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Un champion du MONDE de karaté partage comment RÉUSSIR dans la vie

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Ressources de la vidéo :

Traduction de l’interview (littérale) un champion du monde:

Olivier Roland : Alors, Ricardo, tu es un super entrepreneur, tu gères trois entreprises à la fois.

Ricardo Teixeira : Trois entreprises, oui.

Olivier Roland : Trois entreprises sur Internet, tu gagnes environ 1 million par an. Tu mènes la belle vie, tu voyages beaucoup, tu ne travailles pas tant que ça et tu as une équipe très efficace.

Ricardo Teixeira : La partie où je ne travaille pas tant que ça n’est pas totalement vraie. J’aime travailler, j’aime ce que je fais. Je travaille beaucoup,…

Olivier Roland : As-tu l’impression que c’est du travail ?

Ricardo Teixeira : Oui. J’aime vraiment 80% du travail que je fais. Il y a toujours ces 20% sur la comptabilité, parfois la gestion des équipes,… Mais en général j’aime vraiment ça.

Olivier Roland : Je voulais t’interviewer pas seulement parce que tu es un super entrepreneur, mais aussi, ce qui est très intéressant, parce que tu es un ancien champion du monde de karaté.

Ricardo Teixeira : Oui, c’est vrai. J’ai été champion en 1993, j’avais 20 ans, et j’étais champion dans la catégorie Sénior. Mais il fallait avoir 21 ans minimum, donc j’étais « pré-Sénior » mais champion malgré tout. J’ai été le premier portugais à réussir ça. Le premier portugais à être champion du monde.

Olivier Roland : Tu as partagé avec moi des histoires intéressantes sur comment tu es devenu champion parce que évidemment ce n’était pas facile.

Ricardo Teixeira : Ce n’est pas facile et ça a été un long chemin, comme je te l’ai dit tout à l’heure.

J’ai eu un problème avec mes cheveux, je les ai perdu quand j’avais entre 9 et 11 ans. J’étais déjà passionné par les arts martiaux, donc ça été ma grande excuse pour m’entraîner. J’ai commencé les entraînements, et c’était très long, car au début j’étais très maladroit, je n’étais pas assez bon, je n’avais ni les capacités, ni le talent naturel. J’ai dû me construire pour créer mon talent. J’avais bien sûr la volonté d’y arriver, et j’avais un excellent maître, et c’est ce qui fait la différence dans les arts martiaux. Il m’a poussé.

Olivier Roland : Tu m’as dis avant que tu devais t’entraîner deux fois plus dur que tous les autres. Et malgré ça, tu n’avais pas de résultats.

Ricardo Teixeira : Pas de résultats.

Olivier Roland : Combien de temps il t’a fallu ?

Ricardo Teixeira : Je m’entraînais dans les deux dojos, deux fois comme tu disais, et…

Olivier Roland : Car tu t’entraînais dans deux dojos différents. Est-ce qu’ils savaient ?

Ricardo Teixeira : Oui, car c’était le même maître. Je me suis dis que je devais faire quelque chose. Je devais m’entraîner plus. Si je m’entraînais plus avec mon maître, je deviendrai meilleur.

J’ai fait ça pendant au moins 4 ans d’affilée. 4 ans, et pas de résultats.

Olivier Roland : Pas de résultats. Tu étais mauvais ? Tu te faisais battre ?

Ricardo Teixeira : Je ne peux pas dire que j’étais mauvais, mais je n’étais le meilleur. Je visais le top, mais j’étais toujours 4ème, parfois 3ème…

Olivier Roland : Tu n’étais pas assez bon.

Ricardo Teixeira : Je n’étais pas assez bon. Comparé à la quantité d’entraînements, pas assez bon.

Olivier Roland : À l’époque, tu faisais de la compétition, par pour être champion du monde, mais champion du Portugal. Ce qui est la première étape. Et finalement, tu es devenu champion du Portugal. Qu’est-ce qui a fait la différence ?

Ricardo Teixeira : Pour un gars qui s’entraînait deux fois plus et n’avait pas de résultats. Je pense que tu connais ça, et peut-être d’autres qui regardent la vidéo, il y a quelque chose qui s’appelle PNL, Programmation Neuro-Linguistique, qui cherche à modéliser. Je n’y connaissais rien en PNL, mais je faisais pareil en modélisant. En 1991, je suis allé aux championnats du monde en Suisse, et je n’ai rien gagné, j’ai perdu dès le premier combat, mais il y avait un américain d’origine portugaise qui était là. C’était intéressant parce qu’il était aussi petit que moi, plus maigre, et il avait 38 ans, il était plus vieux que tout le monde. Et il a battu tout le monde. Tout le monde.

J’étais surpris donc j’ai essayé de tout imiter. Sa respiration, sa façon de placer les mains, de se battre, sa façon d’entrer, de bouger. Même lorsqu’il ne se battait pas, sa façon de bouger et de respirer. Tout, je copiais tout. Donc quand je suis retourné au Portugal l’année d’après, je suis entré dans le championnat national et j’ai gagné. En faisant juste ce qu’il faisait. J’ai suivi ces étapes.

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Olivier Roland : Je pense qu’on peut résumer ce que tu as dit par d’abord, tu as vu que quelqu’un avec le même corps pouvait le faire, donc ça a été comme un déclic, dans ta tête.

Ricardo Teixeira : Exactement. Une connexion, une connexion immédiate.

Olivier Roland : Tu as pensé « Si ce type peut le faire, je peux le faire aussi ». C’était comme une preuve.

Ricardo Teixeira : Et encore plus, il était plus vieux que moi !

Olivier Roland : « Donc je devrai être encore meilleure que lui »

Ricardo Teixeira : Exactement. Il est plus vieux, il a presque 18, 19 ans de plus. Voire 20 ans. Donc j’ai clairement plus de force que lui.

Olivier Roland : Intéressant. Et ensuite, tu l’as observé de près, tu as décidé de copier ce qu’il faisait. Et ça a fait une différence.

Ricardo Teixeira : Oui, ça a fait une énorme différence. Et j’ai aussi fait quelque chose de très important. Je suis sorti de ma zone de confort, et j’ai parlé avec lui. J’ai essayé de discuter avec lui, de savoir ce qu’il avait fait, ce qu’il faisait, comment il s’entraînait, avec qui il s’entraînait,…

Donc j’ai trouvé des petits points qui ont fait une petite différence au début, puis une grosse différence à la fin, disons… à moyen terme, pour le futur. Ce n’était pas des résultats immédiats, mais j’ai eu de très bons résultats au fil des mois.

Olivier Roland : Tony Robbins dit souvent que la différence entre être bon et être génial se réduit à 2 millimètres.

Ricardo Teixeira : Exactement. Ce sont les petites choses qui font une grosse différence.

Olivier Roland : Était-ce le cas ?

Ricardo Teixeira : Complètement. C’était comme faire de petits ajustements. J’avais la technique, je m’entraînais beaucoup, donc je l’avais, mais je n’avais pas le bon état d’esprit. Il me manquait des petites choses très importantes pour faire la différence entre bon, très bon, au top et remarquable.

J’étais juste bon. Ces petits ajustements font la différence.

Olivier Roland : Et c’est quand tu as parlé avec cet homme que tu as appris ces petites choses ?

Ricardo Teixeira : C’était une révélation, parce qu’il me disait :

« Je me fiche de qui est en face de moi, je m’en fiche. »

« Je fais juste mes mouvements, je me fiche des siens, je joue juste mon jeu. »

Olivier Roland : Et tu n’étais pas intimidé d’aller lui poser ces questions ?

Ricardo Teixeira : On est toujours un peu intimidé. Il était déjà champion du monde. Je crois même deux fois. C’est toujours un peu intimidant. Mais j’ai appris qu’il était du Portugal, son père était Portugais.

Olivier Roland : Donc il était américain avec des origines portugaises.

Ricardo Teixeira : Oui, ses parents, son père et sa mère.

Olivier Roland : Donc tu as pu lui parler en disant « Hé, je suis du Portugal, etc. »

Ricardo Teixeira : Exactement. J’ai commencé par là, et puis j’ai enchaîné sur le reste.

Olivier Roland : Comme tu l’as dit, on est toujours intimidé lorsqu’on rencontre des personnes qui… qui ont réussi là où on voudrait réussir. Mais on peut aller leur parler, ce n’est rien.

« Je suis du Portugal, je sais que ton père aussi… » C’est pour entamer la conversation.

Ricardo Teixeira : J’ai pensé que je ne perdais rien. S’il disait non, je ne perdais rien. Pourquoi ne pas essayer.

Olivier Roland : Et ça a fait toute la différence.

Ricardo Teixeira : Une énorme différence. On est devenus amis, il m’a un peu aidé…

Olivier Roland : Il est devenu ton mentor.

Ricardo Teixeira : Oui, il est devenu aussi un de mes mentors en arts martiaux.

Et il est aussi entrepreneur.

Olivier Roland : Donc il t’en a parlé, peut-être pas intentionnellement.

Ricardo Teixeira : À l’époque, il n’avait pas encore sa propre entreprise, mais il était un des meilleurs vendeurs de New York. Dans l’État de New York. Et c’était un énorme exploit car comme tu le sais, New York est énorme. C’est très compétitif. Et il pensait monter sa propre entreprise, et a réussi.

Olivier Roland : Donc c’était une première étape, tu es devenu champion du Portugal. Combien de fois as-tu été champion ?

Ricardo Teixeira : Trois ans de suite

Olivier Roland : Et tu voulais devenir champion du monde.

Ricardo Teixeira : Je n’y pensais pas vraiment à l’époque, mais mon maître voulait que ses élèves aillent plus loin que lui. Et je lui en suis reconnaissant.

Mon maître a été mon premier modèle. En tant que professeur, que personne, que spécialiste en arts martiaux, et en tant qu’entrepreneur. Car depuis il est devenu un gros entrepreneur au Portugal.

Donc il m’a mis ça dans la tête, il a fait germer une graine pour me faire croire que c’était possible. Donc il a fait passer le mot pour que je sois invité à être ce qu’on appelle un « ushi deshi ». C’est à dire le disciple d’un maître japonais. Et c’est arrivé, j’ai été invité. Je n’avais pas d’argent, j’étais étudiant, et j’enseignais les arts martiaux pour payer mes études. Les vacances sont arrivées et je devais y aller. Je n’avais pas d’argent, peu importe, je devais trouver un moyen. Et donc, j’avais une collection de comics de Marvel. Iron Man, Spiderman, tout ça. C’était une grosse collection, et je l’ai vendue. Je me suis fait un peu d’argent avec. J’ai aussi vendu ma moto, j’ai récupéré l’argent, et je suis parti aux États-Unis.

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Olivier Roland : Donc tu as vendu des choses auxquelles tu tenais, non ?

Ricardo Teixeira : Oui.

Olivier Roland : C’était un peu un sacrifice.

Ricardo Teixeira : C’est vrai.

Olivier Roland : Mais tu savais ce qui était plus important dans ta vie. Et ce n’était clairement pas des comics de Marvel.

Ricardo Teixeira : Non. Quelque chose dans mes tripes me disait… que c’était le moment, le grand changement. Pas seulement en arts martiaux, mais aussi en tant que personne. Je ne l’ai pas dit, mais quand j’avais 9 ans, j’avais vu un Sinclair, c’était un ordinateur qui…

Olivier Roland : C’est un très vieil ordinateur. Très vieux.

Ricardo Teixeira : Quand je l’ai vu, je suis devenu obsédé par ça, et je me disais qu’un jour, j’aurais un truc comme ça. Je ne sais pas pourquoi, mais le jour où j’ai été invité, je me suis souvenu de ça. J’ai pensé que ça aiderait ma vie, mon futur,… Alors j’ai foncé.

J’y suis resté 3 mois, avec un maître japonais. Et ça été trois des meilleurs mois de ma vie. Je pense qu’au début, je n’aurais pas dit ça, car les premiers jours étaient vraiment, vraiment durs. Mais je comprends pourquoi c’était difficile. Mais l’expérience était vraiment motivante. Les championnats du monde avaient lieu l’année d’après, et je suis devenu champion du monde.

Olivier Roland : Donc, l’entraînement de ce maître japonais t’a aidé beaucoup à devenir champion du monde. Quelle était la différence ? Qu’est-ce qu’il t’a dit ou enseigné que tu as appliqué et qui a fait la différence ?

Ricardo Teixeira : Une des choses qu’il a faite c’est de me permettre de croire plus loin. Car on a toujours des limites. « Je ne peux pas le faire », « C’est difficile »,… Le mot « non ». Et parce qu’ils sont latins, les Portugais ont toujours le mot « non » à la bouche. Donc il m’a enlevé ce « non ».

Par exemple, le jeudi soir, on recevait plein de gens venant d’autres dojos. Et on se battait beaucoup, pendant au moins 3 heures. Et donc, il y avait un autre ushi deshi comme moi, un Allemand, qui ensuite est parti et a été remplacé par un autre Portugais. On était toujours deux. On commençait par se battre contre les plus faibles, et on finissait par les meilleurs. Donc quand on arrivait aux meilleurs, on était lessivés.

Olivier Roland : Exténués.

Ricardo Teixeira : Oui, complètement. Donc on devait trouver un moyen de dépasser nos limites. Quand on en arrivait à ces types, ils étaient les meilleurs, et on ne pouvait pas trouver des excuses comme « je suis trop fatigué ». Car évidemment, c’est ce que j’ai dit le premier jour, la première fois, et mon maître m’a dit « Oh, tu es fatigué ? »

« Parfait. Après l’entraînement, tu vas nettoyer tout le bâtiment, tu vas récurer les toilettes et tondre la pelouse. » Et j’ai demandé « À 2 heures du matin ?! »

« Oui, à 2 heures du matin. »

Donc j’ai dû tout nettoyer et tondre jusqu’à quatre heures du matin.

Olivier Roland : Donc tu as un super entraînement pour repousser tes limites, et tu as vu que tu pouvais le faire. Même si dans ton esprit tu étais fatigué, ton corps pouvait le faire. C’est une question de mental. Ça a dû t’aider beaucoup à dépasser les limites de ton mental.

Ricardo Teixeira : Complètement. Le mental m’a changé.

J’ai décidé que « abandonner » ne faisait pas partie de mon vocabulaire. Je n’y crois pas. Je crois en la persévérance, qu’on peut trouver des façons d’y arriver. C’était une des clés du mental que m’ont donné les japonais. Ça m’a poussé très loin, m’a permis d’accomplir des choses, et en même temps de rester humble.

Après le premier mois, je suis devenu vraiment bon. Dès le premier mois, car il m’a donné des astuces, qui ont fait la différence. Et un jour, j’ai réussi à battre tout le monde. Même les meilleurs, même le Portugais, même l’Américain, qui était mon modèle. Je l’ai battu, je l’ai battu un jour. Mon maître était très content.

« Ricardo, tu es vraiment bon, c’était impressionnant… »

Donc mon égo a atteint des sommets.

Le lendemain de ça, mon maître m’a fait travailler plus et fait faire des exercices qui m’ont vraiment fatigués. Je me suis battu après contre les mêmes types, et ils m’ont tous battu.

Donc mon maître m’a dit : « Ricardo, hier c’était vraiment superbe, mais aujourd’hui c’est de la merde. »

Et je me suis rendu compte que je devais montrer plus d’humilité.

Olivier Roland : Donc il t’a appris comment gérer ton égo, car ça peut être un des plus gros obstacles au succès. C’est très intéressant.

Tu as donc partagé avec nous les techniques qu’il t’a apprises pour passer outre les limites de ton mental et ton égo. Est-ce qu’il t’a appris des techniques pour être plus efficace dans ce que tu faisais ?

Ricardo Teixeira : On était toujours très concentrés sur ce qu’on faisait. On avait aussi bien sur des techniques de méditation. Mais il y a eu un élément clé qui m’a fait vraiment fait prendre conscience de tout. Mon maître disait « Chaque fois que je rentre au dojo, tu dois être devant la porte. »

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Olivier Roland : Tu dois quoi ?

Ricardo Teixeira : Être devant la porte. Oui, il nous disait d’être toujours à la porte.

« Peu importe le moment, 2h du matin, 5h du matin, 4h de l’après-midi ou 9h du soir. Tu dois être à la porte quand j’arrive. »

Olivier Roland : Mais le dojo était très grand non ? Comment c’était possible ?

Ricardo Teixeira : Ça nous inquiétait beaucoup.

Olivier Roland : Qu’arriverait-il ? Si tu n’étais pas à la porte ?

Ricardo Teixeira : Ça aurait été une journée très, très difficile, sans aucun doute. Beaucoup de travail, de travail manuel. Tondre la pelouse, peindre quelque chose,…

Olivier Roland : Un peu comme dans Karaté Kid. Avec M. Miyagi qui faisait peindre la palissade au petit de 10 ans.

Ricardo Teixeira : J’ai pensé de suite à ça quand j’y étais. On est devenus vraiment très vifs à cause de ça. Ça m’a beaucoup aidé à voir les gens, à observer les gens, à être conscient de ce qu’il se passe, à gérer une équipe… Tout ce genre de prise de conscience, m’a appris sur un plan personnel. Bien sûr, aussi sur le côté combat.

Olivier Roland : Tout sur le mental, l’égo, la gestion, la prise de conscience…

Ricardo Teixeira : Je pense que le mot clé est « mental ». Le mental a tout changé. C’est le résultat de tout le reste. La prise de conscience, la puissance, ne pas abandonner… Toutes ces choses, c’était génial.

Olivier Roland : Donc ça, c’était il y a quelques années. Maintenant, tu es un entrepreneur, tu étais un professeur de karaté pendant des années. Tu m’as dit avoir eu une école avec 400 élèves.

Ricardo Teixeira : Oui, j’ai presque atteint 400 personnes.

Olivier Roland : Maintenant, c’est un peu derrière toi, même si tu en fais toujours. Mais tu es un entrepreneur, en quoi toutes ces choses que tu as apprises au karaté, font de toi un meilleur entrepreneur ?

Ricardo Teixeira : Ça m’a beaucoup aidé, car en tant qu’entrepreneur, on connaît nous aussi beaucoup d’échecs. Et c’est très facile de se démotiver, de croire que le montre est contre nous. Et tout ne marche pas en même temps. On fait des choses et d’autres qui ne marchent toujours pas. C’était pareil quand je m’entraînais et que je ne travaillais pas. Et d’un seul coup ça a marché.

Et je pense que c’est la même chose quand on est entrepreneur. J’ai connu beaucoup d’échecs, et puis ça a commencé à marcher. Donc ça en dit beaucoup sur le mental, qu’il ne faut pas abandonner, et en même temps, trouver des modèles, comme moi avec Alex. Trouver des modèles qu’on peut copier, des règles qu’on peut appliquer. Comme Tony Robbins a dit, le succès laisse des indices. Et c’est vrai.

Le principal point est de ne pas abandonner et de persévérer. Et bien sûr, apprendre. Soit on gagne, soit on apprend. On ne perd rien. C’est un des éléments clés.

Olivier Roland : Donc apprendre et persévérer.

Ricardo Teixeira : Oui, apprendre et persévérer.

Bien sûr, quand il y a plusieurs choses importantes qui m’ont aidé. Comme être un professeur dans une école d’arts martiaux, ça m’a appris beaucoup sur comment gérer une équipe. Je gère mon équipe différemment, un peu comme dans un dojo. Dans un dojo il y a des règles, des règles éthiques à appliquer, il y a aussi un respect des personnes. Tout ça je l’ai importé dans mon entreprise. C’est pour ça que mon entreprise s’appelle Kamai. C’est un mot japonais qui signifie être alerte, c’est une position de défense pour être attentif.

Olivier Roland : De la vigilance.

Ricardo Teixeira : Oui. Donc j’ai transféré ça vers mon entreprise.

Olivier Roland : Génial. Merci d’avoir partagé cette superbe histoire. Comme vous pouvez voir, il y a beaucoup de choses que vous pouvez prendre comme entrepreneur. Pas besoin de devenir un champion du monde du karaté ou autre. Mais pour être vraiment bon dans ce que vous faites il y a beaucoup de choses en commun, peu importe le domaine.

Que vous soyez entrepreneur dans l’alimentaire, que vous montiez une startup, que vous soyez un blogueur… Quand vous voulez être bon, vous devez gérer votre égo, avoir un bon mental, et apprendre des techniques particulières pour être meilleur dans ce que vous faites. Ricardo sait de quoi il parle. Il a été champion du monde, et peu de personnes peuvent prétendre la même chose.

J’espère que vous avez fait très attention à ce qu’il a dit. Si vous regardez encore c’est que vous avez trouvé ça intéressant. Donc je vous demanderais de choisir une chose à faire dans votre vie, et de l’appliquer maintenant, pour voir si ça marche. Si vous ne choisissez de ne rien appliquer, cette vidéo n’aura été qu’une stimulation intellectuelle, ce qui est plaisant, mais pas très efficace. Merci d’avoir regardé.

Merci Ricardo d’avoir partagé ça avec nous.

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