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Etude de cas : Comment Isabelle a transformée son entreprise en perdition en business rentable… tout en aidant les autres

Isabelle est une cliente d’Agir & Réussir et a récemment posté un commentaire très positif en dessous d’une vidéo que j’ai publié sur mon nouveau blog, disant notamment qu’Agir&Réussir lui a donné pêche et motivation et lui a permis de passer d’un projet en perdition à une entreprise rentable. Intrigué, j’ai voulu en savoir plus, et Isabelle a accepté cette interview, dans laquelle elle nous explique comment Agir&Réussir l’a aidé à transformer 4BFS, structure d’accompagnement pour les femmes enceintes rencontrant des problèmes, d’une entreprise en perdition en un business rentable… tout en gagnant clarté, motivation, crédibilité et en touchant son premier salaire en 4 ans. Elle partage avec nous les secrets de son récent succès : décision d’arrêter d’éteindre des incendies pour se poser, détermination précise de ses objectifs, application, décision de ne plus se brader et de demander enfin le prix juste pour ses prestations. Ces conseils sont une mine d’or pour tous ceux qui appliquent Agir&Réussir, et pour tous les autres qui veulent réussir à créer une entreprise. Ecoutons-la 🙂 .

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Additif 2013 : 4BFS a été transformé en association loi 1901 pour mieux servir l’action d’accompagnement destinée aux femmes et à leur désir de bébé ou maternité.
Isabelle est quant à elle présidente de l’association et coach certifiée par ailleurs. Elle continue à aider les femmes en fournissant une prestation de coaching quotidienne aux femmes accompagnées par l’association. Le modèle fonctionne ainsi beaucoup mieux pour les femmes accompagnées et pour chaque entité.
Lien du site : http://4bfs.fr

Transcription texte de l’interview

Olivier : Bonjour à tous ! Je suis actuellement avec Isabelle qui est une cliente d’Agir et Réussir. En fait, Isabelle a posté récemment un commentaire très positif en dessous d’une vidéo que j’ai postée, en disant notamment qu’elle s’est inscrite à Agir et Réussir et que grâce à mes conseils, elle a eu beaucoup de choses. Donc, j’ai voulu en savoir plus. J’ai demandé à Isabelle si elle voulait bien raconter un petit peu son expérience. Bonjour Isabelle !

Isabelle : Bonjour ! Bonjour à tous !

Olivier : Est-ce que tu peux déjà te présenter rapidement, raconter ton parcours et ce que tu fais aujourd’hui pour nos auditeurs ?

Isabelle : Je vais vraiment écourter parce que mon parcours est un petit peu atypique. Aujourd’hui, je suis mère de famille. J’ai 36 ans. J’ai deux petits enfants adorables. Mes enfants ont changé complètement ma vie parce que j’étais directrice marketing promise à une belle carrière. C’était mon objectif. Mais quand j’ai eu des enfants, tout s’est un petit peu bouleversé. J’ai compris qu’être mère et femme n’était pas toujours très simple. Être mère et carriériste, en tout cas. J’en suis arrivée à me retrouver dans une organisation qui conseillait les femmes dans leur maternité. Au début, c’était quelque chose en quoi personne ne croyait. Les gens ne comprenaient pas trop en quoi cela consistait, ce que cela venait faire là. C’est donc un groupe de femmes. On a commencé dans une association. Après on a trouvé des personnes qui étaient prêtes à investir mais pas en indépendants. Donc, on s’est retrouvées depuis 2003 dans cette aventure à conseiller des femmes. En 2006, je suis passée directrice de ce service parce que j’étais l’une des plus actives, l’une de celles qui faisaient le plus de sacrifices… En clair, c’était quand même mon projet, mon projet passion, quelque chose qui me passionnait. Je suis donc passée directrice et en 2010, dans quelques semaines, ce projet, ce concept de conseil pour les femmes et pour la maternité en particulier va se monter tout seul, à part, comme un grand. Nous nous sommes rendues compte qu’en allant aux bons endroits et avec les bonnes personnes, il y avait un soutien et surtout que les femmes ont plébiscité ce service. Elles en ont eu besoin, elles ont eu d’excellents résultats et sur 6 ans, on a accompagné plus de 20 000 femmes qui en sont toutes très satisfaites. Pour certaines d’entre elles, cela a vraiment changé beaucoup de choses dans la vie. Voilà un petit peu le parcours et où nous en sommes aujourd’hui. Aujourd’hui, il y a une création de quelque chose qui existait déjà, mais une création d’une entité propre.

Olivier : Pourquoi as-tu acquis Agir et Réussir ? Qu’est-ce que cela t’a apporté ? Pourquoi as-tu eu la démarche de prendre Agir et Réussir alors que tu avais déjà une structure depuis six ans ?

Isabelle : Agir et Réussir est venu au moment où nous devions se lancer toutes seules. Sans soutien. Sans investisseurs. Sans être connectées à qui que ce soit. Il y avait le problème majeur qui était la rentabilité. Nous avions un succès auprès des femmes, des clientes satisfaites, mais un problème : un gros manque de rentabilité. En clair, si nous n’avions pas eu d’investisseurs vraiment motivés qui investissaient plus pour aider la recherche que pour la rentabilité, parce que nous tournions à perte… Si nous n’avions pas eu cela, nous n’aurions pas pu continuer tout ce temps. On avait un souci de rentabilité. On ne pouvait pas investir plus de 60 % de ce dont on avait besoin pour travailler. On ne pouvait plus continuer à le faire, et surtout on ne pouvait pas le faire sans soutien comme on en avait eu auparavant. Le fait de nous lancer et de chercher des investisseurs par nous-mêmes, complètement extérieurs à ce que nous faisions, cela nous obligeait à revoir complètement tout le processus et à nous intéresser cette fois-ci à une vraie rentabilité. On a été obligées de tout remettre à plat. On a commencé à chercher qui pouvait nous aider à continuer à travailler de la même façon, de manière très qualitative et très humaine, avec toujours le niveau de satisfaction, quelque chose de très pro et de très sérieux parce que on a attrait à des problèmes de fertilité – des choses un peu difficiles – tout en équilibrant les comptes et en réussissant à être petit à petit bénéficiaire, à pouvoir faire le service et à pouvoir en vivre concrètement. Là, nous sommes tombées sur Agir et Réussir parce que nous avions déjà essayé d’autres formations qui ne nous plaisaient pas et qui n’étaient pas du tout dans le ton. On sentait que la satisfaction du client était des fois un petit peu mise au placard pour la rentabilité. Nous n’avions pas encore trouvé quelque chose qui nous permettait d’équilibrer un service de qualité et une satisfaction client, où on mettait le client en avant, et que grâce à cette démarche, on réussissait quand même à faire des bénéfices.

Olivier : Si je comprends bien, vous avez une structure existante mais qui n’était pas rentable. Elle était soutenue par des investisseurs externes. Tu as voulu la transformer en entreprise, en véritable business avec une rentabilité propre et tu t’es tournée vers Agir et Réussir, parce que cela t’a semblé être une formation adaptée. C’est cela ?

Isabelle : Exactement. Oui, sauf que pour la maternité, quand on utilise le terme “business”, cela fait tout de suite : « On veut arnaquer les femmes »… C’est très sensible. C’est vraiment un secteur très sensible. Justement, nous n’avions pas réussi à rentabiliser parce que nous avions ce mal de dire nous-mêmes: «  NOus allons rentabiliser ». Nous n’avions pas compris que même si c’est un service à connotation sociale, si nous voulons vivre, si nous voulons continuer à faire ce qu’on fait, il faut que ce soit rentable. Il y a aussi effectivement une part de business dans l’affaire. Nous avions du mal à l’accepter nous-mêmes. Avec Agir et Réussir, nous avons compris que business n’était pas forcément négatif. Nous avions une connotation un peu : « Tous ceux qui font du business, ce sont des personnes qui veulent arnaquer »… Moi, j’avais fait du marketing. Je savais que j’étais vraiment dure dans les affaires, mais on n’avait pas réussi à faire cette transition et à comprendre qu’effectivement il y a toute une partie business si on veut vivre, si on veut continuer à aider les femmes. On s’en est rendu compte parce qu’on a failli arrêter avant de tomber sur ta formation. On n’arrivait pas à voir comment on allait équilibrer le tout. On a même été conseillées. Quand on a commencé Agir et Réussir, rien que le premier module, l’objectif SMART, cela nous a permis complètement de tout revoir et d’avoir des idées pour rééquilibrer.

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Olivier : cela, c’est la première chose que t’as apporté Agir et Réussir. C’est de pouvoir passer en revue quelque chose qui n’était pas viable à long terme, qui allait peut-être même se planter bientôt. L’objectif SMART t’a permis de préciser les choses, d’avoir des objectifs très précis pour redresser entreprise, c’est cela ? Comment l’as-tu utilisé ? Est-ce que tu peux nous expliquer ?

Isabelle : Exactement ! L’objectif SMART est déjà quelque chose de spécifique. On s’est rendu compte qu’on n’avait jamais défini de manière spécifique ce qu’on voulait faire. On s’est dit : « On veut aider les femmes ». Nous avons commencé à aider les femmes et puis, petit à petit, cela a évolué. On a vu qu’une telle avait besoin de ci. Nous sommes vraiment parties dans le flou en fait. Nous avons eu de la chance parce que les femmes en avaient besoin. Cela nous a aidées à définir de manière très précise là où on voulait aller, de quelle façon on voulait y arriver, ce dont on avait besoin pour continuer… Clairement, c’était : « Quels étaient nos besoins en financement ? Quelles étaient nos forces ? Quels étaient nos faiblesses ? ». Cela nous a permis pour une fois de nous poser et de faire le bilan de ces années précédentes, d’en tirer un peu les leçons. On est un peu la tête dans le guidon. On avance, on avance, on avance… et des fois on ne se rend même pas compte qu’on va d’erreurs en erreurs et qu’on les perdure. C’est cela qu’il mène finalement à la perte. Surtout, on a défini des choses dans le temporaire. Les derniers points de l’objectif SMART nous ont permis vraiment de définir des choses très précises. Quand on a continué à discuter avec les investisseurs, leur regard a changé parce qu’on avait une vue sur les points faibles, qu’on avait apporté des solutions sur ses points faibles et qu’on avait mis en avant vraiment les points forts. En interne, nous étions réorganisées. Notamment, dans notre service, il y a des choses qu’on ne peut pas étendre à 10 000 femmes en même temps. On est obligé de limiter certains services mais il y en a d’autres pour lesquels nous n’avions pas eu cette idée que nous pouvinos les automatiser tout en ayant toujours des bons résultats. Là, on a développé cela. Cela nous permet aujourd’hui de rester dans une très bonne rentabilité et de continuer à avoir toujours autant de satisfaction.

Olivier : Tu as automatisé un service auprès des femmes, c’est cela ?

Isabelle : Voilà ! On a mis en place des relaxations de grossesse [au format audio] qui ont été élaborées avec des spécialistes de la maternité. On les réservait aux femmes qu’on avait aidées à mettre enceintes, qu’on avait suivies jusqu’à la grossesse, et qui avaient eu des difficultés à tomber enceintes. Avec l’objectif SMART, on s’est dit qu’on pouvait effectivement automatiser cela. On a fait une enquête auprès des 10 000 femmes qui avaient bénéficié de ce service auparavant. On leur a demandé si elles avaient besoin de nous, qu’on vienne vers elles, qu’on leur demande comment elles vont, etc. Il en est ressorti que pas du tout ! Elles n’avaient besoin de nous quand elles étaient enceintes uniquement lorsqu’elles avaient un problème. Elles ont un suivi médical.  En fait, on avait voulu en faire un peu trop. On s’était limitées. On s’est rendu compte qu’on pouvait élargir la relaxation de grossesse et viser toute femme enceinte parce que toute femme enceinte peut en tirer des bénéfices – et pas uniquement celles avec qui nous avions eu un contact auparavant. C’est ce que nous sommes en train de développer. On va lancer la communication à ce propos dans quelque temps. C’est une rentabilité totale parce qu’il y a très peu de femmes qui ont de gros soucis pendant la grossesse mais plus des petits soucis que les audio réussissent à équilibrer au niveau émotionnel, pour gérer le stress et tout.

Olivier : Effectivement, c’est une belle application de l’automatisation du processus. Est-ce que Agir et Réussir a pu t’apporter autre chose que tu as pu mettre en pratique concrètement ?

Isabelle : Oui, au niveau de la communication. Là aussi, on est dans un domaine un peu difficile. Au niveau de la communication, nous nous sommes beaucoup inspirées de la façon dont tu communiques. On est vraiment dans le rapport à l’humain et pas dans le secteur de professionnel à professionnel. On s’est un petit peu inspirées de cet équilibre qu’il y a entre le professionnalisme et la proximité. Une autre chose qu’Agir et Réussir nous a apporté… Moi, je suis un petit peu à la tête de tout le monde. On gère souvent des cas difficiles pour des femmes qui nous appellent et qui ne sont pas toujours bien, etc. Parfois, ce n’était pas facile que tout le monde reste motivé, positif et tout. Avec les techniques que tu proposes pour rester collé à son objectif, ne pas baisser les bras… Je suis quelqu’un d’optimiste à la base mais le fait d’avoir des techniques comme cela, cela me permet vraiment d’avoir une vision. Mes collègues me disent qu’elles ont l’impression que j’ai une vision et que je mène tout le monde vers cette vision. C’est quelque chose qui me manquait avant en tant que dirigeante. J’avais toujours dépendu de quelqu’un qui avait cette vision là. Le fait de partir en indépendant leur faisait un petit peu peur. Elles ne me l’avaient pas dit mais elles avaient un peu peur qu’on aille dans tous les sens. Depuis Agir et Réussir, j’ai vraiment UNE vision très claire. J’utilise toutes les techniques que tu proposes pour avoir effectivement cette vision et la développer. Et puis, toutes les techniques sur le marketing de réseau… Enfin tout ce que tu proposes nous apporte quelque chose. J’arrive bien à le rapprocher de notre activité alors qu’auparavant les formations que j’avais faites, pour beaucoup, cela ne collait pas, je n’arrivais pas à les appliquer à notre secteur d’activité qui est un petit peu particulier.

Olivier : Je pense que c’est vraiment la caractéristique d’un leader que d’avoir une vision. Cela inspire et cela motive les autres. Cela permet de communiquer une certaine énergie. On a tous des moments où l’on se dit : « Waouh ! Tout ce travail encore… » et puis ce n’est pas toujours forcément plaisant. Avoir cette vision là, c’est vraiment quelque chose de fondamental pour se motiver de voir cela comme le but que l’on cherchait à atteindre.

Isabelle : Tout à fait. Cela se ressent aussi au niveau de nos partenaires que nous allons voir pour des financements, etc. Je le ressens grandement aujourd’hui. C’est vrai qu’on a aussi une notoriété avec le nombre de femmes qui ont suivi le concept. Au début, quand on a cherché des financiers, on n’avait pas vraiment de clientes derrière nous. Aujourd’hui, on a beaucoup de témoignages, beaucoup de clientes qui nous soutiennent et un grand volume de femmes accompagnées avec des bénéfices importants. Cela nous donne aussi un certain caractère d’expertise. Mais je vois bien la différence. J’ai commencé à voir des banques ou à démarcher pour un éventuel financement au mois de février. Le ressenti et l’impact que j’avais lors de ces rendez-vous, n’étaient pas du tout le même que j’ai depuis que j’ai commencé Agir et Réussir. J’ai vraiment la conviction ferme qu’on va trouver le bon financement au bon endroit et qu’on a plein de personnes qui vont avoir plein de choses positives. Et aujourd’hui, je m’ouvre au monde extérieur. Avant, nous avions peur d’être attaquées même si nous avions une notoriété au niveau des femmes. Nous avions peur des critiques extérieures. On communiquait très peu. Aujourd’hui, nous nous ouvrons. Nous nous ouvrons aux médias. On s’ouvre à une communication externe parce qu’il y avait cette croyance ferme, on croyait dans le projet mais on avait peur. Grâce à Agir et Réussir, cette notion de peur a vraiment disparu. Nous sommes prêtes à aller taper à toutes les portes où il faut aller taper. D’ailleurs, nous avons contacté le ministère de la santé récemment pour une audience par rapport à des choses qu’on a à proposer. Aujourd’hui, en tout cas pour moi en tant que leader, je sens vraiment que j’ai bien enfilé mon costume et que je suis partie à fond dans l’aventure. Ce sera ma première création en tant que créatrice. C’est la première fois que je me lance comme cela sans aucune appréhension. C’est vrai qu’on a déjà quelque chose qui tourne. cela facilite peut-être mais je me lance vraiment sans aucune appréhension et avec des idées de développements futurs, de partenariats, des choses vraiment à grande échelle. Une vision à grande échelle…

Olivier : En tout cas, je te félicite Isabelle, rien que pour avoir appliqué les exercices parce que malheureusement même parmi les clients d’Agir et Réussir, il y en a certains qui ne font pas les exercices. Il y en a qui peuvent sembler un peu triviaux comme par exemple celui de la vision. C’est quand on les fait qu’on réalise la puissance et l’intérêt de ces choses-là. On voit comme tu as très bien décrit tous les avantages qui en découlent dans la vie quotidienne.

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Isabelle : Exactement. Si j’avais un message à passer faire passer, c’est que souvent dans les formations, on n’apprend pas forcément des choses nouvelles. C’est pour cela que je m’identifie à la personne qui véhicule la formation. La chose qui est inspirante déjà, c’est la réussite d’une autre personne. Quelqu’un qui ne part de rien et qui réussit, on se dit déjà que la personne va avoir des choses intéressantes à nous apprendre. Quand on applique, c’est la grosse différence entre ceux qui réussissent et ceux qui ne réussissent pas. Des fois, on a le même niveau d’information mais le fait d’appliquer, cela demande un peu de discipline mais très peu. Aujourd’hui, on est sur la création de cela, on a des rendez-vous avec des médecins, etc. je n’ai pas beaucoup de temps. Mais je prends mes 10 minutes par jour pour avancer. À l’heure où on fait cette interview, je crois qu’on a déjà reçu huit ou neuf modules. Je n’en ai fait que quatre à fond. Mais le fait d’avoir pris ce temps de les faire à fond et de voir en plus que cela m’a apporté, cela donne vraiment envie de continuer, de prendre ce qu’il y a à prendre dans chaque module. Je n’ai pas fini les modules d’Agir et Réussir. C’est vrai que je suis de manière générale très curieuse de tout ce qui se fait et que je prends un petit peu partout… mais j’applique. C’est quelque chose que j’ai appris des femmes qu’on accompagne. On a vu que la grosse différence entre celles qui ont des résultats vraiment parfois étonnants et celles qui n’en ont pas, c’est qu’il y a celles qui appliquent et d’autres qui n’appliquent pas. Les choses peuvent paraître complètement triviales comme la relaxation de grossesse. On peut se dire que c’est juste pour faire bien. On a les femmes qui ont eu des vécus. Leurs médecins nous ont appelées en disant : « Attendez, elles nous ont dit qu’elles faisaient vos trucs… c’est quoi en gros ? » C’est très simple, mais si on applique régulièrement, on peut avoir des grands bénéfices. On s’en est vraiment rendu compte dès le premier module. Je l’avais écouté. Je suis restée- je crois – 15 jours sans rien faire, je n’en avais pas eu le temps et on pédalait dans la semoule. Je me suis dit : « Tu as investi dans cette formation. On va prendre le temps, un weekend. On va reprendre les choses de l’objectif SMART… » Le fait d’écrire m’a vraiment permis de mettre le doigt sur certains problèmes déjà. Après, il faut un petit peu de persévérance. Le plus difficile est de commencer. Quand on s’est fait une routine, après cela va tout seul.

Olivier : Exactement. Je pense que tu as mis le doigt sur des choses très importantes. Je suis tout à fait d’accord avec toi que l’une des clés du succès est d’appliquer. Je pense qu’il y a une différence fondamentale entre ceux qui appliquent et ceux qui n’appliquent pas. Chris Guillebeau qui d’ailleurs est un blogueur connu outre-Atlantique dit qu’il y a un gouffre beaucoup plus important entre le savoir et l’action qu’entre l’ignorance et le savoir. C’est-à-dire que c’est bien d’apprendre et de se cultiver mais que si derrière cela ne se traduit pas en action concrète, ça ne sert à rien… Tout ce qu’on a fait c’est de faire tourner son cerveau à vide sur des choses qui ne sont pas utiles. Comme tu le dis, il faut se mettre en route, il faut une certaine rigueur mais à partir du moment où nous commençons à voir les bénéfices de ce qu’on applique, nous sommes beaucoup plus motivé pour faire le reste. Il faut juste démarrer !

Isabelle : Exactement ! C’est de démarrer ! Par exemple, pour Agir et Réussir, les vidéos de lancement étaient vraiment super. On se retrouve super dynamisés. Après, quand on se lance, on se dit : « C’est génial ! Je me suis lancé ! » Lorsqu’on reçoit le premier mail – en tout cas je l’ai ressenti comme cela, je ne sais pas si c’est pareil pour tout le monde- je me suis dit : « Oh ! Je voudrais encore le voir ! » En fait on a presque envie de te voir en continu en vidéo, tout le temps, pour que tu nous tiennes par la main. Finalement, à la réflexion, je me suis dit que « c’était très bien ! » cela pousse chacun à se mettre en face de son projet et à se dire : « Est-ce que je le veux ou est-ce que je ne le veux pas ? » Il y a les audio. Cela aussi c’est génial. Moi, je suis beaucoup à l’audio. On travaille aussi comme cela avec les femmes qu’on accompagne. Dès le premier module, on tombe sur du sérieux. Moi en tout cas, cela m’a mis en face du projet. Est-ce que je me lance ou est-ce que je ne me lance pas ? Est-ce que je peux ? Est-ce que je ne peux pas ? Quand tu demandes de voir honnêtement si l’objectif est réalisable, de revoir ce que cela implique dans la vie,… cela m’a obligée à me poser avec mon mari, à avoir des discussions avec lui… Si je pars dans la création par moi-même, ce sera mon bébé. Déjà que je travaillais beaucoup avant, là, je risque de travailler beaucoup plus… En même temps, tout de suite, avec les conseils que tu as donnés, avec cette volonté de ne pas être esclave du travail, tout cela, ce sont tous les éléments qui m’ont vraiment parlé au moment où c’est arrivé.

Olivier : Isabelle, je pense qu’on a fait un bon panorama. Est-ce que tu as des choses à rajouter par rapport à Agir et Réussir ? Peut-être des conseils à donner à ceux qui comme toi ont acquis Agir et Réussir, mais qui ont peut-être un peu de mal à appliquer ?

Isabelle : Non. Pour l’instant je te dirais que j’ai fait beaucoup de formations. Comme toutes formations, j’essaie un peu de voir avec notre expertise, aujourd’hui, ce qu’on peut prendre, comment on peut appliquer les conseils que tu donnes… Le conseil que je donne et que je ne cesserai jamais de donner, c’est toujours d’essayer. En tout cas, quand on s’est lancé, d’essayer d’en tirer les choses positives… Aujourd’hui, si on a pu tirer du positif d’Agir et Réussir, c’est parce qu’on avait déjà expérimenté d’autres choses. On avait essayé d’appliquer. Des fois, on a eu des gros gadins avec des conseils que certaines personnes auraient pu éviter de nous donner. Cela ne s’appliquait pas du tout à notre domaine d’intervention. Aujourd’hui, je dirais que grâce à tout cela, cela m’a permis de savoir quand Agir et Réussir est arrivé, que c’était ce dont on avait besoin. En tant entrepreneur, je pense qu’on doit tester, qu’on doit essayer, qu’on doit appliquer, qu’on doit agir ! Je crois que c’est une bonne conclusion : on doit agir. Cela paraît simple. Aujourd’hui je suis dans un réseau d’entrepreneurs. Il y en a beaucoup qui n’agissent pas, qui ont vraiment peur, même peur de se lancer. J’ai des amis qui ont monté leur boîte depuis six mois et il n’y a toujours rien qui en soit sorti. Voilà. On me dit : « Mais toi, tu n’as pas créé ». Oui, mais avant de créer, j’ai préparé ! Donc quand ce sera créé, cela va être un démarrage immédiat ! Vraiment, cela nous a structurées. On avait besoin de structure, de conserver une qualité de service et un niveau de satisfaction. cela nous a structurées. Agir et Réussir nous a aussi appris à ne pas nous brader. On pensait rendre service à nos clientes, à tout le monde en bradant. En fait, on a décrédibilisé pendant longtemps notre service, notre intervention. Aujourd’hui, les femmes sont beaucoup plus attentives. Elles en tirent de meilleurs bénéfices quand elles payent un de nos services. On a une plus grande écoute lorsqu’on est auprès de professionnels de la santé, auprès du ministère de la santé, du fait d’avoir appliqué des tarifs qui répercutent le travail que l’on fournit.

Olivier : C’est vraiment un conseil en or. Beaucoup d’entrepreneurs quand ils se lancent ont un peu peur de ne pas avoir de clients, alors leur stratégie est de faire des prix plus bas que la moyenne du marché. C’est vraiment une grosse erreur. Déjà, cela fait un mauvais précédent pour tous les clients qu’ils vont avoir. Quand ils voudront augmenter les prix, cela va créer forcément des résistances. Dans l’esprit des prospects, cela dévalorise complètement le service et le produit. Les clients vont être moins susceptibles de tirer parti de ces produits ou services parce que, comme tu l’as très bien dit, on ne valorise pas la même chose quand c’est gratuit ou pas cher par rapport quelque chose qu’on a payé cher. Dans les clients d’Agir et Réussir, il y a une partie qui n’applique pas…

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Isabelle : Oui parce que ce n’est pas très, très cher !

Olivier : Je vais peut-être devoir augmenter les tarifs encore pour que les clients valorisent encore plus le contenu. Tu as touché du doigt quelque chose de fondamental. Quand on a des prix justes qui sont en relation avec la valeur qu’on apporte, tout de suite, tout le monde nous perçoit de manière beaucoup plus crédible. Que ce soient les clients ou les partenaires, tout de suite, cela change la donne ! En plus, évidemment, cela rentabilise l’entreprise. C’est ce qui fait qu’elle va être pérenne et qu’elle va pouvoir continuer à proposer des produits ou services de qualité pendant longtemps.

Isabelle : Nous avons vécu quelque chose de très grave. Un moment donné, on proposait un suivi limité, que l’on travaillait beaucoup, pour 25 € par mois. On s’est vraiment fait insulter à cette période-là. On nous a traitées d’arnaqueuses, qu’on voulait profiter des difficultés des femmes… cela a été une période extrêmement difficile. Nous ne comprenions pas. On se disait qu’on voulait juste rendre service. Ce n’est que progressivement qu’on a commencé à comprendre que le fait de proposer un tarif trop bas, cela faisait : « C’est bizarre ! Pourquoi ? Quel est votre intérêt finalement ? » cela donne vraiment l’impression qu’on veut rameuter le maximum de monde possible sur quelque chose qui ne va pas vraiment être sérieux. On a eu la chance d’avoir quelques femmes qui se sont lancées à fond. C’est quand même un problème qui les touche directement. Si on n’avait pas eu ces femmes qui nous ont fait confiance, aujourd’hui on n’existerait plus à cause de cette erreur. Mais on n’avait pas passé le pas d’arriver au tarif qui nous permettait d’être bénéficiaires. Nous avons passé ce pas avec Agir et Réussir parce qu’on n’arrivait pas à voir comment on allait faire la transition entre un tarif qui était très bas auparavant à un tarif plus élevé. Avec les différentes conférences que tu as aussi données avec Sébastien Night, on a vraiment appris certaines techniques de communication et on a trouvé des astuces pour le faire comprendre aux personnes en toute honnêteté. On a trouvé comment on allait communiquer sur ce changement. Aujourd’hui, ce changement nous apporte le respect des femmes – des prospects, des clientes qui sont en cours et qui se sentent vraiment privilégiées- et le respect des partenaires.

Olivier : cela change tout déjà en termes de bien-être, de sérénité, de focalisation sur le travail…

Isabelle : Exactement ! cela change énormément de choses. Même au niveau de l’environnement. Pour nous les femmes, s’il y a d’autres femmes entrepreneurs- et il y en a de plus en plus – je les encourage. C’est vrai que ce n’est pas toujours évident. On a la vie de famille etc. Concrètement, on est tranquille moralement. On est concentrée sur le travail qu’on a à faire. Je me rends compte que le temps libéré comme cela, de pouvoir me concentrer sur un certain volume de femmes, cela nous a permis de sortir le nez du guidon. cela nous a permis de prendre du temps pour faire la formation Agir et Réussir, de réfléchir à d’autres choses, de suivre des conférences. C’est très important parce que j’ai plus de temps aujourd’hui pour le développement du business, pour réfléchir à notre communication et pour apporter des améliorations. En l’espace de quelques semaines, nous avons fait des améliorations vraiment exceptionnelles. Avec les bénéfices qu’on est en train de tirer, on peut penser à d’autres améliorations qui nécessitent des fois des investissements également.

Olivier : Voilà, tu as enclenché un cercle vertueux ! On voit que tu as enclenché ce cercle vertueux à partir de moment où tu t’es dit : « O.K. j’arrête éteindre les incendies pendant un moment. Je me pose. Je réfléchis à tout cela et je repars d’un meilleur pied. » Malheureusement, il y a beaucoup de personnes qui ne font jamais cette démarche là parce qu’elles vont tellement être occupées à éteindre les incendies en permanence qu’elles ne vont jamais se pencher sur la source qui crée ces incendies. Du coup, elles vont toujours être dans la même démarche, dans quelque chose qui n’est pas fondamentalement bon. Quand on réfléchit sur la structure de l’entreprise, qu’on voit ce qui crée des incendies et comment supprimer ces causes-là, comme tu le dis, on a énormément de temps qui se dégage, des bénéfices commencent à rentrer. Du coup, on a beaucoup plus de temps et de ressources pour avancer.

Isabelle : Exactement. Je pense qu’il faut un déclencheur pour pouvoir se poser. Mon déclencheur a été mon mari qui gentiment depuis six ans me voyait travailler, travailler, travailler totalement à perte. Il m’a dit : «  Je suis O.K. pour que tu continues mais il faut que ce soit rentable. »

Olivier : Tu ne touchais pas de salaire. C’est cela ?

Isabelle : Pendant quatre ans, je n’ai pas touché de salaire.

Olivier : Tu étais une bénévole engagée ?

Isabelle : Exactement ! Mon mari m’a dit : « On a des enfants qui grandissent. On a des ambitions pour eux, etc. » Mon mari gagne bien sa vie, il est ingénieur informatique pour un grand opérateur de téléphonie en France. ça va, il gagne très bien sa vie. Mais au début, quand on s’est rencontrés, on avait certains objectifs communs. J’étais directrice marketing. Je gagnais bien ma vie aussi. L’objectif n’était pas que je me retrouve à être à la maison pour élever des enfants. Ce n’était pas mon objectif de vie ni le sien. Il n’y a pas de souci pour celles qui le veulent faire, mais nous, ce n’était pas notre objectif. Je me suis retrouvée à beaucoup travailler. Il voyait toujours la femme dynamique qu’il avait connue. A un moment donné, comme toute personne, j’ai senti que je devais être valorisée dans mon travail. Je ne m’épuisais pas parce que c’était une passion. Mais je n’avais pas la volonté de faire une passion sans rien gagner. Il m’a posé cette sorte d’ultimatum en me disant que cela faisait six ans et qu’il fallait commencer à réfléchir. Il m’a dit en plus quelque chose de très intelligent : « Je suis sûr que vous pouvez continuer à faire le même travail tout en étant rentable. Il suffit de bien revoir les choses ». Je me suis dit : «  Oui. Il faut qu’on trouve. » On a commencé à chercher activement des fonds de formation. Je me suis inscrite à différents réseaux pour être informée de tout ce qui se faisait. C’est là où j’ai choisi Agir et Réussir. J’ai dit à mon mari : « Je crois que j’ai trouvé la solution ! J’ai trouvé une bonne formation que je vais commencer par Internet ! » Tout de suite, il a vu les changements en deux mois. J’en parle comme cela dans cette interview mais le témoignage spontané que j’avais fait sous ta vidéo gratuite par rapport aux blogueurs pro, c’était vraiment de cœur parce qu’on allait vraiment peut-être devoir arrêter. On a aujourd’hui près d’une centaine de femmes qui sont en train d’attendre qu’on puisse les prendre en charge. C’était donc vraiment un choix très douloureux si on devait arrêter juste à cause de la rentabilité. Cela m’a permis de recentrer tout cela. Je parlais de mon mari parce que tu parles souvent de l’importance de l’entourage et l’importance de faire des déclarations à son entourage. Cela a été le booster qui m’a permis de me dire : «  Attends ! Je crois que j’ai les épaules pour diriger cela et pour sortir cette organisation, 4BFS, de l’impasse dans laquelle on s’est mises à trop bien vouloir faire. » L’autre conseil que je voudrais donner aux personnes, c’est que des fois on a l’impression que cela va être long pour mettre des solutions en place. cela prend parfois quelques semaines. Si on s’y met à fond, on peut vraiment voir un changement très rapide. On peut créer rapidement. Il suffit de s’y mettre à fond et un petit peu tout les jours pour ne pas laisser de gros trous et ne pas tirer de bénéfices de ce qu’on fait.

Olivier : C’est formidable, Isabelle : Je pense que tu as donné énormément de bons conseils pour les personnes qui suivent actuellement Agir et Réussir. Même pour les autres, ce sont des conseils à appliquer à leur entreprise ou à leur projet. Merci beaucoup pour ton témoignage. Je suis vraiment très heureux qu’Agir et Réussir t’ait apporté tout cela, j’espère que…

Isabelle : cela va continuer parce que je n’ai pas encore fait tous les modules ! Il y a encore les vidéos que tu envoies régulièrement et gratuitement donc je pense qu’on va te suivre avec beaucoup d’attention et qu’on va continuer à appliquer tes conseils.

Olivier : Très bien ! Merci beaucoup, Isabelle : Très bonne continuation dans ton entreprise et à très bientôt pour de nouvelles aventures !

Isabelle : Merci Olivier ! Au revoir !

16 commentaires
  1. Superbe interview, à vous deux vous donneriez de la motivation à un cadavre ! 🙂

    Étant client d’Agir & Réussir, je ne peux que confirmer le ressenti d’Isabelle : En plus des techniques et conseils, c’est aussi une immense confiance en nous que tu nous permets d’acquérir et qui se ressent lors de tous nos contacts avec divers interlocuteurs professionnels.

    L’élément fondamental de ton programme selon moi est sa structuration : Il est incroyable de voir à quel point quelques idées couchées sur le papier changent la donne !

    On a tous tendance à réfléchir dans notre tête, à noter quelques idées par-ci, par-là… Mais la pertinence des questions que tu nous incite à nous poser est vraiment un guide pour découvrir ce que l’on veut exactement et comment y arriver. Tout est plus clair, programmé, presque facile.

    Et ça, c’est de l’or. Encore merci pour tout ! 😉

    Benjamin

  2. Bonjour à toutes et à tous,

    Merci pour cette interview très intéressante et enrichissante.
    Je suis tout à fait d’accord que la connaissance sans l’action est égale à zéro. Je n’ai pas acheté la formation Agir & Réussir parce qu’elle n’est pas assez chère. Je suis certain que c’est une excellente formation mais j’en ai déjà acheté plusieurs qui me conviennent.
    J’adresse mes félicitations à Isabelle pour son courage et sa persévérance.
    Olivier, je suis abonné sur ta liste et les conseils que tu donnes sont excellents. Merci pour cela.
    Dans l’interview vous parlez de trouver le juste prix pour un travail fourni. Je pense Olivier que ta formation Agir & Réussir, d’après le descriptif que j’ai lu devrait être de 197€ par mois.

    Bonne continuation à vous.

    Eric

  3. Excellente interview ! Je ne suis pas cliente d’agir et réussir, mais cela fait plusieurs semaines que je regarde les vidéos faites par Olivier sur le net.
    J’avais vu le commentaire d’Isabelle, que j’avais trouvé très positif également ! Je m’identifie sur plusieurs points à Isabelle (déjà le fait d’être une femme, mère de famille, ayant le désir de porter son projet et de le rendre rentable… une réelle volonté de travail également, une envie de s’accomplir professionnellement).

    Pour résumer cette vidéo a fini de me convaincre sur l’utilité de cette formation (et puis ce n’est pas totalement un hasard non plus si je suis là… moi aussi je cherche ‘des solutions’ pour développer au mieux mon activité).

    Quand auront lieu les prochaines formations d’agir et réussir ?

  4. Salut à tous,

    Merci pour vos commentaires positifs, ça fait extrêmement plaisir.

    @Jennifer : c’est bien ce que tu fais! Les femmes ont souvent peur de se lancer à cause du challenge énorme que cela représente.
    Tu as déjà le bon réflexe en suivant Olivier parce que tous ses conseils sont bon à prendre. Même les conseils gratuits 😉
    Mais je t’encourage pour Agir et Réussir car tu auras vraiment de quoi commencer dans la meilleure direction.

    @Benjamin : tu as raison : la structuration c’est l’incontournable et heureusement, pour ceux qui ont fait la même erreur que nous, on peut structurer même en retard.

    @Eric Cavelier: moi aussi je trouve que la formation Agir et Réussir n’est pas très chère pour la qualité et tout ce qu’elle m’a apporté mais en fait cela permet à toute personne, y compris celles qui ne sont pas encore fortunée 😉 de profiter d’une formation de qualité qui pourra leur permettre de se lancer correctement vers la réussite. Donc finalement, Olivier permet à ceux qui n’ont peut-être pas accès aux formations de qualité, habituellement très chères, d’accéder quand même aux bases essentielles pour réussir.
    Il a donc un positionnement sur un marché précis qui va lui attirer beaucoup de reconnaissance de personnes comme moi 😉

    Je vous souhaite à tous bonne réussite dans vos projets

    Isabelle

  5. je suis très émerveillé par l’interview et cela me convainc d’avantage de m’inscrire à la formation d’agir et reussir. j’espère vivement participer à la prochaine session afin de lancer mon activité avec succès.
    plein succès à Isabelle et bonne continuation à toi Olivier.

    landry

  6. Merci pour cet échange qui me donne encore envie de m’accrocher !! Entre les videos et ce dernier interview, ça foisonne d’idées et de conseils pertinents.
    Et puis, un témoignage ensoleillé d’une femme/maman qui réussit, ça fait du bien ! Je viens d’ailleurs de laisser un message sur le site. Je suis en préparation de lancement d’activité alors j’ai déja du pain sur la planche et les conseils récoltés ici sont précieux. Moi qui pensais baisser mes tarifs !! Je suis plutôt en réflexion pour un blog, mais c’est encore un peu obscur pour moi… je prends le temps… rapidemment 🙂

    Merci chacun, chacune,
    grand succès à tous.
    Caroline

  7. En tant que nouveau sur cet espace, je me trouve très satisfait par rapport aux ressources de ce reseau. Je n’ai pas pu être indifférent par rapport cette étude de cas d’Isabelle (une femme très courage et motivé pour la réussite). C’est vraiment un bon exemple surl lequel il faut s’inspirer.
    Justement, je suis en phase de création d’entreprise et j’y tiens beaucoup. Pour cela, ces conseils sont vraiment précieux et je vous en remercie pour tout ce que tu fais Olivier.

    Bien à tous.

  8. Merci pour vos commentaires 🙂

    Jennifer et Landry, hélas les inscriptions sont pour le moment closes car je veux m’assurer d’avoir du temps pour tous mes projets. Je ne sais pas quand je ré-ouvrirai les inscriptions, mais si vous vous inscrivez sur la liste d’attente vous ferez partie des premières prévenues 🙂 .

  9. Bonjour Olivier,

    contenu toujours très intéressant sur ce site, félicitations pour la persistance.
    J’aurais deux petites questions :
    1. Où peut-on trouver les tarifs d’Agir&Réussir?
    2. Question purement fonctionnelle : quelles sont les raisons qui t’ont poussé vers Aweber plutôt que Mailchimp (et ses intégrations)?
    J’imagine bien que cet outil indispensable est au centre de toute ta stratégie en mode ‘auto-pilote’ : pourrais-tu décrire s’il correspond à tes attentes et en quoi?

    Merci 🙂

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