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Transcription texte (littérale)
Bonjour et bienvenue dans cette nouvelle vidéo du blog « Des livres pour changer de vie« . Je me trouve à Agadir au Maroc. Derrière moi, vous pouvez voir un panorama magnifique de cette ville qui a été complètement détruite par un tremblement de terre dans les années 60 et qui a été reconstruite avec les normes un peu utilitaristes de l’époque. En tout cas cela a été mon point d’entrée au Maroc, pays fabuleux à découvrir.
Je fais cette vidéo pour vous parler d’une collection de livres qui m’accompagne depuis deux ans. Ceux qui me suivent, savent que depuis deux ans je me suis mis à beaucoup voyager, puisque je suis devenu blogueur professionnel et que je peux gérer mon entreprise de partout dans le monde. J’ai une collection de livres qui m’accompagne lors de chaque voyage. Cette collection s’appelle « Le guide du routard« .
Le guide du routard est extrêmement connu. Cela pour de bonnes raisons. D’une part, ces livres ne sont vraiment pas chers (par exemple, l’édition du Maroc est à 13,90€. Il est rempli de conseils pratiques sur où dormir, quoi et où manger, qu’est ce qu’il faut visiter, comment se déplacer d’une ville à l’autre, comment se rendre dans un pays, quelles sont les formalités…etc.
Bien que dans l’édition de Grèce, j’ai trouvé certains passages un peu approximatifs sur quelques restaurants (il faut reconnaître qu’il y a tellement d’îles en Grèce qu’il est difficile de tout gérer), je n’ai jamais été déçu par une édition.
Les aventures outremer vous intéressent ? Je vous propose la lecture de 3 récits de voyages, dont le premier, Histoire de partir, est celui d’un tour des Caraïbes en catamaran et en famille.
En tout cas, je suis allé en Inde, à la Réunion, aux Etats-Unis et bien d’autres pays. J’ai toujours emmené un guide du routard avec moi. Je trouve que c’est plein de bon plans et qu’on ne peut que rentabiliser cet achat.
De plus, j’aime bien les valeurs qui sont véhiculées par Le guide du routard, car il essaie toujours de nous donner les bons plans, les coins qui ne sont pas forcément très touristiques, les bonnes petites adresses tenues par des locaux qui ne sont pas forcément dans le guide Michelin.
Ce que j’aime bien aussi c’est l’éventail de prix proposés, des petits bouis-bouis qui ne coûtent rien (3€ pour un repas complet) aux restaurants de luxe. Moi j’adore passer d’un milieu à un autre. Je peux tout à fait manger dans un restaurant grand luxe un soir et me contenter d’un kebab le lendemain dans un boui-boui de quartier.
Si vous partez en voyage, je vous recommande de prendre Le guide du routard du pays dans lequel vous vous rendez et à mon avis, vous ne serez pas déçu.
Merci d’avoir suivi cette vidéo, et à très bientôt pour de nouvelles aventures.
Le petit guide pratique du livre Le Guide du Routard
Les conseils pratiques du livre Le guide du Routard :
1-Où dormir
2-Quoi et où manger
3-Qu’est-ce qu’il faut visiter
4-Comment se déplacer d’une ville à l’autre
5-Comment se rendre dans un pays
6-Quelles sont les formalités, etc.
Foire Aux Questions (FAQ) du livre Le guide du Routard de Philippe Gloaguen
1. Comment le public a-t-il accueilli le livre Le guide du Routard de Philippe Gloaguen ?
Paru pour la première fois en 1973, le livre Le guide du Routard a essuyé 19 refus de la part des éditeurs avant d’être véritablement accepté en librairie grâce à la petite maison d’édition Gedalge. Les ventes de cet ouvrage n’ont explosé qu’à partir de 1975 aux éditions Hachette Livre sous la tutelle de Gérald Gassiot-Talabot, ancien responsable du pôle tourisme.
2. Quel est l’impact du livre Le guide du Routard de Philippe Gloaguen ?
Cet ouvrage a impacté beaucoup de voyageurs et touristes à travers le monde et leur a permis de passer un excellent séjour dans les différents de destination sans stress.
3. À qui le livre Le guide du Routard de Philippe Gloaguen s’adresse-t-il ?
Ce livre est destiné aux voyageurs et touristes, il doit être une source d’inspiration pour tous ceux qui ont des projets de voyage pour savoir à quoi s’en tenir.
4. Quelles sont les valeurs qui sont véhiculées par Le guide du Routard ?
Les valeurs qui sont véhiculées par Le guide du routard sont entre autres les bons plans, les coins qui ne sont pas forcément très touristiques, les bonnes petites adresses tenues par des locaux qui ne sont pas forcément dans le guide Michelin.
5. Quel est le but visé par le livre Le guide du Routard ?
Cet ouvrage a pour objectif de faciliter le séjour des voyageurs et touristes dans leurs pays d’accueil respectif.
Les avantages d’un voyage avec le guide du routard versus les inconvénients d’un voyage sans guide du routard
Les avantages d’un voyage avec guide du routard | Les inconvénients d’un voyage sans guide du routard |
Savoir comment se rendre dans un pays | Ne rien savoir sur comment se rendre dans un pays |
Connaître les formalités à remplir | Ne pas maîtriser les formalités à remplir |
Comment se déplacer d’une ville à l’autre | Se perdre lors des déplacements |
Trouver où dormir | Ne pas savoir où dormir |
Trouver quoi et où manger à bon prix | Se faire taxer dans les restaurants |
Qui est Philippe Gloaguen?
Issu d’un père instituteur et directeur de pensionnat et d’une mère assistante sociale, Philippe Goaguen a vu le jour le 6 août 1951 dans les Hauts-de-Seine où il grandit. Très jeune, il s’initie au voyage en compagnie de ses parents et découvre de nouvelles cultures comme à Barcelone à l’âge de 8 ans. Écrivain et homme d’affaires d’origine française, il est le cofondateur du guide du routard depuis 1973 et le seul propriétaire de la marque « Routard » déposée à l’ANPI en 1975.
Il a impacté la vie de nombreux voyageurs et touristes à travers le monde par l’intermédiaire de son ouvrage intitulé ‘’ Le Guide du Routard’’ dans lequel, il propose des conseils pratiques aux voyageurs pour faciliter leur séjour dans leur pays d’accueil. Il est également l’auteur de l’ouvrage Une vie de routard, qu’il a coécrit avec le journaliste Patrice Trapier, aux éditions Calmann-Lévy.
Hello Olivier !
Tu prolonges l’été au Maroc ? Quelque chose me dit que tu vas changer d’hémisphère d’ici la fin de l’année, histoire de rester au chaud.
En attendant, en tant qu’apprenti blogueur de la formation Blogueur Pro, je mets ma laine et je potasse mes cours !
Très bien en effet les guides du Routard, le site web est également très riche d’informations et permet d’échanger avec d’autres voyageurs via le forum.
Mais les guides du Routard sont parfois même trop lourd d’informations, et non imagés. Du coup je le complète avec un autre ouvrage qui lui sera davantage illustré. Mais souvent plus cher…
Bon vent à toi, et à très bientôt…
Hello Olivier
Moi, j’ai une expérience du Routard qui a des relents d’arrière-cuisine plutôt antipathiques.
Tu sais que je suis (nettement) plus âgée que toi. J’ai longtemps utilisé le Routard… Jusqu’au moment où ils ont eu l’idée d’un Routard « Belgique ».
Tu liras sous ces liens ma réaction à ce qu’ils ont écrit sur ma ville et la réponse qu’ils m’ont envoyée.
En février 2011, j’ai reçu un email du Routard. Ils réservaient une chambre pour une nuit dans ma maison d’hôtes : leur journaliste revenait à Charleroi pour la mise à jour. J’ai donc mobilisé la communauté sur FB : c’était l’occasion de restaurer l’image de notre ville.
C’était en février, une époque où les journées se terminent à 17 heures : après ça, il fait noir.
La journaliste est allée au resto et m’a rejointe à 14h30.
Je l’ai emmenée faire une balade sur un terril et l’ai trimballée en voiture voir quelques sites remarquables. Voilà : il était 17 heures; la journée était finie. Elle devait aller tester un deuxième resto.
Elle a « fait » deux villes en un jour. Inutile de dire que son seul souci, c’était d’assurer la mise à jour des données concernant les restos et que, pour le reste, les données sont toujours aussi dévalorisantes.
Le même regard dégradant a été posé sur d’autres régions de mon pays. Des politiciens s’en sont même indignés. La presse s’en est fait l’écho.
Désormais, il paraît que ma maison d’hôtes figure dans le Routard. Je ne l’ai pas acheté. Même pas feuilleté. Compte tenu de leurs méthodes, désormais, je suis plutôt encline à le boycotter.
Les gens qui n’aiment pas le Routard préfèrent le Lonely Planet.
Moi, je voyage avec Couchsurfing. Avant de partir, je me documente sur les lieux mais je suis éprise de rencontres et je me fie à ce que me recommandent mes hôtes : je vis ainsi des aventures riches, inattendues, cocasses; je noue des liens. Souvent, quelques jours ont la densité de 3 semaines.
Je t’en avais parlé : CS permet de vivre le voyage « autrement », essentiellement plus authentiquement puisque tu vis des expériences que les guides ignorent (genre une partie de pêche par -14° à Tromso, une plongée dans un pozzo dans le Lazio, un tour en avion léger au-dessus de la Villa Hadriana, une dégustation de ricotta chaude dans une ferme du Sud-Est de la Sicile… et j’en passe).
Amicalement,
Patricia
Bonjour Olivier,
J’ai moi aussi pas mal voyagé ces dernières années, et j’ai moi aussi pas mal utilisé les guides du routard…
Mais c’est aussi ce qui me permet de ne pas les conseiller…
Je trouve certains commentaires un peu déplacés et très franchouillards, pour rester poli, bref très agaçants voire vexant pour les habitants de certains pays/régions/villes concernés.
Un manque de recul et des mises à jours trop peu fréquentes, voilà ce qui caractérise le guide du routard.
On peut être optimiste et se dire que ça va aller en s’améliorant, mais personnellement, à moins de ne pas trouver autre chose, j’évite.
Benoît
On reproche beaucoup au Routard de ne pas mettre ses données à jour, j utilisais aussi beaucoup ce guide mais apres utilisation Lonely planet est plus complet et récent, d autre part, à l etranger, on se retrouve souvent avec d autres français qui possedent le guide, je rappelle que nous sommes assez mal jugés par les autres pays pour notre manque de savoir vivre, notre côté ràleur et surtout notre radinerie en matière de pourboires!
Salut Olivier,
Comme les autres, je pense que les données ne peuvent pas être mis à jour en seulement 2 jours de visite. Surtout si la personne n’est pas du coin (même si ça part d’une bonne intention).
Je pense que rien ne vaut mieux que les conseils d’un habitant de la région concernée. Il a assez de recul et de connaissances pour connaître les bons plans.
Par exemple si je mange dans un restaurant et que je suis déçus par le service, je ne peux pas me faire une opinion sur cette seule expérience. Il suffit qu’un des serveurs soit malade et soit remplacé en urgence par quelqu’un d’inexpérimenté pour faire la différence. Il peut en être de même pour le cuisinier.
Tout est une question de recul.
D’ailleurs je vois que tu es passé à la Réunion.
Je viens justement de créer un blog sur les bons plans de la Réunion.
D’ici là, si tu viens à nouveau sur l’île, mon site aura (je l’espère) bien avancé pour que tu puisses y trouver ton bonheur ;).
Le Routard, c’est dépassé et comment voulez-vous que les éditions soient toujours d’actualité avec autant de destinations dans le monde. Une édition est valable un an, deux au grand max. Tout change si vite. Il ont créé un site web en se reposant sur l’aide des forums pour que les gens fassent le travail d’informations pour eux.
Moi je dis, la plateforme, dont je ne peux citer le nom mais qui offre des avis et des conseils touristiques émanant de consommateurs sur des hôtels, restaurants, villes et régions, lieux de loisirs, etc, reste la meilleure source même s’il faut faire le tri avec des commentaires parfois injustes. Mais on se rend vite compte de la bonne foi des gens.
Et puis avec autant de sources d’informations sur le net de nos jours, plus besoin de s’encombrer d’un guide qu’on va utiliser une fois et le jeter après. Ça fait cher l’information, alors qu’on voit tellement plus en images sur internet.
Après ça reste mon point de vue mais je n’ai jamais trouvé des endroits incontournables grâce au Routard.