose pendant 30 ou 40 ans? Je ne le pense pas. Bien sûr, il existe des possibilités d’évoluer, cela dépend de l’ambition que l’on a, de la position que l’on occupe, mais quand on a une entreprise, on a beaucoup plus de possibilités de changer, de briser la routine, de s’embarquer dans des aventures excitantes, que lorsque l’on est employé.

De quoi vous rêvez la nuit? Est-ce que vous rêvez de votre travail ou d’autre chose? Je pense que disposer d’une source de revenus qui ne nécessite pas de travailler ou nécessite un travail minime, permet dans la majorité des cas aux personnes qui en bénéficient de pouvoir explorer à fond ce qu’elles sont vraiment, de pouvoir s’épanouir beaucoup plus complètement et de pouvoir apporter une plus grande contribution au monde, car comme elles n’ont plus d’obligation de travailler, elles vont se lancer à corps perdu dans ce qui les passionne.

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Et souvent ce qui nous passionne, ce sont les domaines dans lesquels nous sommes les meilleurs et dans lesquels nous avons le plus de choses à apporter. Je vais prendre l’exemple de deux personnages que j’admire, Voltaire et Beaumarchais qui ont vécu à peu près à la même époque, au XVIIIe siècle.

Voltaire et Beaumarchais sont des personnes qui ont construit une immense fortune, l’un en spéculant, l’autre en faisant du commerce. Je ne pense pas qu’ils auraient pu apporter tout ce qu’ils ont apporté à la philosophie et à la littérature, à la Révolution française, à la philosophie des lumières, etc. s’ils n’avaient pas été libérés de cette obligation de travailler.

Je pense qu’il y de nombreux exemples comme ça, d’écrivains, d’artistes et d’autres personnages importants qui, ont trouvé le moyen de se libérer de cette obligation de travailler et qui, à partir de ce moment, ont pu vraiment apporté au maximum leur contribution au monde. Cette contribution est bien plus importante que tout ce qu’ils auraient pu faire dans un travail classique.

Voilà pour la première raison. Néanmoins si vous créez votre entreprise, soyez très attentif au fait de créer un business et non pas votre job, au fait de créer un système et de travailler non pas dans votre entreprise mais pour votre entreprise.

Pour approfondir ces notions de temps, d’argent, de système, je vous encourage à lire trois livres; le premier c’est:  » De la brièveté de la vie » de Sénèque. Ce livre a presque 2000 ans, mais il n’a pas perdu une ride.

Sénèque était à la fois un grand philosophe stoïcien et en même temps l’un des personnages les plus riches de Rome à son époque, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir une philosophie de vie qui n’était pas matérialiste, mais il envisageait l’argent comme un moyen de pouvoir libérer son temps et de pouvoir vivre pleinement.  » De la brièveté de la vie » est sur internet, il vous suffit de taper dans Google et vous trouverez le livre en question.

La semaine de 4 heures de Timothy Ferriss, qui lui s’inspire fortement du stoïcisme pour expliquer pourquoi il est important de dissocier le temps que l’on passe de l’argent qu’on gagne.

Il donne différentes pistes pour y parvenir, comme le business automatisé, la délégation, et que faire de son temps une fois qu’il a été reconquis.

Enfin « The e-myth », c’est un livre en anglais, non traduit en français qui présente de manière extrêmement pertinente le piège dans lequel s’enfoncent de nombreux créateurs d’entreprise dans la manière dont ils abordent leur entreprise, de manière technicienne, en se disant j’ai de bonnes compétences techniques dans tel domaine, donc je peux faire un bon chef d’entreprise.

Cela est faux. Une entreprise, c’est différent d’un métier. Et si vous voulez pouvoir dissocier l’argent que vous gagnez, du temps passé, vous devez avoir une approche de chef d’entreprise et concevoir votre société comme un business ou un système à part entière.

Vous pouvez retrouver un lien vers tous ces livres que je cite dans ce Podcast, dans l’article qui lui est associé sur mon blog « des livres pour changer de vie ».

La deuxième raison pour laquelle vous ne devriez pas avoir d’emploi, mais plutôt créer votre entreprise, c’est tout simplement que, si vous êtes salarié, vous contribuez à bâtir le rêve de quelqu’un d’autre.

Certes, lorsque vous êtes employé, il y a des avantages à intégrer une organisation déjà existante, de ne pas avoir à réinventer la roue, d’être plus ou moins guidé en fonction de l’organisation ou de l’entreprise, d’être dans un cadre rassurant et surtout qui est approuvé par la majorité des personnes.

Mais dites-vous quelque chose: une entreprise ne peut survivre si elle n’est pas rentable. Pour qu’elle soit rentable, il faut que ses employés lui rapportent plus que ce qu’ils ne lui coûtent.

Cela veut dire que de votre point de vue, ce n’est vraiment pas avantageux, car vous n’allez pas avoir un retour à 100% de la valeur de ce que vous apportez à votre entreprise. Cela est normal, car vous devez apporter plus à votre entreprise pour qu’elle vous garde.

Néanmoins, quand vous êtes chef d’entreprise, vous pouvez maximiser la valeur ajoutée que vous apportez aux autres, vous pouvez de plus obtenir un retour sur investissement par rapport à cette valeur qui est de 100%. Et en plus vous pouvez également utiliser la valeur de tous les autres pour la transformer en revenus financiers.

Votre rôle sera, en fonction de votre organisation, de savoir tirer parti de la valeur de chacun et de faire en sorte que chacune de ces valeurs contribuent de manière harmonieuse au tout. Quoi qu’il en soit, les créateurs d’entreprise souvent réalisent un rêve lorsqu’ils créent leur business, que celui-ci soit leur rêve en lui-même ou qu’il soit un moyen pour eux d’accéder à ce rêve. En étant pris dans une structure comme celle-là, vous mettez vos rêves de côté pendant le temps que vous travaillez.

Vous pouvez essayer de réaliser votre rêve le soir ou le matin quand vous êtes chez vous, mais, pendant que vous travaillez pour cette entreprise, vous ne travaillez pas à vos rêves et vous contribuez à construire le rêve de quelqu’un.

J’en viens à la troisième raison qui est corrélée à la première et à la deuxième. Travailler dans une entreprise qui n’est pas la vôtre, c’est comme si vous étiez un locataire. Comme si vous louiez un appartement ou une maison et que le loyer était plus cher que le crédit de remboursement du propriétaire.

C’est dire qu’au final, quelqu’un est beaucoup plus gagnant que vous. Si vous payez un loyer de 500 euros, et que votre propriétaire rembourse un crédit de 400 euros par mois, il gagne 100 euros par mois et en plus il est propriétaire de l’appartement à la fin. Donc vous jetez votre argent par la fenêtre et vous contribuez à enrichir quelqu’un. De plus si ce propriétaire connait des difficultés financières, il pourrait vous renvoyer de son appartement, avec un simple un préavis et quelques indemnités.

Et c’est cela finalement être employé dans une entreprise. C’est non seulement sacrifier ce que l’on a de plus précieux contre la manière la moins efficace de gagner de l’argent, c’est aussi aider à la construction de quelque chose qui ne nous appartient pas, et d’une structure dont nous pouvons être éjecté du jour au lendemain, sans bénéficier du tout de tout ce que nous avons apporté à cette entreprise, hormis l’expérience  que nous avons acquise.

Si vous êtes un chef d’entreprise, l’entreprise que vous bâtissez vous appartient. Toute la valeur, que vous y mettez, toutes les choses qui font qu’elle grandisse, au bout d’un moment, paieront un jour ou l’autre, car si vous avez bien construit votre entreprise comme un business et non comme un métier, le jour où vous en aurez assez, vous pourrez, tout comme vous pouvez vendre un appartement qui vous appartient, vendre cette entreprise.

Donc, être créateur d’entreprise, ça nous permet en plus de la source de revenus que nous créons et qui dans l’idéal est dissociée de notre travail, de construire quelque chose qui se capitalise et que nous pouvons revendre plus tard. Là, vraiment, le salarié est perdant sur tous les tableaux.

Cela nous amène à la quatrième raison qui est qu’aujourd’hui, la sécurité de l’emploi est une illusion, à part si vous êtes fonctionnaire bien sûr, mais être employé aujourd’hui, par sécurité, par peur de se retrouver au chômage, c’est une illusion. Il existe très peu d’entreprises où il y a une vraie politique sociale du salarié.

Par exemple, parmi mes clients se trouve la société Peugeot, où j’ai pu constater dans les filiales commerciales que je fréquente, qu’il y a une vraie politique sociale du salarié. Par exemple, j’ai vu des femmes de 55 ans, qui avaient plus de 30 ans de boutique, qui n’étaient plus vraiment très utiles car dépassées par les nouvelles technologies informatiques.

Les cadres de Peugeot essayaient au maximum de leurs possibilités de leur donner du travail, de faire en sorte qu’elles soient utiles. Dans d’autres entreprises, on les aurait poussés vers la sortie à 55 ans. Donc il existe encore des entreprises avec une politique sociale de l’employé, mais combien sont-elles? Aujourd’hui c’est vraiment la minorité.

Étant donné le contexte économique qui est toujours incertain, nous ne sommes jamais sûrs de ne pas nous retrouver sur le bord de la route à un moment donné, parce que l’entreprise connait des difficultés. Ce qui est clair, lors de difficultés financières, les employés sont un moyen privilégié de faire des économies.

Cela veut dire que les entreprises procèdent à des licenciements, ce qui est logique, car lorsque l’activité diminue, elles ont besoin de moins de personnes, car cela représente des charges qui sont inutiles. Et aujourd’hui, qui veut rester 20, 30, ou 40 ans dans la même entreprise? Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de personnes qui le souhaitent.

C’était peut-être vrai il y a quelques années, du temps de nos parents, de nos grands-parents, mais aujourd’hui la plupart des jeunes souhaitent avoir une expérience la plus diversifiée possible et passer d’une entreprise à une autre. Donc compter sur son entreprise pour nous protéger en cas de problèmes, pour conserver notre emploi en récompense de notre fidélité, ça me semble dans bien des cas une utopie. Je ne dis pas que cela n’existe pas, mais je pense que dans la majorité des cas , les entreprises aujourd’hui auront beaucoup de mal à satisfaire cette vision un peu idéaliste.

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Être employé ce n’est pas une sécurité, sauf sur un point: quand vous êtes employé, vous cotisez aux ASSEDIC, et en cas de licenciement, vous avez le droit jusqu’à deux ans d’indemnités chômage. Ce qui est un vrai avantage par rapport aux créateurs d’entreprise, car malheureusement, le statut de créateur d’entreprise ne vous permet pas de cotiser aux ASSEDIC.

Vous êtes obligé de prendre des assurances chères que très peu de créateurs prennent. C’est vraiment un gros problème en France que ce statut de créateur d’entreprise rendu précaire. Mais cela ne rend le risque que plus excitant. Et bien sûr comme tout ce qui est excitant, cela fait aussi plus peur. Si vous êtes employé et que vous vous faites licencier, dites-vous que c’est une opportunité unique.

Pendant 2 ans vous allez être payé sans rien faire, vous allez pouvoir dissocier votre argent de votre temps de travail et cela va vous permettre de vous consacrer à vos passions et pourquoi pas de créer une entreprise qui va devenir votre source de revenus, et dans l’idéal celle-ci sera dissociée de votre temps de travail.

La cinquième raison, c’est tout simplement que, plus longtemps vous restez salarié, plus longtemps vous trouverez ça normal, et plus longtemps vous hésiterez à vous lancer dans l’aventure. Cela sera plus difficile pour vous de quitter ce cocon, cette illusion de sécurité que vous vous vous serez créée. Vous vous installez dans une zone de confort, où vous n’êtes pas forcément le plus heureux du monde, mais vous n’êtes pas malheureux non plus.

Vous êtes douillettement installé dans votre zone de confort, vous n’avez pas à affronter vos peurs, vous n’avez pas à affronter vos limites, vous n’avez pas à tenter de les dépasser, vous n’avez pas à risquer d’échouer de manière publique. Vous finissez par rester dans cette ornière même si elle commence de plus en plus à ne plus vous convenir tout à fait.

C’est un vrai risque que de s’enfermer ainsi dans sa zone de confort. Je pense que les créateurs d’entreprises ont beaucoup moins l’occasion de s’enfermer dans cette ornière tout simplement parce que créer et gérer une entreprise est un défi de tous les jours, bien plus que le fait d’être salarié. L’aventure est bien plus excitante, et en général, les créateurs d’entreprises ont plus envie d’aller de l’avant, ils bâtissent leur rêve, donc la motivation est beaucoup plus présente.

Cela m’amène à la sixième raison qui est que, créer une entreprise, c’est une aventure excitante, formidable, où le voyage compte autant que la destination. Qu’est-ce qu’il y a de plus formidable que de prendre des risques, d’affronter ses peurs, de se lancer dans l’inconnu pour réaliser ses rêves?

Je pense qu’il n’y a pas de plus belle aventure humaine possible, et créer son entreprise permet de vivre cette aventure merveilleuse. Est-ce que vous pensez que l’on peut ressentir la même excitation, le même enthousiasme, la même envie profonde de prendre des risques quand on est employé? Non. Dans la majorité des cas je pense que c’est impossible.

La septième raison c’est l’expérience. Vous vous dites peut être si vous êtes employé, qu’être salarié, avoir un job, cela vous permet d’acquérir de l’expérience. Cela n’est pas totalement faux, mais je pense que dans la grande majorité des cas, créer son entreprise permet d’engranger de l’expérience à une vitesse stupéfiante. C’est une expérience qui est extrêmement variée, gratifiante et très utile pour la suite.

Lorsque l’on crée une entreprise, il faut être au feu et au moulin, on a l’occasion de rencontrer énormément de personnes intéressantes, de se former à des choses qui vont nous être utiles immédiatement. Quand on va se former, on va être à l’écoute et se demander comment il faut faire pour appliquer cela dans notre démarche de création de notre entreprise. Nous avons l’occasion de nous investir dans un projet qui nous tient vraiment à cœur, dans lequel nous allons mettre toutes nos tripes, toute notre âme.

Qu’est-ce qu’il y a de mieux qu’une motivation si puissante pour apprendre?

Souvent, le principal frein à l’apprentissage c’est que nous n’en avons pas envie suffisamment.  En créant son entreprise, on a envie de réussir, car si on se contentait d’être passif, on ne créerait pas cette entreprise. Créer une entreprise, c’est avoir une démarche proactive, aller au-delà des contraintes, et dans l’écrasante majorité des cas, cela requiert une motivation extraordinaire.

Cette motivation va être le moteur de notre apprentissage, le dépassement de nous-mêmes et le fait de s’ouvrir à de nouveaux horizons, bien plus que lorsque nous sommes employés. Lorsque nous sommes employés, notre expérience, s’accumule beaucoup plus lentement et elle est bien plus limitée.

Le huitième point que j’ai déjà évoqué en partie, mais sur lequel j’insiste c’est le fait qu’être salarié, implique un renoncement à une certaine forme de liberté et à notre indépendance. Si Vous travaillez sous les ordres d’un patron que vous n’appréciez pas pour différentes raisons, cela peut devenir une vraie souffrance. J’ai vu chez certains de mes clients, des employés qui étaient en relation conflictuelle avec leur employeur, mais qui n’osaient pas quitter leur travail pour de nombreuses raisons et principalement celle de ne pas retrouver un emploi.

Ils vivaient une véritable torture mentale tous les jours, comme s’ils se rendaient au Goulag. J’ai vu une salariée vivre un véritable calvaire, où elle était stressée matin et soir. Elle a fini par développer un cancer dont les médecins ont dit que la principale cause était le stress. Je ne serais pas surpris qu’une relation de cause à effet existe entre ce cancer et les conditions épouvantables dans lesquelles elle travaillait.

Souvent, le fait d’être employé trop longtemps implique cette forme d’enfermement, comme si une  cage se construisait lentement autour de vous sans que vous ne la voyiez. Pourtant elle a autant d’effet sur votre bien-être et votre bonheur qu’une prison physique. Créer son entreprise donne une indépendance et une liberté qui est très appréciable.

Évidemment, les chefs d’entreprises ont leurs formes de contraintes qui viennent la plupart du temps de leurs clients. Ils ne peuvent pas faire exactement tout ce qu’ils veulent, mais ils disposent de bien plus de liberté que leurs employés. Et notamment lorsqu’ils le peuvent, ils ont la possibilité de s’octroyer des augmentations quand ils le souhaitent. Ce n’est pas le cas des salariés. Si une entreprise peut se permettre d’augmenter un salarié, elle ne va pas forcément le faire.

Si la situation de l’entreprise le permet, le chef d’entreprise sera plus enclin à se donner une augmentation, ce qui est logique puisqu’il récupère en quelque sorte les fruits de sa prise de risques, de sa démarche proactive et de son travail. De plus, si vous arrivez à créer un business automatisé ou semi-automatisé, vous disposez d’une liberté qui est infiniment plus grande que celle de la majorité. Vous disposez d’une source de revenus pour laquelle, vous n’allez pas travailler ou travailler un minimum. Vous avez des possibilités infinies. Imaginez ce que vous pourriez faire, si vous n’aviez plus besoin de travailler pour vivre.

La neuvième raison, c’est tout simplement mon propre exemple. J’ai créé mon entreprise à 19 ans en juillet 2000. J’étais sans aucune expérience, je n’avais aucun diplôme. J’aime dire que j’ai un bac moins d’eux, puisque j’ai arrêté après une première littéraire. Je me suis lancé, la fleur au fusil. J’étais un adolescent boutonneux, introverti, mal dans sa peau, qui ne connaissait absolument rien à la vie.

Donc si j’ai réussi à le faire, vous pouvez le faire aussi. J’ai eu l’occasion de faire différentes présentations et conférences dans des écoles, des universités ou je disais: regardez, je suis l’exemple vivant que l’on peut réussir à créer une entreprise alors que l’on n’a pas tous les atouts de son côté. Alors que vous, vous avez un diplôme, vous êtes plus matures, vous avez beaucoup plus de chance que moi de réussir si vous créez votre entreprise.

Effectivement, il est normal d’avoir peur, car il n’y a aucune garantie de réussite. Mais si vous échouez, au moins, pour toutes les raisons que je vous ai données, vous échouerez pour quelque chose qui a de la gueule, parce que vous échouerez en essayant de réaliser un rêve qui vous tient à coeur.

Vous échouerez en engrangeant une expérience absolument fantastique. Vous échouerez en essayant d’échapper à un système aliénant et conformiste qui malheureusement est la norme de notre société. Cela est un échec qui je pense vaut la peine d’être vécu. Parce que là, le voyage comptera plus que la destination si vous échouez.

D’ailleurs, l’expérience que vous aurez engrangée vous permettra sans doute de rebondir et de partir dans de nouvelles aventures. Il y a beaucoup d’entrepreneurs qui ont beaucoup de succès qui ont commencé par un échec retentissant. Dites-vous que si un adolescent, qui venait à peine de quitter une première littérature, pas très sociable, mal dans sa peau, qui n’avait pas d’argent… J’ai emprunté à l’époque 25 000 francs à la famille, et le reste soit 75 000 francs, je l’ai obtenu en convaincant banquier et investisseurs du bien fondé de mon entreprise.

Si un adolescent, qui vraiment n’avait pas l’air crédible du tout, peut réussir à faire cela, vous aussi pouvez le faire. Les seuls obstacles qui vous empêchent de foncer, ce sont des obstacles d’ordre mental. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de contraintes, qu’il n’y a pas de difficultés, mais avec le bon état d’esprit, les obstacles deviennent des contraintes. Des murs infranchissables deviennent juste des passages étroits, où il est difficile de passer mais qui sont excitants. Il faut se motiver à passer, car derrière, il y a la vallée luxuriante de vos rêves qui vous attend.

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Enfin, la dixième raison pour laquelle vous ne devriez pas être salarié, c’est tout simplement que malgré tout ce que je viens de vous dire, il y aura toujours beaucoup plus de salariés que de créateurs d’entreprises. Même parmi tous ceux qui écouteront ce Podcast, beaucoup se diront que j’ai raison, mais ils n’agiront pas. La plupart des personnes n’agissent pas.

Il y aura toujours des milliers de possibilités de créer des business et des entreprises et d’embaucher des personnes dans ces entreprises qui contribueront à réaliser vos rêves. Il y aura toujours des gens qui sauront prendre plus de risques que la moyenne, qui sauront s’échapper du conformisme et qui braveront tous les dangers pour pouvoir accomplir leurs rêves.

Je vais récapituler les 10 raisons pour lesquelles vous ne devriez pas être salarié :
  • La première raison est : être salarié, c’est la manière la moins efficace au monde de gagner de l’argent. Notre temps étant ce que nous avons de plus précieux, nous ne devrions pas l’échanger contre de l’argent en dessous d’un taux très avantageux. Ce que n’est pas le travail salarié.
  • La deuxième raison, c’est que le travail salarié contribue à réaliser le rêve de quelqu’un d’autre.
  • La troisième raison, c’est que travailler pour quelqu’un d’autre, c’est la même chose qu’être un locataire dont le loyer et plus cher que les remboursements du crédit du propriétaire. Donc vous êtes perdant sur tous les tableaux.
  • La quatrième raison, c’est que la sécurité de l’emploi aujourd’hui est une grande illusion.
  • La cinquième raison c’est que si vous restez trop longtemps salarié, vous risquez de vous habituer à ce statut, de vous créer une zone de confort de laquelle vous ne pourrez vous échapper que très difficilement.
  • La sixième raison, c’est que créer une entreprise, c’est une aventure absolument formidable.
  • La septième raison, c’est qu’être créateur de son entreprise, cela permet d’engranger à une vitesse stupéfiante, une expérience extrêmement variée et de rencontrer un nombre incalculable de personnes enrichissantes.
  • La huitième raison, c’est qu’être salarié implique de renoncer à une part importante de sa liberté et de son indépendance. C’est devoir parfois subir des chefs, des patrons, dans un environnement stressant, duquel on ne peut s’échapper à cause de cette zone de confort qu’on s’est créée.
  • La neuvième raison, c’est que j’ai réussi à créer mon entreprise à 19 ans, alors que je n’avais aucune expérience, aucun diplôme, aucun réseau relationnel. Si j’ai pu le faire, vous pouvez le faire aussi.
  • La dixième raison, c’est que malgré tout cela, il y aura toujours plus d’employés que de chefs d’entreprises et qu’il y a toujours énormément de places à prendre.

Ceci dit, je pense que vous avez compris que le fond de mon propos est qu’il est important de vivre une vie où nous profitons au maximum de notre temps sans être obligés de faire des choses qui ne nous plaisent pas juste pour vivre, et où nous pouvons nous adonner à nos passions, contribuer au maximum à apporter quelque chose au monde et à vivre une aventure excitante.

Je reconnais que cela peut aussi passer par autre chose que créer son entreprise. Je pense que le plus important, c’est de pouvoir dissocier l’argent que l’on gagne de son travail. Mais cela  ne convient pas à tout le monde: si vous êtes par exemple, un engagé bénévole, ou un salarié d’une ONG, passionné par votre vie, effectivement, créer une entreprise n’est pas forcément une réponse.

Il y a d’autres manières de pouvoir dissocier l’argent que l’on gagne du travail que l’on fait. Par  exemple, on peut réduire ses besoins, de manière à réduire son besoin de travailler. Je prends l’exemple d’Henry David Thoreau, un philosophe américain célèbre du XIXe siècle et qui a vécu une expérience vraiment fascinante. Il a été vivre pendant deux ans dans une forêt où il s’est construit une cabane, avec un confort minimal suffisant et durant deux ans, il n’avait pas besoin de travailler.

Il avait d’ailleurs calculé que les fermiers travaillaient surtout pour rembourser leur ferme et subvenir aux besoins de leur ferme. Ce qui est très paradoxal…un peu comme un serpent qui se mord la queue. Il avait une philosophie de la simplicité, et selon lui le bonheur n’était en rien lié au matérialisme.

On pouvait s’en affranchir en réduisant ses besoins au maximum, et du coup en travaillant au minimum. Il raconte son expérience dans un roman autobiographique que je vous recommande, qui s’appelle « Walden ou la vie dans les bois ».

Cela est aussi une forme de réponse à ce risque d’aliénation, que représente le travail salarié.

Il existe, aujourd’hui, des communautés qui essaient d’être autonomes et dont le but est de subvenir à leurs besoins fondamentaux et à vivre autre chose que le train-train quotidien du métro-boulot-dodo. Néanmoins je pense que cela est beaucoup plus difficilement applicable dans notre société actuelle que la création d’une entreprise qui me semble plus accessible et plus excitante même si cela n’est pas exempt de difficultés.

De plus, l’argent apporte une liberté beaucoup plus grande, et plus de possibilités comme notamment celles de voyager de par le monde. Je pense que nous sommes dans une époque où il n’a jamais été aussi facile de voyager et je pense que cela serait dommage (c’est mon avis personnel) de ne pas profiter de cette formidable invention qu’est l’avion pour ne pas découvrir les merveilles que le monde recèle. Quoi qu’il en soit, l’argent est un bon outil pour nous permettre de se créer une vie libre et centrée sur nos passions.

Pour vous remercier de m’avoir écouté jusqu’au bout, je vais vous donner une onzième raison bonus en quelque sorte. Aujourd’hui il n’a jamais été aussi facile et aussi peu coûteux de créer une entreprise grâce à l’internet. L’internet permet de faire des études de marché beaucoup plus facilement, de créer un business automatisé qui fonctionne à un coût très réduit, et presque sans humains, car une grande partie de business sur internet peuvent être automatisés et gérés par des ordinateurs. Je vais vous donner un exemple de business quasiment automatisé, que vous pouvez tenter de créer demain pour un coût totalement dérisoire.

Imaginons que vous soyez expert dans un domaine. Si vous êtes passionné dans un domaine qui vous intéresse depuis longtemps, il y a de fortes chances que vous ayez beaucoup plus de connaissances sur ce domaine précis que 90 à 95% de la population. Seul ce fait, fait déjà de vous un expert.

Si dans ce domaine-là, vous avez des connaissances qui font que vous pouvez répondre à des questions, des contraintes qui se posent à d’autres personnes qui n’ont pas vos connaissances, et bien voici un modèle de business très simple: vous lancez un blog ou un site internet sur lequel vous écrivez des articles en relation avec ces problèmes, ces besoins et avec le domaine de compétence par lequel vous êtes passionné et sur lequel vous avez plus de connaissances que la majorité des gens.

Vous créez un e-book, c’est-à-dire un livre, dans un format téléchargeable et vous le vendez sur ce site. Vous pouvez le vendre à 15, 20, 30 euros, cela dépend de la valeur qu’apporte votre livre mais surtout du prix que les clients sont prêts à payer. C’est un business modèle qui peut être complètement automatisé.

Imaginez que vous ayez un site sur lequel vous vendez un e-book qui réponde à des questions qui se posent couramment ; des gens vont l’acheter, et ce qui est formidable avec la puissance d’internet, c’est que, que vous vendiez 10 ou 10 000 e-book par mois, les coûts sont quasiment les mêmes. Il y a 20 ans, entre distribuer 10 livres et 20 000 livres, ce n’était absolument pas les mêmes coûts.

Il fallait les imprimer, les envoyer dans de différentes librairies, ce qui impliquait des coûts d’impression, de stockage, de distribution et de publicité énormes. Tandis qu’aujourd’hui, que vous distribuiez 10 ou 10 000 livres, cela vous demande un investissement légèrement supérieur dans un serveur internet. Bien sûr il y aura des coûts en termes de design, de production et de publicité, mais ils sont infiniment moindres que tout ce que vous pouviez avoir comme coûts auparavant.

Je vous ai donné un exemple de business automatisé sur internet, parmi des dizaines et des dizaines. Aujourd’hui, Internet est encore un vaste Far West, un Eldorado où il y a énormément de places à prendre et surtout sur le marché français qui encore loin d’être aussi mature que le marché anglo-saxon.

N’importe qui peut se lancer demain sur internet avec une idée, en ayant un budget très réduit.

Je vous encourage à vraiment y réfléchir et à vous demander, si vous n’avez pas une passion qui vous a amené à développer des connaissances, des compétences dans un domaine précis que la majorité des gens n’ont pas, et est-ce que ces compétences ne peuvent pas se monnayer parce qu’elles répondent à des questions que d’autres personnes se posent.

Recherches utilisées pour trouver cet article :
10 raisons pour lesquelles vous ne devriez pas être salarié, www les 10 raisons pour ne pas etre employer
53 commentaires
  1. Bonjour Olivier,

    Il semblerait qu’il y ait un problème de récupération du podcast sur Itunes.

    J’ai hâte d’écouter ce nouvel épisode !

    Amicalement,

    Guillaume

  2. Merci pour vos commentaires 🙂 .

    Guillaume, il faut toujours plusieurs heures à iTunes pour intégrer un nouveau podcast, patience… 😉
    En attendant tu peux toujours le télécharger directement sur cette page en cliquant sur « Download » en haut.

  3. Tes réflexions sont très intéressantes, comme toujours.

    Au fait, Sénèque n’a pas « perdu » une ride, mas il n’en a pas pris. 😉

  4. Olivier, tu as raison, je me suis rendu compte de mon erreur trop tard 😉 .

    L’Annaen, effectivement le téléchargement ne fonctionnait pas (j’avais laissé un ê dans le nom du fichier), à présent cela devrait aller 🙂 .

  5. Est-ce qu’il serait possible d’écrire les 10 raisons dans l’article ?
    Je sais qu’elles sont résumées à 35m50 (j’ai essayé de le faire, mais la connexion a planté).

  6. Très intéressant ce podcast. J’étais déjà convaincu mais cela va me rebooster pour essayer de me lancer.

    Une question néanmoins m’a interpellé en l’écoutant, tu es toi même chef d’entreprise et je te félicite pour ton parcours. Mais j’imagine que tu as des salariés. Comment réagissent t’ils à ton argumentaire sans faille ? Cela n’impacte pas leur motivation ?

  7. Trés interessant. Je me pose la même question que Cyril.
    Pour ma part, « c’est un peu la goutte qui fait deborder le vase ».
    Le vase se remplissant également grâce au PMBA.

    Je retiens également l’idée de démarrer par un blog « spécialisé », et je vous en dirai davantage prochainement.

    Dans la même veine que la « ride de Sénèque »: j’ai noté un excés de « clairement » 🙂

  8. Je me permets de nuancer quelque peu ton propos Olivier.

    Je pense qu’il est très difficile de juger l’intérêt ou non d’être salarié quand on ne l’a pas vécu de l’intérieur. Or, dans ton cas, tu n’as jamais été salarié. Tu peux donc parfaitement connaître et faire partager la joie, l’excitation et la satisfaction d’être entrepreneur. Tu ne peux pas en revanche préjuger de l’ennui et de l’insatisfaction d’un salarié.

    J’ai en effet eu la chance de connaître des salariés extrêmement compétents, intelligents et passionnés. Et n’oublions pas que la plupart des patrons du CAC 40 n’ont que très peu de lien capitalistiques avec les entreprises qu’ils dirigent. Ils ont pourtant je pense une vraie satisfaction à avoir été salarié pendant 20 ans et d’être à leur place aujourd’hui.

    Mais en tant qu’entrepreneur moi-même, je ne peux que aller dans ton sens et conseiller à tous l’aventure entrepreneuriale.

    Merci encore pour le podcast et le blog !

  9. Merci beaucoup!
    L’ironie est que mon employeur me paye pour écouter ton podcast 🙂
    Dans bientôt un mois je le quitte pour me lancer ; tu m’as conforté dans ce choix et m’a donné du punch pour la suite de mes projets!

    Blessings from Ireland!

  10. Pour ma part, je sors d’école et je débute en simultanée une activité salariée et d’entrepreneur. Je pourrai donc faire un retour sur les avantages et inconvénients de chaque statut dans quelques années.

    Je vois l’entrepreneuriat comme un bon moyen de me générer un revenu complémentaire indépendant de mon revenu principal et une opportunité de mettre en place un business plus qu’un job comme tu l’expliques dans ton podcast.

    Par contre, en étant salarié dans une très grosse structure, dans un « programme spécifique », je pense avoir plus de chances d’accéder à des responsabilités et des ressources dont j’ai très peu de chances d’arriver à recréer moi même en partant de zéro. C’est un peu l’exemple des grands patrons qui passent d’abord par les cases salariés et non de petit entrepreneur (bon je vous rassure, je n’ai pas la prétention d’être un futur patron du CAC, c’était juste un exemple 😉

    Je souhaiterais quelques réflexion par rapport quelques arguments apportés.

    Concernant le fait que les employés sont exploités car ils gagnent moins que ce qu’ils rapportent à l’entreprise, je ne suis pas forcément d’accord, même si ça semble évident. Sans parler des cas évidents ou certains sont exploités, quand on est employé, on bénéficie de la synergie crée par la structure. C’est un peu le 1+1=3. Par exemple le programmeur crée un produit, mais sans l’aide d’un commercial il n’aurait rien gagné tout seul. Inversement pour le commercial. En outre quand on est employé, on se met dans la peau d’un entrepreneur et notre patron/nos collègues sont les clients. Hors un prestataire vend toujours moins cher ses produits que ce qu’ils peuvent rapporter à l’utilisateur (sinon pourquoi l’achèterait-il?).

    Il est vrai que créer une entreprise est très motivant et excitant. Mais il ne tient qu’à nous de recréer de tels expériences dans nos vies de salariés. Et cela est possible, quoiqu’on en dise. Par exemple, pour ma part je m’expatrie et je vois ça comme une vraie aventure.

    Nicolas

  11. Je suis d’accord avec toi Nicolas au sujet de la synergie qui existe entre les différentes personnes d’une organisation et qui créé plus de valeurs que la simple addition de ces personnes.

    Mais ne vaut-il pas mieux posséder une telle organisation dans laquelle un commercial et un développeur mettent leurs compétences en commun pour produire quelque chose qu’ils ne pourraient pas faire tout seul, plutôt que d’être un rouage dans la machine ?

    Un prestataire vend dans l’idéal ses produits/prestations moins chers que les avantages que ces produits/prestations apportent au client, mais plus chers que leur coût de production, y compris les salaires qu’il verse.

    Par contre, en étant salarié dans une très grosse structure, dans un « programme spécifique », je pense avoir plus de chances d’accéder à des responsabilités et des ressources dont j’ai très peu de chances d’arriver à recréer moi même en partant de zéro.

    Entièrement d’accord, c’est l’avantage d’être salarié dans une grande structure : accéder à des ressources et des responsabilités difficiles ou impossibles à trouver par soi-même. Et certains projets nécessitent obligatoirement de grandes ressources et une organisation d’une taille importante pour se faire.

    Mais il ne tient qu’à nous de recréer de tels expériences dans nos vies de salariés. Et cela est possible, quoiqu’on en dise. Par exemple, pour ma part je m’expatrie et je vois ça comme une vraie aventure.

    J’en suis persuadé. Mais tu peux aussi t’expatrier en créant une entreprise, même si le challenge est sans doute plus difficile. Et si tu as des sources de revenus automatisées, tu peux voyager partout dans le monde sans contraintes 😉 .

    Je pense en tout cas que l’on peut tout à fait être heureux et mener une vie intéressante et épanouie en étant salarié. Cela me semble juste plus difficile qu’en possédant sa propre entreprise.

  12. Bonjour, voilà le troisième podcast que j’écoute, très bien fait!Félicitation!Et belle preuve de patience aussi.

    En revanche j’ai remarqué une chose…..évidEmment….je l’entends souvent ne dit-on pas evidAmment ?Sauf erreur de ma part, je me permet de le faire signaler.

    En tout cas merci pour ton blog, ton parcours donne espoir et force à avancer.J’avais déjà pas mal lu de livre sur le développement personnel, la psychologie, la philo,parapsycho, le taoïsme etc…et c’est un plaisir de connaître un site où l’on trouve la même compréhension.

  13. je viens d ecouter ce postcard ha lala c est tellement vrai !!
    je suis en ce moment a un nouveau tournant de ma vie professionel qui se repete a chaque fois que je me perds dans des déboires de vie de salariée et a nouveau je retombe dans ma routine !!! j ai maintenant 42 ans et je n est toujours pas oser tirer sur le démareur de ma vie professionel pourquoi ? la peur des autres et la peur du systeme il me manque la confiance en moi et pourtant je bouillonne a l interieur !!! je pense que ca va bientot sortir !!!!!!! merci pous ces vérités qui m ont fait du bien

  14. Bonsoir,
    tout d’abord je voulais te félicité Olivier pour ton apport en matière d’entrepreneuriat et de l’épanouissement personnel.
    Ton parcours est remarquable, tu me donnes envie de lire « Sommes-nous immortels? », « la semaine de 4 heures ».
    J’espère que tu continueras à envoyer des podcasts et des articles.
    Concernant ta philosophie qui rentre en total adéquation avec mon projet, j’aimerai te communiquer 2 petites critiques:
    La première serait que le chef d’entreprise n’est pas donné à tout le monde. Petit exemple rapide mon beau père a voulu de tout cœur ouvrir son agence immobilière (pour info capital de 60 000€), il a fini sur un lit d’hôpital pour cause de stress trop intense.
    Ensuite avant te se poser la question d’entreprendre, il faut se poser la question de savoir qu’elle est le plus important dans la vie (exemple une amis est caissière dans un supermarché, elle est heureuse malgré un job qui pourtant à première vue n’est pas destiné à être plaisant et pourquoi à votre avis????, 1 soir sur 2 elle s’occupe d’un centre équestre le soir.

    Pour ma part je suis de tempérament entrepreneuriat, souvent je passe des nuits sur mon idée (que j’ai d’ailleurs développer).

    Encore merci Olivier, tu m’as reboosté pour aller plus loin dans mon idée.
    Je continuerai à te lire et à t’écouter.

    Cordialement

  15. Bonjour Olivier,

    Je n’ai pas un désir brûlant de créer mon entreprise à proprement parler mais pour sûr un désir ardent de créer mon propre emploi et de travailler quand je veux, où je veux et comme je veux, en toute liberté en un mot !

    Je ne me lasse pas de lire tes messages, tes chroniques de livres et d’écouter tes podcasts. C’est pour moi une réelle bouffée d’oxygène et je suis ravie de constater régulièrement qu’il y a des gens aussi passionnés que je le suis.

    Ceci dit par rapport à ton podcast, je ne regrette personnellement rien de mes années de travail en tant que salariée (20 ans au total) car je n’ai jamais subi les nombreux changements (suppressions de postes et autres désagréments du salariat). Pour moi, c’était un cadeau de la vie puisque çà m’a permis d’occuper beaucoup de postes et de m’intéresser plus à ce que je faisais, ce que j’apprenais et les compétences que j’ai acquises au fur et à mesure qu’à l’argent que je gagnais. A la fin, j’ai encore profité d’un plan de volontariat dans le cadre d’un licenciement économique et alors que j’étais une salariée protégée comme on dit en tant que déléguée du personnel et élue au CHSCT, j’ai choisi de laisser ma place à quelqu’un qui était sur la liste des licenciés pour partir et me lancer pour travailler pour moi selon mes envies. Et là encore je ne le regrette pas ! Comme je le dis souvent, la liberté çà n’a pas de prix !

    Enfin j’ai noté quelques astuces dans ta chronique sur la semaine de 4 heures au sujet des emails que je vais mettre en pratique dès que possible pour optimiser mon temps.

    Merci Olivier pour tous ces précieux conseils que tu nous prodigues, tu nous donnes vraiment la pêche pour entreprendre, c’est le moins que l’on puisse dire !

    Excellente journée et à très bientôt !
    
    Christine
    Membre d’Agir&Réussir

  16. Bonjour Oliver, excellent podcast.
    En effet, le travail salarié nous conditionne et nous prive de temps et de liberté. Notre plus grand don, l’intelligence ne sert qu’aux autres! J’ai eu de la chance de travailler dans une grande structure avec un patron admirable mais tu as raison de dire qu’à long terme, l’on devient « enfermé » dans un système et donc dans une espèce de cage mentale – le « salariage » est donc a éviter. Et, comme tu dis bien, la sécurité de l’emploi de n’existe pas!! Toutes des raisons plus que valables pour créer son entreprise.

  17. Je ne sais pas s’il faut bouffer de la vache enragée dans la vie pour réussir, mais il semble que ça aide… felicitations pour ce podcast d’une grande qualité.

    Moi aussi, j’ai mis en place des liens sponsorisés amazon sur mon blog, mais pour l’instant, je n’ai eu que 2 clics qui ne se sont pas transformés en ventes…

    Sinon, c’est vrai que j’attend toujours mon premier commentaire sur mon blog, à croire que ce que je raconte n’intéresse pas mes visiteurs…

  18. Bonjour, le podcast est intéressant et je trouve que le sujet est bien présenté.
    Mais il me semble qu’une limite n’est pas abordée.
    Un business automatisé ou semi-automatisé n’est pas évident à mettre en place pour des prestations de service intellectuelle. En effet, lorsque c’est votre expertise ou votre capacité à réaliser une étude sur un domaine qui est votre valeur ajoutée alors il n’est pas possible de dissocier le temps de travail et les revenus. Bon, après, je ne nie pas le fait que cela peut être passionnant.

    Concernant ton exemple sur la vente d’e-book sur un domaine d’expertise particulier, il me semble que la vente de « produits » tels que les e-book, software, applications, etc. ont peu d’avenir avec la généralisation du téléchargement « illégal ». C’est plutôt les produits de type hardware, qui sont irremplaçables, qui ont un avenir certain.

  19. Bonjour,

    Je découvre avec intérêt les nombreux posts d’Olivier. Je partage comme nombre d’entre nous beaucoup des arguments de ce podcast mais une interrogation me gêne beaucoup : si l’on en intègre la logique, à savoir le salariat nous prive de liberté et se sert de nous, comment peut-on avoir la morale de le faire subir aux autres en créant sa propre entreprise?

    Question naïve mais pourtant inhibitrice dans mon cas.

    Si vous me répondez que l’on peut faire les choses différement pour ne pas reproduire le même modèle alors comment peut-on généraliser à ce point les malheurs du salarié?

    Merci pour votre aide.

  20. Ping : « Comment s’obliger à réussir et pourquoi j’ai quitté mon job en pleine crise économique
  21. Bonjour, qui est un rouage? Comment tourne le monde si ce n’est avec des « rouages », qu’ils soient salariés, patrons, fonctionnaires, chômeurs…
    Le rôle d’un patron n’est il pas de bien s’occuper des employés
    •Leur donner un travail qui correspond à leurs capacités.
    •Leur donner de la nourriture et un salaire.
    •S’occuper d’eux en cas de maladie.
    •Partager avec eux de la bonne nourriture ou boisson quand il y en a.
    •Leur donner des congés appropriés.

    Pour savoir s’il est plus difficile d’être heureux, de mener une vie intéressante et épanouie en étant salarié, il faut demander aux patrons qu’elle vie ils mènent?
    En faite tout ne dépends il pas de la vie que souhaite?
    J’aime bien l’idée de l’Hermite, et je suis content que tu en parles…

  22. Bonjour Olivier,

    et merci pour ce podcast ou tout est dit. L’essentiel est là!
    Je finirais par une phrase de Saint Exupéry;

    ‘Faites que le rêve dévore votre vie afin que la vie ne dévore pas votre rêve.’

    Bravo Olivier et encore un GRAND MERCI de nous inspirer autant et nous faire partager vos expériences.

  23. merci Olivier, je suis actuellement en train de réfléchir à comment créer un emploi personnel. ton blog est donc la bienvenue

  24. je viens d’être au courant de tout ce que tu fais pour les gens qui ont et qui, d’ailleurs, devrait avoir l’envie de créer leur propre entreprise. je te lirai très souvent maintenant. Merci Olivier, Ulrich

  25. j'ai écouter votre podcast, cela m'a beaucoup émerveillé et je crois que je ferai pareil comme vous mais il me faut travailler pour gagner les fonds nécessaires pour mon entreprise. merci beaucoup Olivier.

  26. Bonjour Olivier,
    Je viens d’écouter ton podcast et suis entièrement d’accord avec tout son contenu. J’ai 45 ans et j’ai passé la majeur partie de mon temps à travailler pour autrui. Cela est vrai qu’en tant que salarié, nous contribuons à réaliser le rêve d’une autre personne, quelque soit le poste que nous occupons. Tout comme il est vrai qu’après tant d’année de service, nous recevons très peu lorsque nous sommes à la retraite alors que cette autre personne a tout gagné.
    C’est la 4è fois que je créé une entreprise. Pour les 3 autres fois, j’ai pu constater toutes les erreurs à ne pas commettre.
    Je travaille actuellement sur mon plan d’affaire.
    Et je reconnais que j’ai besoin de fond pour monter mon business.
    Je me suis abonné au club positif de Christian Godefroy par lequel j’ai eu connaissance de ton blog.Christian propose le kindle (très intéressant) et toi la création de notre propre blog pour réussir dans notre vie et réaliser nos rêves.Tout cela est très motivant.
    C’est vrai que la création d’entreprise est une aventure excitante et passionnante.
    Pour les 3 premières fois, je n’ai pas fait la différence entre créer un système et créer mon emploi. C’est une des erreurs que j’ai faite. Mais je ne lâche pas et je persiste.
    Avec tous les conseils que j’ai pu lire ou entendre dont les tiens, je sais que je vais réussir car tel est mon but principal : réaliser mon rêve le plus cher.
    En tout cas, merci beaucoup Olivier pour le contenu de ce podcast.

  27. Cher Olivier, Tu n’as peut-être pas poursuivi dans les études mais je te trouve TRES cultivé, bien plus que certains qui ont pourtant un BAC+8 ! (j’en suis un bon exemple avec mon Doctorat en droit :))
    La lecture … c’est ça le truc pour pouvoir s’enrichir culturellement!
    Mais pour ça, il faut prendre le temps chaque jour

  28. Salut olivier!
    Je suis Kelan, j’habite au Brésil,j’aime beaucoup vos conseilles, et je suis tres interesser de créer mon entreprise. J’aimerais savoir si tu n’es pas interesser de vos livres dans une autres langues?

  29. Salut Olivier ! Merci pour cette réflexion. Je quitte justement mon CDI dans quelques semaines pour rejoindre le monde de l’entrepreneuriat… et tu a réussis à confirmer mon choix 😉

    Bonne continuation.

  30. Imaginons un monde parfait : chaque homme, au lieu d’être salarié, est entrepreneur et patron.
    A part ceux qui pourront créer une activité qui ne dépend pas des autres (un chanteur, un écrivain, etc.), de nombreux entrepreneurs auront besoin d’avoir des salariés pour que leur entreprise soit profitable et qu’ils puissent (les entrepreneurs) construire leurs rêves.
    Donc, dans la majorité des cas, les entrepreneurs construisent leurs rêves parce qu’il y a (fort heureusement pour eux) des salariés.
    Comment une entreprise de service informatique (au hasard) pourrait-elle tourner sans ressources humaines à mettre à disposition de clients ?

  31. Bonjour Olivier

    Je partage vos convictions cependant, je pense,pour avoir été artisan avec une comptabilité au réel simplifié pendant pas mal d’années, que cela n’est possible qu’avec le statut d’auto entrepreneur du moins avant de percer ce qui est rare. Ce statut offrant l’avantage de ne pas payer toutes les caisses et cotisations avant d’avoir gagner l’argent. Le statut d’auto entrepreneur est très controversé. Donc je pense que cela ne présage rien de bon pour les indépendants du Web en France.
    Serait-il possible que vous nous dévoiliez le logiciel que vous utilisez pour afficher vos podcast sur vos blogs.
    Merci et bravo
    Jean Pierre

  32. Ping : 6 motifs-clés d’être entrepreneur - outils-et-opportunites.com
  33. Excellente démonstration.
    J’ai envie d’ajouter que plus on s’y met tard, plus le prix à payer peut être élevé. En démarrant à 43 ans, alors que j’avais un gros salaire, une belle carte de visite, et aussi 5 enfants à charge et des habitudes de vie confortable, l’aventure n’a pas été facile : des années pour intimement intégrer la nécessité de l’alignement entre qui on est et ce qu’on vit. L’aventurier a besoin d’être accompagné, il peut perdre la vie !
    Bravo pour la réussite de blogueur pro…

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