1, 2, 3, je me mets à l’éducation positive
Phrase-résumée de « 1, 2, 3, je me mets à l’éducation positive » : L’objectif de ce livre est d’expliquer clairement et simplement les concepts et méthodes développés autour de l’éducation positive, qui offre un regard nouveau sur l’éducation : elle permet de se concentrer sur l’enfant mais aussi sur le nouveau rôle d’éducateur des parents.
Par Véronique Maciejak, 2017, 160 pages.
Note : Cette chronique est une chronique invitée écrite par Chang du blog ParentaliteZen.
Chronique et résumé de “1, 2, 3, je me mets à l’éducation positive”
L’auteure, journaliste et mère de 3 enfants a tout fait pour être la mère qu’elle aspire à être. Au début c’était chaotique et même en suivant les conseils des spécialistes de l’enfance qu’elle interviewait, elle trouvait tout et son contraire. En découvrant l’éducation positive, elle a changé sa vie de maman mais également sa vision de la vie en général.
Le livre s’articulera autour de 3 grandes parties pour mieux appréhender l’éducation positive :
- "Je comprends l’éducation positive"
- "J’essaie l’éducation positive"
- "J’approfondis l’éducation positive"
Partie 1. Je comprends l’éducation positive
Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études
Phrase-résumée de « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études » : Olivier Roland, entrepreneur confirmé à la tête de quatre blogs à succès, veut nous secouer : il nous donne les clés pour s’auto-éduquer efficacement afin d’aspirer au bien-être personnel et nous montre que créer son entreprise est, d’une, à la portée de tous et, de deux, une des meilleures solutions pour jouir d’une vie hors norme dont nous sommes les maîtres incontestés.
Par Olivier Roland, 2016, 520 pages.
Note : Cette chronique a été écrite par Laura du blog Sans sucre s’il vous plait
Note d’Olivier : étant le créateur du blog Des Livres Pour Changer de Vie, sur lequel a été publié près de 400 résumés de livres depuis sa création, je me retrouve aujourd’hui dans une situation assez bizarre, à voir un résumé de mon propre livre publié sur ce blog ! 🙂
Pour éviter toute confusion, je précise que ce résumé m’a été proposé spontanément par Laura, et que je n’ai en rien révisé personnellement ce texte. Il a été écrit par Laura aussi indépendamment que s’il avait été publié sur un blog qui ne m’appartient pas. Alizée, ma responsable éditoriale, lui a appliqué le même traitement qu’aux autres chroniques de ce blog, s’assurant notamment de l’absence de fautes, de la bonne mise en page, du respect des règles éditoriales, etc.
Bref donc comme pour toutes les chroniques de livres publiées ici, ce résumé est un travail à part entière qui est le fait de son auteur, ici Laura. La manière dont elle a résumé mes idées n’est peut-être pas toujours la manière dont je l’aurai fait moi-même, et c’est bien normal ! C’est le jeu de la diffusion des idées et de la communication ! Sur ce, bonne lecture ! 🙂
Chronique et résumé de “Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études” :
Préambule
Avant de se lancer, Olivier nous explique l’importance de connaître et d’appliquer les 3 principes suivants :
- un bon scepticisme : dans n’importe quel domaine, face à une méthode nouvelle et plus ou moins connue, on a deux types de réactions: soit on n’y croit pas et on la rejette, soit elle ne nous est pas indifférente et on la met de côté pour plus tard (c’est-à-dire jamais) sans la vérifier. En fait, seulement une minorité de personnes, les bons sceptiques, auront un troisième type de réaction : essayer cette nouvelle méthode pour vérifier ses soi-disant résultats positifs et en tirer ses propres conclusions.
- Une infinité de méthodes différentes dans chaque domaine : ne jamais prendre une méthode pour acquise. Une méthode utilisée et connue de tous devient une norme, perçue comme la meilleure. Mais ce n’est pas forcément le cas. Parfois, des méthodes révolutionnaires sont dévoilées au public. Pourtant, la majorité des personnes ne les teste pas, sceptique pour croire en de telles solutions miracles.
- La loi de Pareto : découverte par l’économiste et sociologue italien Vilfredo Pareto, elle consiste à dire que 20% de nos actions apportent 80% de nos bénéfices, que ce soit dans le domaine personnel ou professionnel. Pour ce dernier, une bonne méthode permettra de travailler 20% pour récolter 80% des bénéfices.
PARTIE 1 : Comment s’éduquer efficacement au XXIe siècle
Recherches utilisées pour trouver cet article :
tout le monde na pas eu la chance de rater ses études pdfParler une langue couramment en 3 mois
Phrase-résumée de « Fluent in 3 months » : Benny Lewis, polyglotte confirmé, a compilé dans son livre tout ce qu’on devrait savoir pour apprendre n’importe quelle langue, conseils et techniques qui propulseront votre apprentissage.
Par Benny Lewis, 2014, 256 pages.
Titre original : Fluent in 3 months
Note : cette chronique est une chronique invitée écrite par Lauriane Copet du blog Marathon des Langues
Chronique et résumé de « Parler une langue couramment en 3 mois » :
Introduction
Dans le livre “Fluent in 3 months”, Benny Lewis nous invite à découvrir ses techniques pour apprendre à parler n’importe quelle langue. Ses conseils sont concrets et applicables immédiatement. Il nous raconte son histoire, comment il est passé de : “les langues, ce n’est pas pour moi” à être capable d’en parler plus de 12 couramment. Il nous explique pourquoi et comment chaque personne est véritablement capable d’apprendre une langue. Comment bien démarrer dans son apprentissage ? Comment mémoriser du vocabulaire rapidement ? Comment apprendre une langue en restant chez soi ? Il nous donne des conseils dédiés pour l’apprentissage de langues spécifiques comme le russe ou le japonais. Comment il est possible de passer d’un niveau intermédiaire à un niveau avancé ? Comment se faire passer pour un natif ? Comment apprendre plusieurs langues ? Quelles ressources pour qui ?
Vous trouverez votre compte dans au moins 1 des 10 chapitres quel que soit votre niveau. Il s’adresse aux débutants dans les premières pages, puis graduellement se tourne vers les niveaux intermédiaires, puis avancés, puis vers les polyglottes.
Nous allons découvrir ensemble ses conseils, mais avant je vous invite à découvrir son histoire surprenante.
- Rien n’était gagné
Benny Lewis était mauvais en langues étrangères. Pendant ses années collège et lycée, il récoltait de mauvaises notes en allemand et irlandais (il est irlandais d’origine). Il se sentait toujours à la traîne par rapport à ses camarades, qui progressaient beaucoup plus rapidement que lui.
Son égo en a pris un coup. Il pensait ne pas avoir le gène des langues. C’était le destin. Les langues, ce n’était pas son truc. Il trouvait ça tellement injuste, qu’il décida de partir en Espagne.
Après 6 mois d’immersion pour apprendre l’espagnol –devinez la suite ?- toujours rien. Il osait à peine demander le prix de quelque chose. C’était fini. Son destin se résumait à ne parler qu’en anglais toute sa vie.
- Polyglotte aguerri
7 ans plus tard, nous retrouvons Benny dans une soirée internationale “couch surfing” (site qui permet de trouver un “canapé” pour la nuit partout dans le monde). Il est désormais capable d’échanger avec un natif Hongrois, après seulement 5 semaines d’apprentissage. Il se dirige ensuite vers son ami brésilien, avec qui il se met à parler avec son meilleur accent carioca (de Rio de Janeiro). Il rencontre juste après un Espagnol, qui lui demande comment se passe son apprentissage du hongrois. Il passe ensuite au français, pour parler avec un couple d’amis québécois.
Au cours de cette soirée, il a aussi pu pratiquer son italien, un peu d’espéranto, les bases de son thaïlandais et a flirté en allemand.
En une soirée il a échangé dans 8 langues étrangères, sans effort pour passer de l’une à l’autre.
Comment a-t-il fait pour être capable de parler autant de langues, alors qu’a l’âge de 21 ans il ne pouvait s’exprimer qu’en anglais ? Sans parler de son départ foireux dans l’apprentissage des langues à l’école. Quel est son secret ?
Je vais vous le dire tout de suite.
Benny Lewis nous explique qu’il a simplement changé d’approche. Les 6 principes suivants, dégagés de sa propre expérience, illustrent la nouvelle approche qu’il a su adopter et, qui a radicalement changée sa manière d’apprendre.
- Adopter la bonne approche en 6 principes essentiels, selon Benny Lewis
- Prendre conscience que l’enseignement traditionnel des langues étrangères n’est pas efficace. Une langue ne s’apprend pas par obligation comme n’importe quelle autre matière. Apprendre des règles de grammaire ennuyeuses pour un examen ne vous fera jamais parler une langue. Mais, trouver des moyens de communiquer avec votre ami allemand, vous poussera à apprendre la langue d’une autre manière. L’approche et l’attitude face à la langue est différente, et véritablement plus efficace que le système traditionnel imposé.
- Avoir une véritable source de motivation qui soit en relation avec le fait de communiquer dans cette langue. Il ne faut pas être uniquement motivé par les bénéfices que la langue peut vous apporter comme : impressionner les autres, l’ajouter à son CV, réussir un examen. Il faut une raison intrinsèque, il faut vraiment le vouloir. Le bénéfice tiré d’une langue doit être indépendant des facteurs extérieurs pour que l’apprentissage soit rapide et efficace. L’ingrédient clé est la communication. Apprenez une langue avec l’objectif de la parler.
- La passion est un facteur essentiel qui fait la différence entre les apprentis qui réussissent ou échouent. Il faut avoir réellement envie d’apprendre une langue. Il s’agit d’être passionné par la langue et la culture.
- Pour développer cette passion, il faut la vivre à 100% en s’immergeant dans l’environnement. Regardez des films, écoutez de la musique, la radio, lisez à propos de la culture, mangez selon les traditions. Entourez-vous de toutes les ressources disponibles relatives à la langue apprise. La passion se développera davantage.
- Soyez prêt à mettre toutes les chances de votre côté. Investissez en vous-même. Donnez-vous les moyens de réussir.
- Votre succès dépendra de votre attitude face à ce projet. Vous avez intrinsèquement envie de réussir. Vous avez décidé de ne pas abandonner au moindre obstacle, vous continuez malgré les plateaux et déceptions. C’est cette attitude qui vous fera aller au bout.
Benny Lewis appuie son plaidoyer sur l’attitude. La personne qui se lance dans ce projet d’apprentissage doit, avant tout, être prête à s’investir à 100%.Rassurez-vous, il a dédié ce livre entier pour vous aider à trouver la bonne attitude.
Entrons dans le vif du sujet avec les obstacles qui entravent l’apprentissage.
CHAPITRE 1 : Les mythes à faire tomber
Recherches utilisées pour trouver cet article :
comment parler anglais couramment en 3 mois, discussion ceux qui apprennent dans les livre doivent aussi apprendre dans la vie, Les Livres En Langue Mbai, parler couramment une langue, un projet pour parler courammentAuto-hypnose, un manuel pour votre cerveau
Phrase-résumée de “Auto-hypnose” : Kévin Finel, président de l’Académie de la Recherche et de Connaissance en Hypnose Ericksonienne nous propose de partir à la découverte de notre cerveau pour mieux comprendre et utiliser notre inconscient grâce à des techniques à la fois simples, ludiques et puissantes pour changer et atteindre nos objectifs.
Par Kévin Finel, 2015, 179 pages
Note : cette chronique est une chronique invitée réalisée par Gaël Loric du blog Changer Aujourd’hui.
Chronique et résumé de “Auto-hypnose, un manuel pour votre cerveau” :
“Connaître le fonctionnement de son cerveau est le premier pas vers une totale liberté intérieure. Tant que ses fonctionnements restent des processus inconscients, l’homme ne peut agir dessus et demeure empêtré dans une liberté illusoire” – Kévin Finel
Le livre est structuré en 6 parties :
- Introduction
- Partie 1 : Les bases du fonctionnement
- Partie 2 : L’art du changement en auto-hypnose
- Partie 3 : La surconscience
- Conclusion
- Annexes
Introduction
“Ce n’est pas tant le cerveau qui diffère d’un individu à un autre que la façon dont nous apprenons à nous en servir”
L’hypnose moderne est largement issue de la pratique du thérapeute Milton Erickson, autant qu’elle est éloignée de l’image populaire renvoyée par l’hypnose de spectacle. Son objet est notre inconscient, et son objectif d’identifier et actionner les leviers inconscients permettant le changement.
Quant à elle, l’autohypnose vise à “trouver des clés d’intervention facilement utilisables pour soi-même”
Ce livre nous emmène à la découverte d’outils et techniques pour mieux appréhender et exploiter ces clés. Il est important d’expérimenter les différents exercices proposés, car comme tout livre de développement personnel, les résultats pour vous-mêmes seront directement liés à la mise en pratique des principes présentés.
Enfin, cet ouvrage ne comporte aucun jugement d’ordre moral, spirituel ou idéologique. C’est davantage un manuel d’utilisation que chacun peut adapter à sa propre vie pour développer son autonomie et sa liberté intérieure.
Retrouvez sur mon blog, diverses techniques inspirées notamment de cet ouvrage et appliquées au développement personnel et professionnel, comme par exemple la technique de l’ancrage que vous découvrirez plus loin.
Partie 1 : les bases du fonctionnement
Recherches utilisées pour trouver cet article :
les grands livres pour apprendre hypones professionnel, auto-hypnose manuel du cerveauComment être le 1er de sa classe – 4 techniques ultra efficaces pour apprendre plus facilement
Références scientifiques :
- L’efficacité des rappels
- Retrieval practice produces more learning than elaborative studying with concept mapping, Karpicke et Blunt, 2011.
- Is Expanded Retrieval Practice a Superior Form of Spaced Retrieval? A Critical Review of the Extant Literature, David A. Balota, Janet M Duchek, Jessica M. Logan
- Metacognitive strategies in student learning: do students practise retrieval when they study on their own?, Karpicke et Butler.
- Using Spacing to Enhance Diverse Forms of Learning: Review of Recent Research and Implications for Instruction, Shana K. Carpenter, Nicholas J. Cepeda, Doug Rohrer, Sean H. K. Kang, Harold Pashler, 2012.
- Booster sa volonté
Ressources :
- La vidéo : Comment réussir en changeant la structure de votre vie
- Répétition espacée :
- Dual N-back :
- Pour apprendre à utiliser le Dual N-back
- Le jeu “Dual N-Back“, version gratuite et open source
- En version payante, et du coup plus poussée
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Recherches utilisées pour trouver cet article :
comment etre le premier de sa classe en 5eme, cemment etre premier de sa classe, Comment etre 1 dans sa classe, Comment etre premier de sa classe, comment etre premier en classeCe que m’a apporté mon défi de lire 52 livres en 52 semaines, le bilan 7 ans après
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Ressources de la vidéo :
- La vidéo : Comment découvrir RÉELLEMENT vos FORCES et vos TALENTS
- La vidéo : 3 astuces pour BOOSTER votre PRODUCTIVITÉ
- La vidéo : Langage Corporel : Cette ASTUCE pour RÉUSSIR va vous faire TOMBER par TERRE !
- La vidéo : Comment manipuler les autres et avoir de l’INFLUENCE : les 6 principes
- La vidéo : 8 astuces SIMPLES pour vivre plus LONGTEMPS et en BONNE santé
- La vidéo : Comment vous PASSER de DIPLÔME avec le Personal MBA et l’entreprenariat
- La chronique du livre : Getting Things Done – S’organiser pour réussir
- La chronique du livre : Présentation Zen
- La chronique du livre : Lead The Field
- La chronique du livre : The Ultimate Sales Machine de Chet Holmes
- La chronique du livre : The Sales Bible de Jeffrey Gitomer
- La chronique du livre : 3D Negotiation de David A.Lan, James Sebenius
- La chronique du livre : SPIN Selling de Neil Rackham
- La chronique du livre : Bit Literacy
- La chronique du livre : Ces Idées qui Collent – Pourquoi Certaines Idées Survivent et d’Autres Meurent
- La chronique du livre : Serons-nous Immortels ?
- La chronique du livre : Getting Everything You can Out of All You’ve Got
- La chronique du livre : The Creative Habit (Devenir Créatif)
- La chronique du livre : Tous les marketeurs sont des menteurs, de Seth Godin
- La chronique du livre : Real World Seduction, de Swinggcat
- La chronique du livre : The Path of Least Resistance – Apprendre à Devenir la Force Créative de Votre Propre Vie
- La chronique du livre : The unwritten laws of Business
- La chronique du livre : 45 méthodes efficaces pour Recruter avec discernement
- La chronique du livre : Making It All Work
- La chronique du livre : Personal Development for Smart People
- La chronique du livre : L’Art de la Méditation
- La chronique du livre : Deep Survival
- La chronique du livre : Influence et Manipulation
- La chronique du livre : Conversations Cruciales
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- Le livre “La semaine de 4 heures” sur Amazon
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- Le livre “3-D Negotiation” sur Amazon
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Mon premier plateau télé
Ressources :
- En savoir plus sur “Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études“.
- La vidéo : Comment mon entreprise me permet de voyager 6 MOIS par an – Conférence ING
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Comment gagner de l argent en boostant son inteligence en pdf, reussir sa vie livreLes 3 principes pour réussir dans tous les domaines de votre vie
Ressources :
- En savoir plus sur “Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études“.
- La vidéo : Pourquoi lire régulièrement fait vivre plus LONGTEMPS ?! La PREUVE scientifique
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3 principes de la vieRebelles intelligents, osez vivre vos rêves !
Ressources :
- En savoir plus sur “Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études“.
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Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études : les news !
Ressources :
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- Téléchargez la couverture et la 4ème de couverture du livre
- La vidéo : Comment créer une entreprise SANS argent
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Transcription texte (littérale):
La sortie de mon livre « Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études » est imminente.
Le manuscrit est aujourd’hui terminé, et aussi l’épreuve, la version définitive de livre juste avant l’impression.
Les tout premiers exemplaires vont être imprimés le 8 septembre. Et la sortie officielle, c’est pour le 23 septembre. Du coup, la couverture définitive est également prête.
J’ai commencé à avoir des nouvelles de médias puisque j’ai plusieurs attachés de presse sur cette mission, notamment Caroline qui est l’attachée de presse des Editions Leduc. Il y a aussi Fred qui travaille pour moi.
Aujourd’hui, j’ai déjà eu une interview de la part d’un journal francophone ici à Londres et il y a pas mal de magazines et peut-être même d’émissions de télé qui sont intéressées par le sujet, sachant que là pendant le mois d’août, forcément la plupart des gens était en vacances.
Donc, attendez-vous à me voir ou à voir le livre dans pas mal de médias à partir de septembre. En tout cas, c’est le but parce qu’évidemment, avec ce livre, je veux toucher, aider un maximum de personnes.
Fred est d’ailleurs venu à Londres pour prendre plusieurs photos de moi que les journalistes vont pouvoir utiliser dans leurs articles.
Tout va bien. C’est vraiment l’aboutissement d’un projet qui était beaucoup prenant que ce que je pensais parce que j’ai quand même passé trois ans et demi à l’écrire.
Ça va faire presque 4 ans entre le moment où j’ai signé le contrat et le moment de la date de parution.
Ce ne sera pas un livre pour les timides. J’ai regardé la mise en page de l’épreuve. Il y aura plus de 500 pages. Donc, pas les 620 que j’avais dit au début parce que les Editions Leduc ont fait une adaptation sans retirer de texte, ils ont juste mis plus de texte dans une page. Il y aura du coup moins de 600 pages, mais plus de 500 quand même.
Il y a trois grandes parties.
1- La critique du système éducatif occidental et notamment francophone, en pointant plusieurs insuffisances claires du système éducatif, comme son incapacité à enseigner efficacement des langues étrangères.
2- Comment contourner soi-même les limites du système éducatif en hackant son éducation, en devenant plus intelligent, en apprenant à apprendre ?
3- Comment devenir liber en créant l’entreprise qui soit au service de notre vie, plutôt que notre vie soit au service d’une entreprise, et ce avec le maximum de chance de réussite et le minimum de risque ?
J’ai vraiment voulu créer le livre que les gens qui se bougent, les rebelles intelligents pourront utiliser comme guide pour être libres et heureux au XXIe siècle.
Ça parait extrêmement ambition. J’ai vraiment beaucoup d’ambitions avec ce livre.
Après avoir beaucoup voyagé, je peux vous dire qu’en francophonie en général et en France en particulier, on a vraiment un manque d’état d’esprit entrepreneurial qui est important.
Cela vient en partie du fait qu’on ne dit pas assez aux gens comment ils pourraient réussir autrement que par le sempiternel « passe ton diplôme et fais du métro, boulot, dodo pendant 40 ans ».
Je pense qu’en France et dans beaucoup de pays francophones, il y a beaucoup de braises, mais qu’on les a mouillés toutes leurs vies. Du coup, elles n’ont jamais pu prendre.
Je veux être juste la petite brise qui va souffler sur ces braises qui ont été mouillées toutes leurs vies et qui va leur permettre de s’épanouir parce que finalement, je parle à des gens qui ressentent au fond d’eux un appel à quelque chose de différent, un appel à plus de liberté, plus de créativité, à plus d’indépendance, à plus de réalisation de soi tout en apportant de la valeur à soi-même et aux autres.
Je vais essayer dans ce livre de vous donner le maximum pour que vous puissiez vraiment réussir complètement à réaliser vos aspirations.
Comment PARTICIPER à mon livre – et sa DATE de PUBLICATION ! :)
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Ressources de la vidéo :
- S’inscrire à la liste email dédié au livre en cliquant ici.
- La vidéo : Défi Livre 2013 : Signature du livre aux Editions Leduc par Olivier Roland
Transcription texte :
Le personal MBA de Josh Kaufman
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Ressources de la vidéo :
Transcription texte (littérale) :
Quand on devient entrepreneur, on n’a pas forcément la formation nécessaire pour bien comprendre tous les tenants et aboutissants de notre business.
Il y a un livre qui va vous donner toutes les bases théoriques pour comprendre exactement ce qu’est un business, et comment le développer, comment le faire décoller sur les chapeaux de roues et l’emmener à des niveaux où vous n’auriez jamais soupçonné. C’est « Le Personal MBA » de Josh Kaufman.
Comme le livre « L’art d’aller à l’essentiel », j’ai écrit la préface de ce bouquin parce que Josh Kaufman et son concept de Personal MBA ont complètement changé ma vie.
Personal MBA est une référence à un diplôme d’école de commerce très prestigieux qui s’appelle MBA, Master of Business of Administration. Généralement, cela coûte très cher, entre 50 000 et 100 000 euros. Il vous demande souvent entre un ou deux ans de votre vie, et il est censé être la panacée en termes d’éducation de business.
On est censé être, après avoir le MBA, parmi le top de l’élite mondial en termes de compréhension des business. Et c’est dispensé par tout un tas d’écoles, y compris les écoles prestigieuses comme Harvard par exemple.
Le concept du Personal MBA, c’est qu’on peut avoir l’essentiel du savoir distillé dans ces écoles pour toute infime, minuscule fraction du coût, en lisant les meilleurs bouquins de business du monde.
C’était une idée de Seth Godin qui est un très grand marketeur entrepreneur américain, et Josh Kaufman l’a appliqué en créant la liste du Personal MBA. Aujourd’hui, c’est 99 livres dans 24 catégories différentes.
Ensuite, Josh Kaufman est allé plus loin parce qu’il a lu tous les livres du Personal MBA et des centaines d’autres. C’est un lecteur extrêmement rapide qui a une extraordinaire capacité de synthèse. Et il a décidé de résumer dans un seul bouquin l’essentiel de tout ce qu’il a appris en lisant ces bouquins et puis aussi en étant lui-même entrepreneur.
Avant, il était cadre chez Procter & Gamble. Depuis, il a créé sa propre entreprise. Donc, il a une expérience personnelle.
Ce livre n’est pas pour les timides. Il est gros. Vous n’allez pas le lire en 5 minutes, mais il est incroyable.
S’il y avait un livre qui pourrait vous permettre de sauter deux, trois, quatre années d’études de commerce pour avoir tout ce qu’il vous faut en base théorique, pour comprendre les tenants et aboutissants d’un business, ça serait celui-là.
Il y a vraiment presque toutes les notions les plus importantes qui sont résumées, expliquées avec une clarté incroyable. Et ça vous donne énormément d’idées pour l’action.
Il n’est pas tourné sur les actions concrètes. Forcément, c’est vraiment pour vous donner déjà une compréhension extrêmement limpide. A la base, c’est de la théorie, mais ce n’est pas que de la théorie.
Et ça va vous donner une compréhension tellement limpide de votre business et des business en général que forcément, ça va entraîner aussi une meilleure clarté dans l’action et une meilleure motivation dans l’action, et donc une meilleure action au final.
En gros, il y a 11 grands thèmes qui sont abordés dans ce livre et à chaque fois, avec des notions très précises dans chacune de ces catégories.
Je vous donne les catégories parce que c’est extrêmement intéressant.
– D’abord, comment créer de la valeur parce que c’est la base de toute entreprise.
S’il y a des gens qui sont prêts à acheter vos produits et services, c’est parce que ça leur apporte une valeur. Donc, comment créer de la valeur de la manière la plus efficace possible ? C’est le premier thème et c’est finalement le cœur du sujet d’une entreprise. C’est très important.
– Ensuite, le Marketing : comment communiquer le plus efficacement possible auprès d’une audience pour pouvoir les convaincre que vous allez pouvoir leur apporter de la valeur ?
– La vente : c’est convaincre les gens d’une manière plus individuelle.
– Comment délivrer de la valeur ?
C’est bien, vous avez créé de la valeur, c’est génial. Mais comment faire en sorte qu’elle touche concrètement vos clients ?
– La finance : c’est un aspect important de la gestion d’une entreprise.
– L’esprit humain : comprendre comment l’humain fonctionne. C’est très important. Ça va même au-delà finalement de juste l’éducation de base dans le business.
Il y a un principe clair dans toute chose que vous voulez entreprendre dans votre vie, c’est que vous ne pouvez pas lutter contre la psychologie humaine. C’est beaucoup plus efficace d’accepter le comportement par défaut des gens et de faire en sorte d’assumer que le comportement par défaut des gens, ça serait leur comportement par défaut, plutôt que d’assumer que miraculeusement, les gens vont changer leurs manières de fonctionner par défaut habituel.
– Comment travailler avec soi-même ? Donc, comment être plus productif ? Comment ne plus être envahi par les distractions ? Ce genre de choses.
– Comment travailler avec les autres ? Ça, c’est évidemment très important.
– Comprendre les systèmes : là, on est dans une catégorie qui va vous permettre d’avoir toutes les armes nécessaires pour pouvoir automatiser votre entreprise, ou en tout cas, faire en sorte qu’elle tourne de la manière la plus efficace possible.
Et la différence entre avoir créé votre propre job et avoir créé votre entreprise, c’est que si vous avez créé votre entreprise, vous êtes capable de vous enlever de l’organigramme et ça continue à fonctionner. En tout cas, pendant au moins un certain temps.
– Donc, Comprendre les systèmes, analyser les systèmes, améliorer les systèmes. Trois chapitres entiers qui sont vraiment conçus pour vous emmener à un autre niveau.
Par exemple, dans « travailler avec soi-même », on a plein de choses. Déjà, il vous explique ce que c’est la crazy. Ça peut paraître un peu flippant d’avoir des termes un petit peu techniques. Mais après, c’est d’une simplicité hallucinante.
Comment mettre en place des actions prioritaires, les 4 méthodes pour terminer une action. Comment avoir l’état d’esprit de l’action, les habitudes, le ciblage ? Ce genre de choses.
Dans le marketing, comment faire en sorte d’être remarquable ? Comment faire en sorte que les gens soient réceptifs à ce que vous dites déjà, qui prêtent attention à ce que vous dites et ensuite qu’ils soient réceptifs ?
Il y a des tas de choses comme ça. Si vous n’avez aucune éducation en business ou vous avez le sentiment qu’elle n’est pas suffisante et que vous voulez vous lancer dans l’entreprenariat ou vous êtes déjà lancés, franchement, je vous recommande ce livre.
Ça vous donnera toutes les armes, beaucoup plus de confiance en vous et beaucoup plus de clarté dans toutes les choses qui sont liées au business.
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Recherches utilisées pour trouver cet article :
kaufmanComment apprendre efficacement les langues étrangères
Note : cet article invité vous est proposé par Pierre Blanchon du blog Le Monde des Langues.
Nous vivons dans un monde de plus en plus connecté, dans une société chaque jour plus cosmopolite. A l’heure où Internet permet de communiquer instantanément avec des personnes vivant aux quatre coins du monde, la connaissance d’une ou plusieurs langues étrangères n’a jamais été aussi importante. Pour beaucoup, le monolinguisme (fait de ne parler qu’une seule langue) constitue un facteur limitant, un véritable obstacle à la réussite. Pour travailler dans certains secteurs, une bonne maîtrise de l’anglais est par exemple une nécessité absolue.
Si vous vous trouvez dans cette situation, ne vous découragez pas pour autant. Cet article a deux objectifs : tout d’abord vous montrer qu’apprendre une langue est simple, puis vous donner des conseils concrets pour y parvenir.
Crédits Photo: Roger Meyer
Pourquoi vous devez absolument apprendre une langue étrangère
Tout d’abord, commençons par énumérer quelques-unes des principales raisons qui devraient vous pousser à apprendre une langue étrangère. Considérez ces raisons comme des sources de motivation, qui vous aideront à démarrer votre projet d’apprentissage.
Un formidable accès à la connaissance
Le français fait partie du club très fermé des langues les plus parlées au monde. Pourtant, s’en contenter revient à se priver d’une grande partie de la connaissance disponible dans d’autres langues. D’après le W3Techs (une sorte d’observatoire du Web), seuls 4 % des sites Internet sont en français, contre 55,2 % en anglais. Le français occupe seulement la 6e place, derrière l’anglais, le russe, l’allemand, le japonais et l’espagnol.
Il en va de même pour les livres : parmi les nombreux ouvrages de référence présentés sur ce site, seule une minorité est disponible en français. Ce n’est pas pour rien qu’il est recommandé de lire des livres en anglais ! Ce conseil ne vaut d’ailleurs pas que pour l’anglais : on considère qu’environ 10% des livres paraissant chaque année dans le monde sont écrits en allemand. Tous ne seront pas traduits, loin de là.
La maîtrise d’une langue étrangère vous ouvre donc un accès privilégié à la connaissance et à l’information, sans avoir à attendre de traduction en français. Bref, les polyglottes ont toujours une longueur d’avance.
Découvrir d’autres cultures
Parler une langue étrangère vous permet de partir à la découverte d’autres cultures et de voyager en dehors des sentiers battus. Je trouve dommage que certains voyageurs se contentent de « faire un pays » en passant quelques jours dans la plus grande ville, sans chercher à entrer en contact avec la population.
Les langues étrangères vous offrent la possibilité d’aller plus loin et de vous immerger dans la culture d’un pays, loin des circuits touristiques. En Europe de l’Ouest, l’anglais est généralement suffisant, surtout dans les grandes villes, mais dans d’autres régions du monde, il peut s’avérer limité. Par exemple, l’espagnol vous sera beaucoup plus utile si vous décidez d’explorer l’Amérique latine.
Maîtriser une langue étrangère vous permet donc de vous faire des amis en voyageant, d’être hébergé chez l’habitant et de découvrir des endroits aussi fascinants que méconnus des touristes.
Une chance pour votre carrière
Que ce soit pour décrocher l’emploi de vos rêves ou pour créer votre entreprise, les langues étrangères représentent un atout de taille. Encore une fois, l’anglais vous ouvrira de nombreuses portes, mais ne négligez pas les autres langues. Pour revenir sur l’Allemagne, il s’agit du premier partenaire commercial de la France : l’allemand est de ce fait très utile dans le monde professionnel, tout comme peuvent l’être l’italien, l’arabe ou l’espagnol.
Si vous avez une âme d’entrepreneur, il est même possible qu’une langue rare vous offre des avantages inattendus. Ainsi, si vous parlez letton et connaissez bien la Lettonie, il vous sera plus facile de lancer un service d’importation de produits gastronomiques en provenance de ce pays. Cette image est bien entendu tirée par les cheveux, mais elle démontre un principe important : en langues comme en entrepreneuriat, aucune piste n’est à négliger !
Crédits Photo: David Yu
Apprendre une langue étrangère : partir sur de bonnes bases et rester motivé
Quelle que soit la langue apprise, il existe quelques grands principes qui ne changent jamais et qui doivent impérativement être respectés si vous souhaitez progresser rapidement. Avec un peu d’expérience, vous les intègrerez naturellement et vous n’aurez plus à vous en soucier si vous décidez d’attaquer une autre langue. C’est un cercle vertueux : plus on apprend de langues, plus il devient facile d’en apprendre par la suite !
Entretenez votre motivation
Si vous ne deviez retenir qu’une seule règle, ce serait celle-ci : l’apprentissage d’une langue étrangère prend du temps, beaucoup de temps. Vous devez donc entretenir votre motivation sur le long terme pour accroître vos chances de continuer votre projet sans vous décourager.
Trouvez des activités qui vous motivent, en lien avec la langue que vous apprenez. Les possibilités ne manquent pas : regardez des films et des séries télévisées en VO, lisez des livres et des bandes dessinées, discutez avec des locuteurs… Ayez toujours à l’esprit une bonne raison, concrète et personnelle, de continuer à apprendre cette langue.
Travaillez peu mais régulièrement
Autre règle d’or : il est toujours préférable de travailler par petites sessions quotidiennes plutôt que plusieurs heures une fois par semaine. C’est non seulement plus motivant, mais aussi plus efficace. Je vous recommande de travailler de 15 à 30 minutes par jour, en fonction de votre temps libre.
Bien sûr, rien ne vous empêche de vous exercer plus longuement si vous en avez le temps et l’envie, mais vous prenez le risque de vous lasser assez vite.
Ne négligez pas l’oral
C’est un problème que nous avons en France : nous avons une vision « écrite » des langues, dont découle une fâcheuse tendance à négliger l’oral. Efforcez-vous de parler dès le début de votre apprentissage, en commençant par répéter des phrases toutes faites, par exemple celles de votre méthode. Lorsque vous apprenez un nouveau mot, surtout dans une langue à la prononciation complexe comme l’anglais, vérifiez toujours comment il se prononce. Pour cela, vous pouvez regarder sa transcription phonétique en API ou encore consulter un dictionnaire en ligne proposant des enregistrements audio (WordReference ou le Wiktionnaire).
Par la suite, l’idéal reste d’organiser des conversations avec des locuteurs natifs de la langue. Vous pouvez le faire en face-à-face si de telles personnes habitent près de chez vous, ou bien en visioconférence, via Skype ou un service dédié.
Si vous avez la possibilité de partir rapidement dans le pays, ne restez pas dans votre coin : saisissez cette chance et parlez autant que possible !
Immergez-vous dans la langue
Contrairement à une idée très répandue, il n’est pas nécessaire de vivre dans un pays pour en apprendre la langue. Au contraire, on peut très bien habiter pendant plusieurs années à l’étranger sans faire le moindre progrès dans la langue nationale. A titre personnel, j’ai atteint un niveau très honorable en anglais avant même de mettre les pieds dans un pays anglophone.
Vous devez créer une bulle d’immersion linguistique, qui vous permettra de rester en contact permanent avec la langue que vous apprenez. Pour y parvenir, rien de plus simple : exercez-vous régulièrement comme je l’ai dit plus haut et pratiquez aussi souvent que possible des activités qui vous plaisent, dans la langue que vous apprenez. Amusez-vous avec des supports variés : livres, articles de journaux, films, séries, chansons, podcasts… N’oubliez pas non plus d’être actif dans cette immersion : essayez de nouer contact avec des locuteurs et de discuter avec eux, autant à l’écrit qu’à l’oral.
Ce n’est pas pour rien qu’on parle de langue vivante : on l’apprend pour l’utiliser avec plaisir au quotidien, pas pour amasser des connaissances théoriques dans un recoin de sa tête.
Ne restez pas isolé
La solitude est l’ennemie de l’apprentissage. En restant totalement isolé, vous prenez un certain nombre de risques : perdre votre motivation, réviser moins régulièrement car personne ne sera là pour vous le rappeler, ne jamais pratiquer à l’oral comme à l’écrit, etc.
Cela ne signifie pas qu’il est impossible d’apprendre seul avec une méthode : bien au contraire, c’est une très bonne option. Je veux simplement dire que l’isolement n’est ni efficace, ni très amusant. Parlez de votre projet autour de vous, impliquez vos proches en leur faisant part de vos progrès. Entourez de personnes qui parlent ou apprennent la langue et posez-leur vos questions quand vous avez un doute. Rencontrez des locuteurs et discutez régulièrement avec eux, à l’écrit comme à l’oral.
Encore une fois, veillez à ce que votre apprentissage reste vivant et qu’il corresponde à l’utilité première de la langue : communiquer.
Crédits Photo: Stopthegears
Commencez à apprendre une langue… dès aujourd’hui !
Les premiers pas dans l’étude d’une langue constituent toujours un moment fascinant : un nouveau monde s’ouvre à vous et l’enthousiasme des débuts vous donne des ailes. Pourtant, cette étape peut en effrayer certains et pour cause : on ne sait pas forcément par où commencer. Les prochains paragraphes vous donneront les clés pour partir sur des bases solides.
Posez-vous les bonnes questions : l’exemple de l’aïkido
Pour être efficace, votre programme doit s’intégrer naturellement dans votre quotidien et se faire aussi discret que possible. A l’inverse, plus vous le percevrez comme une contrainte, moins vous serez motivé.
Pour illustrer ce concept, je prends toujours l’exemple de l’aïkido, un art martial japonais. En aïkido, on ne s’oppose pas à son adversaire par la force. Si on résiste, on se retrouve dans une situation de blocage qui risque de nous être préjudiciable. Au contraire, il faut utiliser l’énergie de l’adversaire pour la retourner contre lui. Dans la philosophie de l’aïkido, on ne combat pas la violence par la violence, on la supprime en amenant attaquant et attaqué à un niveau égal d’harmonie.
Dans les langues étrangères, c’est pareil : votre programme d’apprentissage doit s’harmoniser avec votre vie quotidienne, sans opposer de résistance. De cette manière, apprendre restera un plaisir, jamais une contrainte.
Ce que vous aimez faire
Envisagez votre apprentissage en fonction de vos goûts et de votre personnalité. Si vous êtes plutôt solitaire, l’auto-apprentissage via une méthode sera plus indiqué qu’un cours en groupe. Si vous êtes du genre technophile, utilisez des applications sur votre smartphone. Si vous n’aimez pas les émissions radio, écoutez plutôt des chansons.
Bref, adaptez votre étude en fonction des activités qui vous plaisent et des outils qui vous correspondent.
- Ce que vous pouvez faire
L’organisation de votre projet sera influencée par de très nombreux facteurs, auxquels vous ne pourrez sans doute rien changer : avez-vous du temps libre, des ressources financières ? Habitez-vous dans une grande ville cosmopolite ou dans un petit village isolé ? La langue que vous apprenez dispose-t-elle de ressources conséquentes (comme l’anglais, l’espagnol, l’allemand…) ou bien est-elle rare et peu enseignée ? Prenez-vous les transports en commun ou la voiture ?
De ces facteurs dépendra la forme que prendra votre programme. Ainsi, si vous vivez dans une métropole, vous aurez plus de chances de rencontrer des locuteurs de la langue et de trouver des cours du soir, tandis que si vous habitez à la campagne, vous vous tournerez plutôt vers une méthode et des conversations via webcam. Si vous prenez le métro pour aller travailler, vous pourrez lire dans la langue, alors qu’en voiture, vous écouterez plutôt des chansons.
Pour résumer, organisez votre apprentissage en fonction de votre mode de vie et non l’inverse.
Crédits Photo: Darwin Bell
Les outils à votre disposition
A moins de vraiment savoir ce que vous faites, je vous déconseille de vous lancer dans votre projet sans un support pédagogique approprié. Optez soit pour des cours avec un professeur (seul ou en groupe), soit pour une méthode ou des leçons sur Internet. N’hésitez pas à vous renseigner au préalable avant de prendre votre décision.
Apprendre les langues étrangères, ça coûte cher ?
Un mot au sujet de l’argent : votre projet n’a pas besoin de coûter une fortune. Internet regorge de ressources gratuites de très bonne tenue. Il est même possible de trouver des cours eux aussi gratuits, dispensés par des entreprises ou des centres culturels.
Pour autant, ne faites pas preuve de radinerie : l’apprentissage d’une langue étrangère est un projet que vous rentabiliserez forcément sur le long terme. De plus, le fait de placer une petite somme vous motivera à travailler plus régulièrement, car vous n’aurez aucune envie d’avoir dépensé de l’argent pour rien.
Comment choisir un cours ou une méthode
Le choix d’un cours est souvent orienté par des facteurs très terre-à-terre : coût, horaires, position géographique, réputation de l’établissement, certification délivrée.
Une méthode vous offre plus de latitude, puisque vous êtes libre de travailler quand vous voulez, où vous voulez. Renseignez-vous pour connaître la réputation de cette méthode, feuilletez-la en magasin si vous en avez l’occasion et, surtout, assurez-vous qu’elle comporte un CD audio ou des mp3 à télécharger. Au risque de me répéter, une langue ne s’apprend pas à l’écrit et négliger la composante orale serait une erreur.
Utilisez les nouvelles technologies
L’essor d’Internet et des technologies mobiles a considérablement démocratisé l’apprentissage des langues étrangères. Il existe de nombreux logiciels et applications qui vous faciliteront la vie. S’ils sont disponibles dans la langue que vous apprenez, vous auriez tort de vous en priver. Mes préférés sont Duolingo (navigateur, iOS, Android et Windows Phone) et MosaLingua (iOS et Android), que j’utilise quotidiennement.
Les logiciels sont particulièrement indiqués pour l’apprentissage du vocabulaire, puisqu’ils calculent automatiquement le meilleur moment pour vos révisions. C’est ce que l’on appelle la répétition espacée. Si vous ne trouvez pas un programme qui vous mâche le travail dans votre langue cible, tournez-vous vers Anki. Son interface est un peu spartiate, mais il peut être utilisé pour n’importe quelle langue et dispose de sa propre appli (gratuite sur Android, payante sur iOS).
J’ai déjà évoqué la visio-conférence, car c’est un excellent moyen de s’entretenir avec des locuteurs de la langue, même s’ils se trouvent à l’autre bout du monde. On est loin de l’époque où les webcams renvoyaient une image saccadée, avec plusieurs secondes de latence.
Je vous conseille vraiment d’utiliser le son et l’image, car chaque langue possède une composante de langage non verbal, qu’une communication téléphonique ne peut transmettre. Si vous voulez parler avec les mains comme les Italiens, il faudra les voir en action !
De nombreux services proposent des sessions de conversation avec des étrangers, gratuites ou payantes. Le plus connu reste italki, mais rien ne vous empêche d’en utiliser un autre, voire de recourir à Skype ou Google Hangouts.
Passez à l’action et maintenez le cap
Maintenant que vous êtes doté des bons outils, il ne vous reste plus qu’à les utiliser. Malheureusement, c’est parfois plus facile à dire qu’à faire et beaucoup éprouvent des difficultés à travailler régulièrement et vaincre la procrastination.
Si vous êtes dans ce cas, lancez-vous un défi motivant. Profitez de l’enthousiasme des débuts pour travailler régulièrement pendant une durée fixée à l’avance, par exemple un mois, puis faites-vous un cadeau si vous y parvenez. Si vous réussissez, vous aurez certainement développé de bonnes habitudes sans même vous en rendre compte et n’aurez aucune difficulté à continuer sur cette lancée.
Par la suite, respectez toujours la règle suivante : faites-vous plaisir. Comme votre alimentation, votre programme doit être varié et équilibré. Ne restez pas le nez collé à vos livres et sachez vous amuser avec la langue.
Crédits Photo: Nicola
Conclusion
Cet article touche à sa fin. Si vous prenez le temps d’appliquer les conseils que vous venez de lire, vous obtiendrez de très bons résultats et serez rapidement en mesure de vous exprimer dans la langue de votre choix. Vous vous rendrez vite compte que c’est une activité moins contraignante que vous ne le pensiez et qu’il est facile de l’intégrer dans votre quotidien, même si ce dernier est très chargé.
Si ces règles s’appliquent à toutes les langues étrangères, veillez cependant à bien prendre en compte les spécificités de la langue que vous apprenez. Si c’est le japonais, la prononciation ne devrait pas vous poser problème, mais l’écriture (les fameux kanji) est un peu plus délicate ; s’il s’agit du tchèque, l’alphabet latin légèrement modifié ne devrait pas vous poser de problème, mais sa prononciation vous demandera plus de travail.
Je suis convaincu que, dans l’absolu, aucune langue n’est plus difficile qu’une autre, c’est précisément ce travail d’adaptation qui fera la différence entre un apprentissage facile et un autre plus délicat.
Vous connaissez à présent toutes les techniques qui vous permettront de commencer à apprendre une langue étrangère dans les meilleures conditions. Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter bon courage dans ce projet qui vous prendra du temps, mais qui enrichira considérablement votre vie.
Recherches utilisées pour trouver cet article :
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Note : Cet article est un article invité écrit par Mariana Zanetti du blog La Carrière ou La vie et auteur du livre Le MBA est-il un investissement rentable ?.
« L’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde. » Nelson Mandela
Il y a un peu plus d’un an, j’osais dire ouvertement pour la première fois ce que je pensais de certains diplômes. Je l’ai fait sur ce blog, grâce à l’aide d’Olivier. Les répercussions de l’article m’ont épatée. Des mois après le buzz, les gens continuaient à y laisser des commentaires et à me contacter au travers de réseaux sociaux pour me poser des questions sur leurs carrières. J’ai donc décidé de faire une recherche approfondie et d’écrire « Le MBA est-il un investissement rentable ? » publié par les Éditions Maxima. La version anglaise du livre, « The MBA Bubble », a retenu l’attention de CNN Money, du Financial Times, de Poets&Quants, du Business Insider, du Chicago Tribune et de Brazen Careerist, entre autres, et a été vendue dans plusieurs pays tels que les États-Unis, le Canada, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, le Brésil, l’Inde, l’Italie et l’Espagne.
Mais alors pourquoi est-ce que les critiques envers les diplômes et le système éducatif attirent tellement l’attention et récoltent même une large approbation alors qu’il est indéniable que l’éducation est la base de la réussite des individus et des sociétés ? Peut-être parce qu’au fond, nous savons tous qu’il y a quelque chose qui ne va pas avec notre système éducatif.
Un changement de paradigme.
Comment vous protéger de la mauvaise science
Aujourd’hui il est devenu facile non seulement de tomber dans le piège de pseudo-sciences qui se donnent extérieurement l’apparence de véritables sciences, mais aussi de suivre des conseils qui sont de mauvaises interprétations d’études scientifiques valides (ce qui, comme nous le verrons, est à peu près le fonctionnement par défaut dans les journaux et magazines).
Ou pire, de suivre des conseils basés sur des études scientifiques biaisées ou ayant de graves problèmes méthodologiques qui les rendent invalides (comme par exemple la fameuse étude Séralini sur des rats atteints de cancer après avoir mangés des OGM, qui a été récemment rétractée par le journal l’ayant publié, car “les résultats présentés […] ne sont pas conclusifs”).
Un auteur britannique, Ben Goldacre, médecin et auteur de l’excellent livre Bad Science, a récemment fait une courte présentation au TED dans laquelle il nous explique :
- Comment savoir si un conseil santé entendu à la radio ou à la télé ou lu dans un magazine est correct
- Comment tordre le cou à une fausse preuve, qu’elle vienne de la médecine alternative ou des grandes compagnies pharmaceutiques
- Les mauvaises affirmations scientifiques faites par des journalistes alarmistes, des gouvernements mal conseillés, des compagnies pharmaceutiques au marketing trop agressif et des escrocs, et comment les repérer
C’est parti !
Ressources :
- Le site Cochrane France, qui vous permet de rechercher les résultats de centaines de méta-analyses, c’est à dire d’analyses de plusieurs dizaines ou centaines d’études scientifiques sur un sujet donné, avec leur conclusion en langage simple (est-ce que tel traitement, tel complément alimentaire, telle pratique est vraiment efficace ?)
- Le livre Bad Science, de Ben Goldacre, l’auteur de la présentation TED (version Kindle), que je vous recommande fortement !
Les 20 premières heures
Phrase-résumée de « The First 20 hours, How to Learn Anything… Fast » : The First Twenty Hours est la démonstration la mieux illustrée que l’on peut acquérir n’importe quelle compétence en partant de 0 en seulement 20 heures.
Par Josh Kaufman, 2013, 274 pages.
Note : Cette chronique est une chronique invitée écrite par Raphaël Boukris du blog Vivreheureux.
Chronique et résumé de « The First 20 hours, How to Learn Anything… Fast »
Introduction
La problématique que nous rencontrons tous est que nous avons des rêves, mais que la vie est trop courte pour tous les réaliser. C’est pour cette raison qu’on doit établir la liste de toutes les choses qu’on aimerait faire. Il faut savoir que les deux paramètres qui nous stoppent sont le temps et les compétences. En effet, les expériences les plus gratifiantes nécessitent des compétences pour obtenir des résultats. Comme pour avoir des compétences il faut du temps et des efforts, on les repousse et donc on ne réalise pas nos rêves. C’est sûr qu’il est plus facile de surfer sur internet ou d’être devant sa télé que de se lancer à la conquête de nouvelles compétences. Ce qui nous décourage le plus est ce qu’on appelle la Barrière de la frustration, c’est le cap à dépasser pour ne plus être frustré par notre incompétence de débutant. Quand on démarre une nouvelle activité, avant d’avoir franchi cette barrière, on est parfois découragé parce qu’on ne maîtrise pas encore les bases de la compétence. N’est-il pas possible d’apprendre avec moins de souffrance ?
Le but de Kaufman est de prouver qu’il faut seulement 20 heures pour surpasser la barrière de la frustration et passer d’un niveau où l’on ne connaît absolument rien à un niveau tout à fait correct.
La règle est universelle et fonctionne pour acquérir n’importe quelle compétence : écrire un roman, apprendre à peindre, lancer son entreprise…
Grâce à cette méthode d’apprentissage rapide, Kaufman a appris entre autres le yoga, à coder un site web et la planche à voile.
Chapitre 1 : Le portrait de l’auteur : un vrai boulimique de l’apprentissage
Recherches utilisées pour trouver cet article :
les 20 premieres heures, the first 20 hours pdfLes 4 habitudes des personnes indépendantes financièrement
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Ces dernières années j’ai cotoyé de nombreuses personnes ayant atteint l’indépendance financière, beaucoup étant des entrepreneurs, mais pas seulement.
Au fur et à mesure de ces rencontres, j’ai commencé à remarquer que ces personnes avaient des points communs qui revenaient sans cesse, des habitudes qui semblaient très courantes chez eux mais très rares chez les autres.
J’en avais déjà parlé dans cette vidéo : évitez une erreur qui m’a couté des années, même si ce n’était pas le sujet principal.
Aujourd’hui j’ai le plaisir d’accueillir Roger Lannoy, coach international en motivation, partenaire de Tony Robbins pour les francophones en Europe et vivant dans l’indépendance financière dans le sud de l’Espagne, qui est en plein dans un lancement intitulé “Les clés de l’abondance”, dans lequel il vous donne des vidéos gratuites sur le thème de l’indépendance financière.
(Je suis un partenaire pour ce lancement, ce qui signifie que si vous cliquez sur un lien dans cet article qui y mène et que vous décidez d’acheter la formation de Roger, je toucherai une commission d’affilié sans que cela augmente le prix final. Merci si vous le faites 🙂 )
Dans cette interview, Roger nous donne une définition en trois étapes de la liberté financière, et des 4 habitudes communes à beaucoup de ceux qui l’ont atteint. C’est parti !
Téléchargez le mindmap de l’interview (version JPG)
Transcription texte (littérale) de l’interview :
Recherches utilisées pour trouver cet article :
roger lannoy, comment un groupe devient indépendant finencierement, les 4 habitudes independantes financierement, roger lannoy livre, roger lannoy livre pdfLa YES School, une école pour les entrepreneurs
Catherine Ramon est une femme pas ordinaire qui s’est mis en tête de développer l’esprit d’entreprenariat chez les jeunes en France, et la création d’entreprise.
Elle a créé une école originale, la Young Entrepreneur School, basée à Sophia-Antipolis et qui proposent des cursus de 1 à 3 ans pour le moins atypiques, puisque leur objectif est que 100% des élèves créent leur entreprise une fois leurs études terminées !
De plus la formation sera encadrée par des entrepreneurs et concrète puisque les élèves créeront une entreprise pendant leurs études.
Si vous êtes intéressé regardez mon interview de Catherine Ramon ci-dessous. Ou cliquez ici pour déposer votre dossier de candidature 😉 . Un Summer Camp est également disponible pour vous former pendant l’été et monter votre boîte à la rentrée : cliquez ici pour voir le programme.
Note : je ne suis pas affilié d’une quelconque manière à cette école, c’est juste que Catherine m’a contacté pour m’en parler et j’ai trouvé l’initiative sympa 😉
Transcription texte de l’interview :
Une tête bien faite
Phrase-résumée de “Une tête bien faite”: ce livre ne vous présente pas simplement comment lire plus vite, mieux mémoriser et travailler de manière plus efficace, il explique au moyen d’arguments clairs et étayés pourquoi les méthodes présentées sont les plus adaptées à la façon dont fonctionne votre cerveau pour exploiter tout son potentiel.
Par Tony Buzan, 2004 (1ère édition française : 1984), 186 pages.
Titre original : Use your head (1st edition 1974).
Note : cette chronique est une chronique invitée écrite par Hélène WEBER du blog Etudier plus efficacement
Chronique et résumé de “Une tête bien faite” :
Au début de ses études universitaires, Tony Buzan s’est rendu à la bibliothèque à la recherche de quelques ouvrages. À la documentaliste présente ce jour-là pour orienter les étudiants, il demanda s’il était possible de lui indiquer des livres qui expliqueraient comment utiliser son cerveau de la manière la plus efficace. Visage perplexe de la documentaliste…qui l’orienta vers des manuels de médecine.
Mais cela ne correspondait pas à ce que Tony Buzan recherchait.
Il se demandait comment « apprendre à apprendre » ? Et en quoi l’état actuel des recherches sur le fonctionnement du cerveau pouvaient-elles l’aider à envisager les méthodes de travail les plus efficaces ?
Tony Buzan a écrit ou coécrit à ce jour plus de 80 ouvrages sur le cerveau et l’apprentissage. Ce livre dont je vous propose la chronique a été vendu à plus d’un million d’exemplaires partout à travers le monde. Il y explique :
– Quel est notre potentiel intellectuel à tous,
– Comment lire plus vite et mieux,
– Comment fonctionne la mémoire,
– Quels sont les moyens mnémotechniques les plus efficaces pour mémoriser,
– Comment un outil pédagogique appelé « Mind map » peut nous aider à mieux comprendre, mieux réfléchir et mieux mémoriser,
– Et quelle méthode de travail appliquer pour apprendre plus efficacement.
Un projet ambitieux ? Pas seulement. Grâce à ce livre : un objectif réaliste et accessible.
Pratiquement tous les chapitres proposent des exercices concrets à pratiquer au cours de la lecture. Ceux-ci ont deux intérêts majeurs : ils amènent le lecteur à éprouver à la fois l’intérêt et la pertinence des hypothèses présentées, tout en le rendant actif (et donc intéressé) tout au long du livre.
C’est en acceptant de jouer le jeu de cette démarche que ce livre changera votre rapport à l’apprentissage et vous aidera à améliorer votre efficacité au travail de manière déterminante.
1- Le rêve impossible d’Edward Hughes
En 1982, Edward Hughes venait tout juste de passer son brevet. Et alors qu’il était considéré comme un élève moyen dans toutes les matières, son père lui fit découvrir Une tête bien faite. La lecture de ce livre lui redonna courage et c’est avec une motivation nouvelle qu’il poursuivit ses études avec l’intention d’intégrer l’université de Cambridge.
Tous ses professeurs sans exception le découragèrent, pensant qu’il n’avait pas le potentiel pour prétendre intégrer une école si prestigieuse. Cela ne diminua en rien la volonté d’Edward Hughes, qui maintint son projet.
Vinrent les entretiens d’entrée à l’université. Là encore, ses professeurs pensaient que ses chances de succès étaient très faibles.
Edward s’était cependant construit un programme d’apprentissage sur la base des méthodes présentées dans ce livre. Il résumait ses cours sous forme de Mind maps, feuilletait ses notes pour en avoir une vue d’ensemble et révisait régulièrement ses fiches, afin de les comprendre et les mémoriser au maximum. Parallèlement, il faisait du sport et se sentait en forme, confiant et détendu.
À la fin de l’année, Edward passa quatre examens d’entrée à l’université. Il obtint les meilleurs résultats de sa promotion aux quatre.
Pendant sa formation, il se fixa un programme identique à celui qu’il avait suivi pour son examen d’entrée à Cambridge. Et une nouvelle fois, ses résultats furent excellents.
Voici la conclusion qu’Edward Hughes lui-même donne à son témoignage : « Auparavant, je collectionnais les C et les B parce que je ne savais pas encore comment « obtenir une bonne note ». Je l’ai appris. N’importe qui peut en faire autant. »
Ce projet vous tente ?
2- Vos capacités intellectuelles sont plus grandes que vous ne le pensez
Ce que les recherches sur le cerveau nous apportent actuellement, c’est la certitude que la pensée est infiniment plus complexe qu’on ne l’avait cru et que les personnes douées de ce qu’il est convenu d’appeler des « capacités intellectuelles normales » possèdent une compétence et un potentiel infiniment plus grands qu’on ne le pensait jadis.
Il est possible de citer mille exemples des performances du cerveau : qu’elles se traduisent par une mémoire extraordinaire ou des forces physiques surhumaines défiant les lois de la science, ces performances font désormais l’objet de recherches. Elles sont prises au sérieux et donnent lieu à des applications pratiques. Ce sont ces applications pratiques que ce livre s’attache à rendre explicites, afin que tout un chacun puisse en faire usage et ainsi augmenter sa capacité à apprendre.
À notre époque, l’outil connu de tous censé « mesurer l’intelligence » s’appelle le test du QI (ou Quotient Intellectuel). Cependant, de multiples études critiques portant sur ce test montrent que :
– Avec de l’entraînement, il est possible d’améliorer « son QI ». Autrement dit, celui-ci ne détermine absolument « notre intelligence » de manière irrévocable et permanente ;
– Le QI ne mesure pas notre capacité à penser et agir par nous-mêmes ;
– Le test ne permet pas de mettre en évidence nos potentialités intellectuelles et donc nos possibilités de progression.
Nous allons voir qu’il est en effet possible d’améliorer ses performances intellectuelles en suivant les techniques et méthodes présentées dans ce livre.
3- Comment le cerveau humain a été bridé
Pourquoi cependant nos performances ne sont-elles pas à la hauteur de notre potentiel ?
La question mérite évidemment d’être posée. Mais alors il faudrait également répondre aux questions suivantes : vous a-t-on déjà expliqué comment fonctionne votre cerveau ou comment fonctionne votre mémoire ? Vous a-t-on montré comment se comporte l’œil pendant que vous lisez et comment le cerveau enregistre, stocke et réutilise les informations ? Vous a-t-on déjà appris des moyens mnémotechniques pour améliorer vos capacités de mémorisation, une méthode de travail qui améliorerait votre pouvoir de concentration ou des techniques pour lire plus vite et mieux ?
Une tête bien faite est le premier « manuel d’exploitation » de votre cerveau, destiné à vous aider à développer l’extraordinaire potentiel de vos facultés mentales.
4- Lire plus vite et mieux
Pourquoi la lecture soulève-t-elle des problèmes ?
Car ce n’est pas parce que l’on sait lire, que l’on n’est pas confronté aux problèmes suivants : vitesse de lecture, concentration sur la durée, masse d’informations à retenir, rappel des informations après-coup, sélection, rejet, etc.
Il convient tout d’abord de repérer que la lecture n’est pas un processus linéaire : l’œil effectue des bonds d’un mot, ou d’un groupe de mots, à un autre sur lesquels il s’arrête plus ou moins longtemps.
Comment lire plus vite ?
– En éliminant les retours en arrière,
– En réduisant les temps de pause,
– Et en élargissant le champ de ce qui est perçu par l’œil à chaque bond.
L’avantage de la lecture rapide est qu’elle apporte un soulagement à l’œil concernant l’effort physique fourni à chaque page, et qu’elle permet aussi (malgré les idées reçues) de pénétrer le texte plus aisément.
Les fausses idées sur la lecture constituent nos principaux freins à nous améliorer dans ce domaine : il est par exemple faux de penser qu’on ne devrait lire qu’un seul mot à la fois, car nous recherchons le sens d’un texte dans son ensemble et non celui de chaque mot pris isolément.
Voici les 4 techniques présentées par l’auteur pour nous aider à lire plus vite :
1) Utiliser un guide visuel : guider l’œil permet de l’aider à se concentrer sur l’essentiel.
2) Élargir le champ de ce qui est perçu par l’œil : à l’aide du guide visuel, aidez votre œil à faire des bonds moins nombreux sur une même ligne, puis sur un même paragraphe, puis sur une même page.
3) S’entraîner à percevoir « ultra rapidement » un texte : tournez les pages aussi vite que possible pour habituer votre œil à capter le maximum de mots.
4) Utiliser un métronome : le rythme du métronome vous aidera à passer plus rapidement d’un groupe de mots à un autre.
Ces techniques, pour être efficaces, supposent d’être pratiquées. Evaluez le temps que vous mettez à lire un nombre de mots, puis de pages sur un temps donné vous donnera une motivation supplémentaire pour progresser. Mais tentez quelques-unes de ces techniques et vous verrez que vos résultats seront rapidement encourageants.
5- La mémoire
Comment fonctionne la mémoire ? Et en quoi cette compréhension peut-elle nous aider à améliorer nos compétences en matière de mémorisation ?
Commencez par réaliser sérieusement l’exercice suivant :
Il s’agit de tracer deux graphiques :
– Un premier qui représenterait la proportion de ce qui est retenu par la mémoire pendant la période d’apprentissage. En abscisse : le temps qui passe. En ordonnée : le pourcentage d’informations mémorisées. Lorsque vous « apprenez » pendant deux heures d’affilée sans pause, quel pourcentage d’informations pensez-vous retenir ?
– Un deuxième qui représenterait la proportion de ce qui est retenu en mémoire après une période d’apprentissage, sans réactivation du contenu. En abscisse : le temps qui passe. En ordonnée : le pourcentage des informations dont vous vous souvenez après 24h, une semaine, un mois…
Comment fonctionne la mémoire pendant la période d’apprentissage ?
Elle diminue régulièrement à mesure que le temps s’écoule, si des temps de pause ne sont pas ménagés.
Cependant, nous nous souvenons mieux : des éléments situés au début et à la fin de la période d’apprentissage, des éléments associés par la répétition, la signification ou la rime, et des éléments marquants ou uniques.
Il est impératif d’avoir conscience que la mémoire et la compréhension ne fonctionnent pas sur le même rythme. Vous pouvez tout à fait continuer à comprendre sans pour autant mémoriser ce sur quoi vous êtes en train de travailler. Il est donc absolument nécessaire de réaliser de courtes pauses (5 minutes toutes les 45 min environ), afin de maintenir votre degré de mémorisation à un niveau élevé.
Comment fonctionne la mémoire après une période d’apprentissage ?
Le cerveau continue d’assimiler les informations après la période d’apprentissage (passant d’environ 70% de contenu mémorisé à plus de 90%). Par contre, plus de 80% des informations sont perdues au-delà de 24h si elles ne sont pas réactivées. Il reste néanmoins toujours des informations stockées, en particulier lorsque des moyens mnémotechniques spécifiques ont été utilisés pour apprendre.
Pour inscrire un contenu dans la mémoire à long terme, il est donc indispensable de le réactiver régulièrement :
– 5 minutes après une période d’une à deux heures d’apprentissage,
– 2 à 4 minutes après 24h,
– 2 à 4 minutes après une semaine
– et 2 minutes après un mois.
Mais il ne suffit de relire ses notes. Il convient de faire un véritable effort de remémoration des informations, avant de comparer « ce qui nous est resté en mémoire » avec le contenu original. Il est cependant évident que pour être efficace, ce temps de réactivation ne peut pas porter sur l’ensemble du contenu qui aura été travaillé (un livre entier, l’ensemble d’un chapitre de cours sous forme de notes…). Il faudra au préalable en avoir synthétisé les concepts-clés. Le chapitre suivant consacré aux Mind maps présentera une méthode qui répond à ces différents critères.
Mais comment consacrer apparemment si peu de temps à la réactivation d’un contenu à mémoriser et que cela reste efficace ?
Tony Buzan présente tout d’abord le résultat des recherches qu’il a menées auprès de « génies de la mémoire » et qui lui ont permis de catégoriser les moyens mnémotechniques les plus efficaces pour se souvenir d’un grand nombre d’informations.
Il a pour se faire créé un acronyme : le Smashin’scope.
Sensualité : nous nous souvenons mieux des informations qui sont rattachées à des informations sensorielles multiples (goût, odorat, vue, toucher, ouïe…).
Mouvement : il s’agit de la mémoire dite « kinesthésique ». Nous conservons également le souvenir des gestes que nous effectuons.
Association : la mémoire fonctionne par liens et associations. Plus nous avons d’informations stockées en mémoire, plus nous avons de possibilités de faire des liens avec de nouvelles et donc d’augmenter notre pouvoir de mémorisation.
Sexualité : un sujet dont nous nous souvenons tout particulièrement.
Humour : nous avons tendance à mieux nous souvenir des informations transmises avec humour.
Imagination : lorsque nous faisons preuve d’imagination, nous nous approprions les informations d’une manière qui nous permet d’exploiter notre personnalité, ce qui favorise la mémorisation.
Nombre : associer une information à un nombre augmente le degré de mémorisation de l’information.
Symbole : remplacer une information par un symbole favorise également sa mémorisation.
Couleur : les couleurs associées aux informations attirent l’œil et permettent de hiérarchiser les données à retenir.
Ordre : il s’agit d’ordonner les informations selon une certaine logique.
Positif : nous avons tendance à mieux nous souvenir de choses agréables.
Exagération : le fait d’exagérer une information nous amène à mieux nous en souvenir.
Une Mind map est un outil de travail inventé par Tony Buzan qui a différents usages mais qui permet entre autres de mobiliser tous les moyens mnémotechniques qui viennent d’être présentés. Elle constitue donc un moyen d’apprentissage et de mémorisation tout à fait privilégié.
6- Mind maps – introduction à la nature des mots et des pensées
Le chapitre commence par un exercice pratique visant à prendre conscience du pouvoir des mots et des concepts-clés. Il s’agit en effet de repérer que la mémoire fonctionne par associations successives et qu’un simple mot peut avoir le pouvoir de réactiver une somme d’informations importante.
Par contre, il convient de faire la différence entre les mots-clés « de rappel », qui permettent de réactiver les images et les mots appropriés, et les mots-clés « dynamiques », qui sont évocateurs sans susciter d’images spécifiques.
Le fait de comprendre que la mémoire fonctionne par association de concepts-clés et non selon un processus littéral de mot-à-mot mène à la conclusion que les notes prises de manière linéaire sont complètement inadaptées au projet de mémoriser leur contenu efficacement. En effet :
– 90% des mots relevés ne jouent aucun rôle dans la mémorisation,
– 90% du temps est perdu à relire ces mots inutiles,
– Nous perdons du temps à rechercher les mots-clés dans nos notes,
– Les mots qui séparent deux mots-clés affaiblissent leur connexion : l’espace et le temps passé affaiblissent le lien associatif.
Comment les Mind maps vont-elles nous permettre de dépasser ces différentes difficultés ?
7- Mind maps – les lois naturelles
L’esprit est parfaitement capable d’assimiler une information non linéaire. Il le fait d’ailleurs en permanence lorsqu’il est confronté à une photographie, un dessin, un tableau ou un film.
L’idée de base du Mind mapping est d’instaurer un rapport positif entre le cerveau et l’information : il s’agit de structurer l’information pour une insertion optimisée (idée centrale + ramifications), car le cerveau ne fait qu’enchaîner et intégrer des concepts-clés reliés entre eux.
Quels sont les règles du Mind mapping ?
1) Commencer par une image centrale (ou un mot-clé) en couleur
2) Utiliser des images/mots-clés dans tout le Mind map
3) Écrire les mots-clés en majuscules
4) Les mots sont sur des lignes reliées entre elles
5) Un mot par ligne
6) Des couleurs partout
Par curiosité, entrez les mots « mind map » dans un moteur de recherche : vous obtiendrez instantanément des milliers d’exemples du résultat que cela peut donner.
Quels sont les avantages du Mind mapping ?
– L’idée principale apparaît clairement ;
– L’importance relative des idées est identifiée ;
– Les liens entre les concepts sont immédiats ;
– Les réactivations sont rapides pour une mémorisation efficace ;
– L’introduction d’informations nouvelles est facilitée ;
– Les Mind maps sont personnalisées et originales, ce qui permet une meilleure mémorisation ;
– Il s’agit d’être créatif : les nouvelles associations sont donc facilitées.
8- Mind maps – techniques et applications
L’outil Mind map peut s’adapter à de multiples usages : la prise de notes, les communications orales, la préparation d’une réunion, la préparation d’articles ou d’exposés…
9- La méthode fonctionnelle d’apprentissage
Tony Buzan présente enfin une méthode de travail visant à dépasser les difficultés que beaucoup d’entre nous rencontrent lorsqu’il s’agit de « nous mettre au travail » : la flemme, la difficulté à rester concentré, résister aux distractions…
Sa proposition se décline en deux phases comprenant chacune quatre étapes successives. Afin d’illustrer l’intérêt de la démarche Mind map, je vous en propose une ci-dessous qui reprend la démarche présentée dans la méthode fonctionnelle d’apprentissage.
La phase de préparation vise à vous mettre dans les meilleures conditions pour aborder le contenu que vous souhaitez travailler. Prenons l’exemple d’une personne qui voudrait lire un livre, mais avec l’objectif de s’en souvenir le mieux possible et le plus longtemps possible.
Phase de préparation :
1) Parcourir le livre : regardez le sommaire, les grandes parties, la quatrième de couverture pour en avoir un aperçu global.
2) Définir l’étendue du travail et la durée que vous souhaitez y consacrer : nous avons tendance à vouloir terminer ce que nous avons nous-mêmes planifié.
3) Mise en forme de l’information : vous réalisez une première Mind map avec pour objectif de mettre à plat ce que vous savez déjà sur le sujet traité dans l’ouvrage. Cela vous conduit à vous concentrer et à adopter une attitude de recherche en développant votre curiosité pour ce que le livre pourra éventuellement vous apporter.
4) Questions et objectifs : vous définissez avec attention ce que vous recherchez à la lecture de livre, et vous vous fixez un objectif, une accroche, et des questions auxquelles ce livre vous permettra vraisemblablement de répondre.
Phase d’application :
1) Aperçu global : vous feuilletez le livre de manière analytique en faisant essentiellement attention à sa structure d’ensemble. Vous construisez alors une Mind map qui formalisera l’architecture globale de l’ouvrage.
2) Première approche : vous approfondissez votre lecture en réalisant une Mind map par chapitre.
3) Approfondissement : vous allez de plus en plus dans le détail, sans prendre trop de temps à vous entêter sur une difficulté éventuelle. La tension qui peut en découler va diminuer vos capacités de compréhension. De plus, c’est bien souvent en référence au contexte global et par liens et associations successifs que la notion s’éclairera d’elle-même. Vous y revenez plus tard…
4) Révisions : vous avez progressivement construit une Mind map de l’ensemble du livre, à l’aide de mots-clés, de concepts-clés et d’images. Ces outils vous permettront de réactiver le contenu de manière efficace lorsque cela sera nécessaire.
10- Quel avenir pour l’homme ?
Il y a toutes les chances que si nous comprenons, si nous écoutons et si nous exploitons nos ressources intellectuelles ainsi qu’elles devraient l’être, l’aventure d’Edward Hughes devienne celle de tous.
Conclusion de Hélène WEBER, du blog étudier plus efficacement
Tony Buzan a construit son livre en suivant tous les conseils qu’il énumère dans son contenu : l’introduction annonce comment aborder chacun des chapitres, le livre est émaillé d’exercices pratiques qui mettent le lecteur en position d’acteur de sa lecture, le développement comprend de nombreux exemples concrets, ainsi que des dessins, des Mind maps et des schémas visant l’illustration du propos (note d’Olivier : vous pouvez télécharger Freedmind en cliquant ici, c’est un logiciel gratuit de mindmap).
J’ai découvert Une tête bien faite il y a quelques mois seulement, alors que j’avais fini mes études universitaires depuis plus de huit ans. J’avoue regretter de ne pas l’avoir découvert plus tôt, même si les usages que je peux en faire aujourd’hui sont innombrables. J’ai trouvé depuis un logiciel qui permet de réaliser des Mind maps en ligne, que j’utilise maintenant chaque fois que j’aborde un nouvel ouvrage. Après-coup, cela me permet d’avoir une vue globale immédiate de son contenu, ainsi que de l’articulation logique des arguments qui y sont présentés.
Chaque jour, j’ai l’impression que ma capacité à réfléchir et mettre en lien les informations que j’intègre progresse.
Si vous souhaitez lire mieux et plus vite, davantage mémoriser ce que vous lisez et travailler de manière plus efficace, ce livre est l’outil idéal.
Points forts :
- Une écriture ludique et accessible, avec des exercices concrets et amusants qui font réfléchir.
- Un livre clair aux arguments précis et étayés par de multiples résultats de recherche.
- Des techniques et méthodes très efficaces.
- Une écriture agréable et facile grâce aux résumés, aux dessins en couleur qui émaillent tout le contenu, ainsi qu’aux nombreux exemples concrets.
Points faibles :
- Honnêtement, j’ai du mal à en trouver…
- Peut-être est-ce tout de même une approche qui peut mettre beaucoup d’entre nous en difficulté, dans la mesure où elle vient contrarier les habitudes d’apprentissage qui sont ancrées en nous depuis que nous allons à l’école : comment faire autrement après tant d’années de conditionnement ? C’est le défi à relever !
La note d’Hélène WEBER du blog www.etudier-plus-efficacement.com :
Avez-vous lu “Une tête bien faite” ? Combien le notez-vous ?
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La chronique des 3 livres que je recommande :
Que pensez-vous de cette vidéo ? Avez-vous déjà lu des livres qui ont changé votre vie, et si oui, lesquels ? Faites-le nous savoir dans les commentaires ! 😉
Transcription texte (et littérale 😉 ) de la vidéo :
Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo de « des livres pour changer de vie ».
Je me trouve actuellement à San Francisco, vous aurez sans doute reconnu derrière le Golden Gate Bridge qui est magnifique par ce beau soleil. Pour la petite histoire il faut savoir que c’est très rare de voir le pont aussi bien, souvent il est complètement noyé dans un voile de brume, la chanson qui dit que « San Francisco s’embrume » ne ment pas, il y a vraiment beaucoup de nuages ici.
Il faut savoir que San Francisco est une ville où il y a énormément d’entrepreneurs et d’innovations, nous ne sommes pas loin de la Silicon Valley, il y a beaucoup de start-up ici qui se créent, qui naissent dans des tas de secteurs différents et j’ai rencontré beaucoup d’entrepreneurs dans la région. Cela m’a donné l’idée de faire cette vidéo parce que j’ai réalisé quand j’ai rencontré ces entrepreneurs une erreur que j’ai faite pendant des années et qui m’a coûté des années de ma vie et je n’aimerais pas que vous fassiez cette erreur aussi.
Mais quelle est cette erreur ?
Quand j’ai rencontré ces entrepreneurs, je leur ai posé deux questions, deux questions que je pose souvent quand je rencontre des entrepreneurs à succès partout dans le monde. Ces questions quelles sont-elles ? C’est très simple :
· la première question c’est « est-ce que tu regardes beaucoup la télé ? »,
· la deuxième question c’est « est-ce que tu lis beaucoup ? ».
Et les entrepreneurs que j’ai rencontrés ici à San Francisco et la plupart des entrepreneurs à succès que j’ai rencontrés dans le monde ont répondu en général « non je ne regarde pas la télé » (la plupart d’ailleurs n’ont même pas de télévision) et « oui je lis beaucoup de livres et de livres de non-fiction » et ça me rappelle une phrase je crois de Jim Collins, un entrepreneur américain très célèbre, qui dit « les pauvres ont de grandes télés, les riches ont de grandes bibliothèques ».
C’est vraiment un point commun que j’ai rencontré chez beaucoup d’entrepreneurs qui ont du succès : la plupart lisent beaucoup plus qu’ils ne regardent la télévision.
Quelle est l’erreur que j’ai faite par rapport à ça ?
Eh bien j’ai toujours adoré lire, je n’ai jamais regardé beaucoup la télévision mais pendant des années je n’ai lu que de la fiction ou quasiment que de la fiction.
Alors la fiction c’est très bien ; comme vous sans doute j’adore lire un bon roman et me laisser complètement entraîner dedans et avoir envie de toujours continuer à tourner les pages pour savoir ce qu’il va se passer mais le problème c’est qu’il y a des livres de non-fiction tellement extraordinaires qu’ils peuvent véritablement changer votre vie.
J’en ai chroniqué certains sur ce blog d’où le nom « des livres pour changer de vie » mais il faut savoir que je n’ai commencé à lire des livres de non-fiction que très tard. En fait, pour ceux qui me suivent un petit peu, vous savez que j’ai créé ma première entreprise à 19 ans et du coup j’étais un petit peu trop fier d’être ce qu’on appelle un self made man c’est-à-dire d’être un autodidacte.
J’étais fier de ne pas avoir fait d’études, j’étais fier de n’avoir eu besoin de personne pour créer mon entreprise. Et du coup je me disais : les cours, je n’en ai pas besoin, je n’ai pas besoin de lire de bouquins, je suis tellement intelligent que je peux me débrouiller sans. Et ça a été l’une des plus grandes erreurs que j’ai faites dans ma vie parce qu’elle m’a coûté des années de progrès dans mon entreprise alors que j’aurais pu avoir une entreprise qui aurait eu beaucoup plus de succès et sans doute travailler moins. Et ça m’a coupé d’un nombre incroyable de connaissances qui m’auraient été très utiles.
Et il y a un livre qui a changé ma vie, déjà en tant que tel et aussi parce qu’il m’a redonné envie de lire, c’est « la semaine de 4 heures ». Quand j’ai lu « la semaine de 4 heures » début 2008, j’ai trouvé ça tellement génial, ça a tellement changé ma manière de voir entrepreneuriat, le business, que je me suis dit « si un livre comme ça est capable de changer à ce point-là ma vision des choses, il y a sans doute d’autres livres qui peuvent faire exactement la même chose ».
C’est comme ça que j’ai commencé à chercher des listes de livres, c’est comme ça que j’ai découvert le « Personal MBA » et c’est comme ça que j’ai eu l’idée du blog « des livres pour changer de vie ». Eh oui, vous ne seriez pas en train de regarder cette vidéo, vous n’auriez sans doute pas lu d’article de moi nulle part sur internet s’il n’y avait pas eu ce livre « la semaine de 4 heures ».
Donc j’ai fait cette erreur pendant des années et je peux vous dire, je n’ai lu que à peu près un tiers du Personal MBA ce qui doit faire une quarantaine de livres et ça a suffi déjà à changer ma vie.
Si aujourd’hui vous ne lisez pas de livre non plus, arrêtez tout de suite, c’est vraiment une erreur dramatique si vous voulez réussir dans entrepreneuriat et même dans votre vie en général. Il y a tellement de livres géniaux que vous n’avez que l’embarras du choix. Et ne pas en lire du tout c’est vraiment vous couper d’une source de développement pour vous, d’une source d’ouverture au niveau de votre esprit et des actions que vous pouvez accomplir ce qui vous serait très préjudiciable même si bien sûr vous ne le saurez jamais.
Ce que je vous recommande c’est de commencer par un objectif simple : si aujourd’hui vous ne lisez pas de livre de non-fiction, commencez tout simplement par des pas de bébé, comme on dit, et lisez par exemple par un livre par mois. Un livre par mois, je pense que tout le monde peut y arriver.
Vous vous rappelez peut-être aussi ma vidéo « comment lire sans lire » où je vous recommandais d’écouter des livres audio, ça c’est aussi une solution mais en tout cas donnez-vous comme objectif de lire un nombre minimal de livres de non-fiction par mois ou par an. Ça peut même être six livres par an, un livre tous les deux mois, pourquoi pas.
Commencez par des pas de bébé, commencez à lire quelques livres de non-fiction et vous allez voir que vous allez en trouver qui vont vraiment vous apporter énormément de choses et ça va vous donner envie de continuer, de continuer, de continuer et que va-t-il se passer ?
Eh bien au bout de plusieurs mois, au bout de plusieurs années, vous aurez lu des dizaines, peut-être même des centaines de ces livres-là mais par rapport à quelqu’un qui aurait passé exactement le même temps que vous mais à regarder la télévision, vous aurez une somme de connaissances, d’expériences incroyable par rapport à lui et ça vous aura amené à faire des actions que cette personne n’aurait jamais pu envisager, n’aurait jamais cru pouvoir être possibles pour elle.
Par où commencer ?
Sur mon blog « des livres pour changer de vie », il y a beaucoup de livres excellents que j’ai chroniqués mais si vous êtes dans entrepreneuriat et le développement personnel, j’aurais trois livres peut-être à vous recommander. Le premier évidemment c’est « la semaine de 4 heures », j’en ai déjà parlé abondamment. Ce livre-là, si vous ne l’avez pas lu, il faut le lire, ça va changer complètement votre perspective sur entrepreneuriat et le business.
Un deuxième livre, extraordinaire aussi, avec un titre un petit peu racoleur mais il ne faut pas s’arrêter à ça c’est « Serons-nous immortels ? » de Ray Kurweil et Terry Grossman. Pourquoi ? C’est un peu la semaine de 4 heures pour la santé, dans le sens où il vous offre tout un tas de connaissances pratiques et en même temps il vous explique comment faire en sorte de rester en bonne santé, de vivre longtemps, d’être bien dans sa tête, bien dans son corps.
Avant de lire ce livre, je pensais que s’occuper de son corps, faire du sport, manger bien, c’était pour les vieux ou c’était n’importe quoi et quand j’ai lu ce bouquin j’ai réalisé à quel point je me trompais, à quel point j’étais dans l’erreur et pourquoi et ça a complètement changé ma manière de manger, de faire du sport, etc., et aujourd’hui je suis beaucoup mieux, je suis beaucoup plus en forme physiquement et mentalement.
Le troisième livre c’est un livre qui s’appelle « Comment se faire des amis », un livre assez connu dont malheureusement le titre n’explique pas très bien quel est le contenu du livre. Il faut savoir que le titre anglais c’est « How to win friends and influence people » donc « Comment se faire des amis et influencer les gens » (dans le sens positif du terme). C’est un livre qui vous apprend à dépasser votre égo, qui vous apprend à mieux vous connecter avec les autres, qui vous apprend à être plus souriant, à mieux communiquer, à ne pas vous arrêter sur le simple fait d’avoir raison. Il faut savoir qu’un de mes défauts est que je veux souvent avoir raison. Ce livre m’a permis de prendre un petit peu de recul par rapport à ça et de mieux me connecter aux autres sans vouloir toujours me mettre dans une posture où je voulais absolument rentrer dans des argumentations avec d’autres personnes.
Voilà trois livres. Vous pouvez commencer par ceux-là, il y en a bien d’autres évidemment, ce ne sont pas les seuls, ce sont ceux qui m’ont apporté quelque chose et peut-être qu’ils vous apporteront quelque chose aussi.
En tout cas vous avez compris le message : l’important c’est que vous commenciez à lire des livres de non-fiction maintenant sinon vous risquez de perdre des années de votre vie et aussi des tas de potentialités qui auraient pu être prises par vous et qui ne le seront pas parce que vous manquerez de connaissances, vous manquerez d’un certain horizon intellectuel et vous manquerez tout simplement de la confiance en vous nécessaire pour les prendre.
Voilà, merci d’avoir suivi cette vidéo et je vous dis à très bientôt sur le blog ou ailleurs. Merci.
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Bienvenue sur mon blog spécialisé dans des livres rares, des livres exigeants qui ont tous une énorme qualité : ils peuvent vous faire changer de vie. Ces livres ont fait l’objet d’une sélection rigoureuse, je les ai tous lus et choisis parmi des centaines d’autres.
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