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Résumé du livre de « 10 % plus heureux. Un candide au pays de la méditation » de Dan Harris : un livre en forme de biographie et de manuel de développement personnel où l’auteur partage son expérience du stress et nous montre comment en sortir grâce à la méditation.
Dan Harris, 2019 (2014), 324 pages.
Titre original : 10 % Happier.
Chronique et résumé de « 10 % plus heureux » de Dan Harris
Chapitre 1 – Ça tourne !
En 2004, alors qu’il est en plein direct de la célèbre émission de télévision Good Morning America, le journaliste Dan Harris est victime d’une crise de panique. Il éprouve alors ce que les médecins appellent la « faim d’air », une sensation physiologique qui donne à une personne l’impression que ses poumons ne peuvent pas absorber suffisamment d’air.
C’est cet événement traumatisant qui a donné le point de départ au voyage entrepris par l’auteur pour découvrir l’origine de cette panique, ainsi que les moyens pour éviter que cela ne se reproduise.
Mais justement : d’où vient-il exactement ? Telle est la première question à se poser. En fait, Dan Harris raconte comment il en est arrivé à travailler pour ABC News, une grande chaîne nationale aux États-Unis.
Âgé d’une vingtaine d’années, Dan Harris était ambitieux. Lorsqu’il commence à travailler à ABC, à 29 ans, le jeune journaliste correspondant veut plaire à son chef de rédaction, Peter Jennings. Il en fait beaucoup. Trop sans doute. Le burn-out n’est pas loin.
Surviennent ensuite les attentats du 11 septembre 2001. Dan Harris et son équipe couvrent le désastre. Plus tard, alors qu’il est correspondant au Moyen-Orient, l’auteur raconte qu’il ressent très fortement ce qu’il appelle « l’héroïne journalistique ».
Qu’est-ce ? Le fait de devenir accro à la montée d’adrénaline qui accompagne le travail de journaliste. Lors des reportages dans des zones « chaudes », il peut à tout moment se faire tirer dessus. Ce danger est à la fois source de peur et d’excitation. Peu à peu, Dan Harris s’habitue aux horreurs dont il est le témoin.
À son retour aux États-Unis, il paraît plus solide qu’auparavant. Mais en réalité, il a contracté une maladie invisible : une forme d’anxiété croissante liée à ses expériences traumatisantes dans les zones de conflit.
Pour pallier ces soucis, l’auteur utilise des drogues (cocaïne, extazy). Mais celles-ci ont un effet encore plus délétère sur lui. Malgré le fait qu’il aille voir un psychiatre, l’auteur refuse de prendre sérieusement en considération son état. Jusqu’au jour où il fait cette crise de panique sur le plateau de Good Morning America.
C’est un autre psychiatre qui lui révélera qu’il est atteint de stress post-traumatique. Dan Harris est alors à la fois soulagé et inquiet pour son avenir professionnel. Il sait que c’est l’insouciance et le travail qui l’ont mené là. Mais comment modifier son comportement, maintenant que le problème est déjà bien ancré ?
Chapitre 2 – Brebis égarées
En 2004, Peter Jennings assigne au journaliste une nouvelle mission : s’occuper du traitement des affaires religieuses pour ABC News. Dan Harris et son producteur, Wonbo Woo, voyagent aux États-Unis pour couvrir des histoires sur l’essor des mouvements chrétiens et parler de thématiques diverses telles que le mariage homosexuel ou l’avortement.
Au départ, le journaliste n’est pas vraiment emballé. Pour lui, ces histoires de religion sont sans intérêt et il les dédaigne même un peu. Pourtant, son avis va changer lorsqu’il va rencontrer un évangéliste nommé Ted Haggard, qui devient l’une de ses sources privilégiées dans ses investigations.
Peu à peu, Dan Harris crée des reportages plus profonds sur les thématiques religieuses et s’intéresse davantage à ce qu’il fait. Grâce à la gentillesse et au sérieux de personnes comme Ted Haggard (qui, néanmoins, sera pris dans un scandale peu de temps après), il se prend de passion pour ces nouveaux sujets.
En 2005, son mentor Peter Jennings meurt et le journaliste doit changer de poste : il devient reporter pour le magazine Nightline. C’est aussi l’époque où il rencontre sa future femme, Bianca, qui l’incite à trouver une solution à ses problèmes d’anxiété.
Chapitre 3 – Génial ou givré ?
Dan Harris considère qu’il va mieux. Il est désormais fiancé à Biance et a un nouveau travail. Toutefois, il est encore pris de temps à autre par des attaques de panique. Il anime l’édition du dimanche de World News Tonight, mais se sent stressé, notamment vis-à-vis de ses collègues.
Lorsqu’une amie lui demande s’il a lu l’ouvrage de Eckhart Tolle, Une Nouvelle Terre, le journaliste s’en moque. Pour lui, cet auteur de développement personnel ne mérite pas vraiment qu’on s’y arrête. Pourtant, une fois qu’il le lit, quelque chose l’interpelle et il décide de lui consacrer un entretien dans son show.
Ce qu’il fait. Pourtant, le jour J, il n’est toujours pas totalement convaincu par la présentation de l’auteur. Selon lui, Eckhart Tolle ne donne pas de solution satisfaisante pour calmer la voix intérieure négative de l’égo :
« C’était comme si j’avais rencontré un homme qui me disait que mes cheveux avaient pris feu, mais refusait de me fournir un extincteur. »
(10 % plus heureux, Chapitre 3)
Chapitre 4 – L’industrie du bonheur
Étape suivante dans sa réflexion : une interview avec Deepak Chopra, un gourou spirituel très populaire outre-Atlantique ayant écrit plusieurs best-sellers. Dan Harris l’interroge sur l’égo et les thèses d’Eckart Tolle. Ici encore, l’auteur est déçu par la réponse et le comportement du guide spirituel indien.
Et il en va de même lorsqu’il rencontre d’autres « gourous » venus du New Age et du développement personnel.
Mais alors, que faire ? Pour lui, il est nécessaire de s’appuyer sur des preuves scientifiques solides ; il ne peut s’en remettre à des « traitements » potentiellement dangereux n’ayant pas fait leurs preuves et aux discours d’experts autoproclamés.
Chapitre 5 — Le Jew-Bu
Sa femme Bianca lui suggère de lire un autre livre : celui de Mark Epstein, un psychologue pratiquant la méditation bouddhiste. C’est grâce à cette lecture que l’auteur se rend compte de ce qui restait « caché » ou implicite chez Eckart Tolle. En fait, la théorie qu’il développait trouvait ses racines dans le bouddhisme.
Plus que ce qu’il avait lu avant, le livre de Mark Epstein lui ouvrait la voie vers une compréhension à la fois plus profonde et plus modeste que ce que prétendaient offrir ceux et celles qu’il avait rencontrés jusqu’à présent.
Par ailleurs, Dan Harris se sent proche du côté « pragmatique » et concret du bouddhisme, qui propose des solutions concrètes pour mettre un terme aux pensées négatives et au flux destructeur de l’égo. Trois expressions sont souvent utilisées par les bouddhistes pour qualifier cette intranquillité de l’esprit :
- Esprit se comparant (comparing mind) : l’esprit se mesure sans cesse aux autres ;
- Esprit voulant (wanting mind) : l’esprit désirant les choses ;
- Et enfin l’esprit agité (monkey mind) : l’esprit insatiable et en besoin de nouveauté constante.
Reconnaître cela est essentiel à la croissance. Tout comme prendre conscience de notre tendance à « terribiliser » et, plus fondamentalement encore, l’impermanence des choses.
La seule façon d’atteindre le bonheur consiste alors à accepter complètement — et activement — ce caractère fini et provisoire des événements et des choses. Mais c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire, bien sûr !
Emballé par ces idées, Dan Harris contacte Mark Epstein pour lui proposer une interview. Le contact passe bien et le psychologue lui propose de participer à un groupe de spiritualité nommé le « bus juif », en référence à l’origine commune des participants. Mieux encore, c’est lui qui finit par le convaincre de se mettre à la méditation.
Chapitre 6 – Le pouvoir de la pensée négative
Dan Harris se réconcilie avec la méditation après avoir lu plusieurs études scientifiques qui montrent les avantages physiologiques de cette pratique. Il ne la voit plus comme une activité de hippies en mal de découvertes orientales.
Quelques instructions simples permettent de commencer une session :
- Asseyez-vous dans une position confortable ;
- Suivez votre respiration ;
- Lorsque l’attention s’égare, revenez à votre respiration.
L’auteur se rend compte qu’il s’agit d’un « exercice cérébral rigoureux » qui cherche à « apprivoiser le train en fugue de l’esprit ». Et cela n’a rien de facile ! Mais pour lui, cela valait vraiment la peine de persévérer.
Il a donc créé une routine quotidienne. Peu à peu, il a pris l’habitude de suivre son souffle pour soulager son anxiété et se concentrer sur les moments présents. Les résultats ne se sont pas fait attendre très longtemps.
Il a commencé à ressentir une ouverture de sa conscience. Il devenait capable de reconnaître ce qui se passe dans l’esprit moment par moment, en acceptant la nature transitoire de toute pensée.
Lors d’une retraite, Dan Harris écoute la conférencière Tara Brach, qui a créé une méthode intitulée RAIN, pour :
- Reconnaître ce qui se passe (ressource) ;
- Accepter l’expérience entièrement (allow) ;
- Investiguer avec soin et curiosité (investigate) ;
- Nourrir avec auto-compassion (nurture)
RAIN est une technique de pleine conscience en quatre étapes qui intègre :
- La reconnaissance de vos pensées ;
- Le fait de les laisser exister ;
- L’étude de ce qu’elles provoquent dans le corps ;
- Les identifier comme des états d’être transitoires, qui passent.
Pour Dan Harris, cette technique fonctionne bien. Mais son nouvel ami et mentor, Mark Epstein, lui conseille de participer à une autre retraite dirigée par Joseph Goldstein, un professeur de méditation de renom faisant partie du groupe du « bus juif ».
Chapitre 7 – Retraite
Dan Harris se rend donc au Spirit Rock Meditation Center de Californie pour assister à la retraite silencieuse de 10 jours dirigée par Joseph Goldstein. Cette fois, le niveau est plus exigeant. Le temps de méditation prévu est d’environ 10 heures par jour.
Le journaliste craint de ne pas réussir à tenir sur la longueur. Et, de fait, il pense abandonner après quelques jours, malgré les discours du soir enjoués et motivants de Joseph Goldstein.
Mais Dan Harris décide de raconter ses difficultés à quelqu’un qui lui conseille de faire baisser la pression et de ne pas essayer aussi fort. En effet, les personnes comme lui cherchent à tout prix à atteindre des objectifs et à réussir. C’est cela qui « bloque ».
L’expérience de la méditation va dans le sens inverse et beaucoup de personnes ont du mal avec cet aspect de la pratique.
Cette discussion l’aide et, peu de temps après, il fait l’expérience d’une méditation particulièrement intense qui le laisse dans un état de bien-être profond qu’il décrit comme des « vagues de bonheur ».
Cet état se poursuit pendant plusieurs jours puis cesse. Lors d’une conversation avec Joseph Goldstein, celui-ci lui affirme que cette pleine conscience joyeuse augmentera avec la pratique.
Chapitre 8 – 10 % plus heureux
De retour de la retraite, Dan Harris retombe rapidement dans ses habitudes quotidiennes. Au travail, les négociations ne se passent pas comme prévu. En plus, la plupart des gens voient son nouveau goût pour la méditation avec scepticisme.
À chaque fois, les personnes qui l’interrogeaient semblaient lui dire : « Vous avez donc rejoint un culte, n’est-ce pas ? ». Afin de mieux faire comprendre cette pratique, il décide de déclarer, à chaque fois que quelqu’un le questionne, que :
« Je le fais parce que cela me rend 10 % plus heureux »…
Et c’est à partir de là qu’il a commencé à penser à écrire un livre sur le sujet ! Pour lui, cette phrase, « Cela me rend 10 % plus heureux », est à la fois accrocheuse et vraie.
En effet, Dan Harris considère qu’il est plus heureux dans son ménage et plus sympathique avec ses collègues. Finalement, il signe un contrat et commence à travailler sur Good Morning America en tant que présentateur du week-end.
C’est un changement difficile au départ, pour le journaliste, mais il s’y fait. Il doit aussi faire face à des critiques venues des réseaux sociaux à cette époque. Certes, la vie reprend son cours et le stress est toujours là. Mais la méditation fait pourtant son œuvre ! Le journaliste affirme qu’il a résolu ses problèmes plus rapidement grâce à elle.
C’est également à cette époque que Dan Harris décide également de réaliser une interview avec Joseph Goldstein. Il lui demande comment il a commencé la méditation et pourquoi organiser des retraites si intenses, comme celle de Spirit Rock.
Joseph Goldstein dit que le fait d’être dans l’environnement d’une retraite de ce type permet aux participants de se familiariser avec leurs schémas de pensée et, ainsi, de mieux comprendre ce qui est important pour eux.
Chapitre 9 – La « nouvelle caféine«
Pour lui, désormais, la méditation a tout d’un superpouvoir ! Mais, qui plus est, les scientifiques démontrent l’efficacité de la méditation grâce à de nombreuses études scientifiques, ce qui l’encourage encore davantage.
Il cite plusieurs études, notamment sur les bienfaits de la méditation sur la dépression, la toxicomanie et l’asthme (entre autres !).
Il relate également une expérience célèbre de Harvard démontrant que les personnes ayant suivi un cours de huit semaines de réduction du stress basé sur la pleine conscience voient leur matière grise :
- « S’épaissir » dans les zones du cerveau associées à la conscience de soi et à la compassion ;
- « Diminuer » dans les régions associées au stress ».
Pour l’auteur, ces découvertes scientifiques peuvent aider à convaincre même les personnes les plus sceptiques des effets bénéfiques, tant psychologiques que physiologiques, de la méditation.
Dan Harris décide de présenter une série d’histoires sur la méditation sur la chaîne ABC. Sa première histoire porte sur la façon dont la méditation est utilisée avec succès dans les bureaux de l’entreprise du producteur alimentaire General Mills.
Sa directrice, Janice Maturano, voit la méditation comme une pratique positive et non seulement de « réduction de stress ». Elle insiste tout particulièrement sur l’importance de se concentrer sur une tâche, puis de la laisser tomber et de faire une pause. Dans cet espace de repos, une solution ou une percée peut se produire plus aisément.
Lorsqu’il travaille sur les autres histoires de sa série, Dan Harris se convainc de l’utilité et de la vérité de son nouveau crédo : « 10 % plus heureux grâce à la méditation ». Il utilise toutes les sources qu’il peut pour démontrer son propos et obtient un certain succès.
Chapitre 10 – Plaidoyer intéressé pour ne pas être un con
Dan Harris finit par interviewer le Dalaï Lama. Au début, il est plutôt sceptique, mais se rassure quelque peu lorsqu’il apprend que le leader des bouddhistes s’intéresse de très près aux études scientifiques démontrant les effets bénéfiques de la méditation.
Lorsque le journaliste lui fait part de ses questionnements autour de la question de la compassion, celui-ci lui répond :
« La pratique de la compassion est finalement bénéfique à toi-même. Je la décris habituellement comme cela : nous sommes égoïstes, mais nous sommes des égoïstes sages plutôt que des égoïstes fous ».
Ce propos donne à réfléchir, car il nous apprend que la pratique de la compassion est une bonne chose également pour sa propre santé. D’ailleurs, des études scientifiques citées par l’auteur dans l’ouvrage le démontrent.
Mais la compassion est plus facile à comprendre qu’à entreprendre ! L’une de ses grandes erreurs professionnelles est justement liée à un manque de compassion. Malgré ce nouveau savoir, Dan Harris reconnaît avoir été incorrect lors de l’interview qu’il réalisa avec Paris Hilton et qui poussa celle-ci à quitter le plateau de télévision.
Chapitre 11 – De la dissimulation du zen
Petit à petit, Dan Harris se désengage de la compétition sans pitié. Plutôt que de briguer inlassablement de nouvelles fonctions, il préfère se concentrer sur la méditation. Finie, la « course de rats » !
Le journaliste décide de participer à une autre retraite sur le thème de la compassion — son point le plus délicat. Sharon Salzberg, une autre professeur, y discute de la mudita, le concept bouddhiste de « joie sympathique » ou de « joie ouverte aux succès des autres ». Un concept quelque peu difficile à accepter pour l’auteur !
En fait, Dan Harris ne parvient pas très bien à associer son ambition avec sa pratique de la méditation. Il se rend compte qu’il devient trop passif et qu’il met en péril sa carrière, à laquelle il a pourtant travaillé une bonne partie de sa vie. Comment rester calme sans pour autant devenir mou et sans objectifs ?
Plusieurs personnes l’ont aidé à trouver une réponse à cette question. Joseph Epstein, d’abord, qui lui explique :
«Les gens vont profiter de toi s’ils te voient comme quelqu’un de vraiment zen. Dans le comportement organisationnel, il y a un certain type d’agression qui n’y attache aucune valeur — qui verra le zen comme une marque de faiblesse. Si ça ressort trop chez toi, les gens ne te prendront pas au sérieux. Donc je pense que c’est important de garder le zen pour toi, et de les laisser voir en toi une menace potentielle. »
(10 % plus heureux, Chapitre 11)
Bianca, sa femme, lui permet aussi de rééquilibrer les choses. Elle l’aide en lui faisant comprendre qu’il essaye de tout diriger, en particulier lorsqu’il se trouve sur un plateau de télévision. Or, maintenant qu’il travaille en équipe, il doit apprendre à se détendre et à suivre le courant !
Dan Harris cherche avant tout à atteindre une forme de « non-attachement aux résultats ». En fait, la vie ne va pas toujours dans le sens que nous nous attendons et nous devons l’accepter. C’est ça, selon lui, le chaînon manquant entre la pleine conscience et l’ambition.
Conclusion sur « 10 % plus heureux » de Dan Harris :
Ce qu’il faut retenir de « 10 % plus heureux » de Dan Harris :
Dan Harris termine avec 10 conseils qui récapitulent ce qu’il a appris au long de son parcours et qu’il nomme « la voie de l’inquiet » :
- Ne soyez pas un sale con ;
- (Et/mais…) Si nécessaire, planquez le Zen ;
- Méditez ;
- Le prix de la sécurité est un sentiment d’insécurité (ça vous servira un temps) ;
- Le sang-froid n’est pas l’ennemi de la créativité ;
- Ne forcez rien ;
- L’humilité empêche l’humiliation ;
- Allez-y mollo avec l’auto-flagellation ;
- Ne vous attachez pas aux résultats ;
- Pensez-y : qu’est-ce qui compte le plus ?
Ce livre est utile pour ceux et celles qui ne connaissent pas encore la méditation et voudraient s’y initier. Mais il ne s’agit pas d’un manuel ; plutôt d’une biographie qui intègre des conseils pour apprendre à intégrer la pratique de la méditation à sa vie de tous les jours.
Le dernier chapitre est particulièrement intéressant puisqu’il montre comment associer un certain degré d’ambition avec les principes de la méditation de pleine conscience. Au final, l’objectif est d’être plus heureux dans sa vie quotidienne.
Grâce à la pratique méditative, nous devenons capables de dégonfler notre égo et d’accepter notre existence dans toutes ses imperfections. Nous sommes plus simples et justes avec nous-mêmes et avec les autres. Nous vivons davantage au présent.
👀 Tiens, cela peut faire penser au stoïcisme ! Lisez notre chronique de Une année avec les Stoïciens…
Points forts :
- Une entrée originale dans le monde de la méditation ;
- Une expérience de première main sur son utilité ;
- Des conseils pratiques pour commencer soi-même à pratiquer ;
- Des annexes avec des instructions simples et une sorte de FAQ.
Points faibles :
- Ce livre nous installe dans le contexte US du show business. Il est difficile d’en maîtriser les références, mais en même temps, c’est plutôt intéressant à observer.
Ma note :
★★★★★
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