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7 moyens d’être plus heureux

Note : La chronique « 7 moyens d’être plus heureux » a été rédigée par Elisabeth Chervonaz-Humez

Beautiful smiling cute babyHeureux ! Ou plutôt, dans mon cas : Heureuse ! Oui ! Mille fois oui !

Mais je ne l’ai pas toujours été, ou plutôt, tout le monde l’est plus ou moins. Un jour ou l’autre. Et puis, sans savoir pourquoi, on ne l’est plus, ou on l’est moins. Ou bien même, parfois, on n’est plus du tout heureux, jamais, sauf parfois, comme par « accident ».

Il faudrait alors s’entendre sur ce que j’appellerai « être heureux » dans cette chronique. En effet, être heureux peut vouloir dire être chanceux, être une personne à qui la chance sourit. « Être heureux » peut aussi vouloir signifier être joyeux.
Ma définition serait plutôt une synthèse de ces différents sens : respirer le bonheur, être radieux, comblé.

Je ne souhaite pas ici vous infliger une méthode à appliquer, car elle serait vaine, certainement. Je me propose de vous faire partager les petites actions quotidiennes, qui modifient notre être et le rendent heureux, afin que vous puissiez vous aussi vous sentir bien, en pleine forme, en pleine possession de toutes vos capacités, prêts à réaliser ce que vous avez choisi de faire de votre vie.

Mais comment « être heureux » ? Cela ne se décrète pas. Comment faire pour briser la spirale de la monotonie, du ras-le-bol, de la tristesse, de l’atonie, du stress, de la colère, et même de la dépression ?

J’ai sélectionné pour vous 7 moyens d’être plus heureux, simples et concrets et que j’ai intégrés à ma vie depuis plus de 10 ans. Je ne vous promets pas de vivre dans la béatitude totale, mais juste de vous sentir mieux en les appliquant, et puis, au fil des jours, vous vous retournerez et vous prendrez la mesure du chemin que vous avez parcouru.

Platon disait « celui dont l’âme est heureuse ne ressent pas le poids des ans… », alors sautez directement dans ce bain de Jouvence totalement gratuit, faites le premier pas !

Comment être plus heureux avec 7 astuces

1. Souriez ! Respirez !

Selon plusieurs études depuis les années 1960, et en référence à diverses observations initiées par Paul Ekman, nous savons que les expressions de notre visage modifient nos émotions.

Anthony Robbins (et il n’est pas le seul) a intégré à sa méthode, cette connaissance des émotions en répétant durant ses séminaires la phrase : « Emotion is made by Motion » : C’est le mouvement qui crée l’émotion.

Dès la fin du XIXe siècle, le fondateur de la psychologie en Amérique, William James disait lui aussi : « C’est sourire qui rend heureux » !

Alors, c’est tout simple : SOURIEZ ! Souriez à la vie, souriez-vous dans la voiture, souriez aux autres, souriez dans la rue en marchant, souriez au travail, et même, souriez à votre ordinateur (… avec un peu de chance, il vous le rendra…).

Vous pouvez me répondre qu’il est facile de décréter de sourire, mais moins facile de le faire quand tant de problèmes, de tracas vous accablent. Et bien, oui et non. Certes, il est difficile parfois de sourire « sincèrement », mais, même dans les pires moments, essayez juste de réaliser le rictus « musculaire », oserai-je dire, du « sourire », commissures des lèvres vers le haut, et ceci, même si votre sourire est forcé. Si vous gardez le sourire quelques secondes, certains neurotransmetteurs seront diffusés, et vous permettront de vous sentir mieux.

Un simple sourire en marchant, un « bonjour ! » prononcé à la volée en croisant un inconnu dans la rue, vous sera toujours rendu ! Souriez au téléphone, cela s’entend… et c’est contagieux ! Même un bébé sourit par mimétisme devant un visage souriant, dès les premières heures de sa vie.

Si vous ne vous sentez pas la force de sourire, et partant du fait que le bonheur est contagieux : modifiez votre fond d’écran, affichez des photos souriantes autour de vous. Faites travailler votre imagination pour trouver une photographie d’un proche ou d’un acteur, d’un inconnu, qui affiche un sourire radieux : sa seule vision vous fera sourire ou au moins, déclenchera un stimulus neuronal qui, avec le temps, vous changera en douceur. Si vous vous en lassez : changez-la ! Comme cela, à chaque fois que vous apercevrez votre fond d’écran, un « sourire » apparaîtra dans votre cerveau, à défaut de s’extérioriser sur votre visage de suite.

Souriez ! Respirez ! … Respirez… facile à faire, puisque nous le faisons en moyenne 20 fois par minute… Donc, faites-le : faites-le consciemment. Mettez vos mains sur votre thorax, et respirez en ressentant les mouvements dans vos mains. Puis, réalisez une deuxième respiration en positionnant vos mains sous votre poitrine, et ressentez comment vos poumons se remplissent et se vident. Puis, en une troisième respiration consciente, descendez vos mains jusque sur votre ventre, et inspirez en gonflant votre ventre, puis expirez à fond une dernière fois en rentrant votre ventre. Ces 3 respirations complètes ne vous ont pris que deux minutes ! Vous pouvez le faire en voiture au feu rouge, au bureau, à la maison, le matin avant de vous lever, juste pour ressentir consciemment votre corps qui se réveille, et au coucher pour vous apaiser.

Vous avez déjà fait le premier pas en lisant ce conseil, alors, faites le deuxième en l’appliquant dès… TOUT DE SUITE ! Souriez ! Respirez !

2. Bien dormir, s’alimenter correctement en se respectant

Nous n’en sommes qu’au deuxième moyen, et déjà, certains se braquent sur le verbe « dormir ». Effectivement, c’est l’un des maux de notre société : l’insomnie. Je ne prétends certainement pas éradiquer l’insomnie par une chronique sur les moyens d’être heureux, mais vous donner des pistes.

Bien dormir signifie dormir d’un sommeil réparateur. Nul n’est tenu à un sommeil de plomb, mais à un repos qui aide notre corps à se régénérer et qui laisse à une partie de notre cerveau la possibilité de trier les informations qu’il a reçues dans la journée, d’en mémoriser certaines, et même, d’anticiper sur les différentes possibilités qui s’offrent à nous à travers les rêves. Une bonne relaxation réalisée dans le calme peut apporter au corps le repos nécessaire, mais le sommeil réel, et le passage par les différentes phases bien connues du sommeil (somnolence, sommeil léger, sommeil profond, sommeil paradoxal) est indispensable à une vie saine.

Afin d’améliorer notre sommeil, une première habitude à prendre est de se coucher à heure constante, dans la mesure du possible. Le corps génère des hormones qui le préparent au sommeil, et il est indispensable de savoir se respecter. Certes, certains métiers exigent et modifient notre rythme naturel et dérèglent notre horloge biologique. Il est donc encore plus indispensable, de se fabriquer des rythmes qui nous respectent, même dans ces conditions, y compris de se laisser aller à une sieste nécessaire.

Une étude datant de 1996 sur des centenaires a montré que le respect de l’horloge biologique agit directement sur la longévité, plus que la durée du temps de sommeil. Donc, réagissez comme vous le faites avec vos enfants en les couchant à heure fixe :  couchez-vous aussi à heure fixe, c’est le meilleur moyen de vous reposer en faisant correspondre les sécrétions d’hormones avec le repos naturel, et… de mieux manger.

Car, là encore, de nombreuses études ont montré que le manque de sommeil influe sur notre cerveau, et en particulier dans la région du cortex évaluant la satiété qui s’en trouve perturbée, ainsi que les zones des envies qui sont alors stimulées. Les personnes privées de sommeil ont tendance à rechercher les aliments les plus caloriques (d’après Matthew Walker, chercheur au département de psychologie à l’Université de Californie, Berkeley). Cette notion de respect est très importante à mes yeux. Respecter les autres est l’une de mes valeurs qui est partagée par la plupart d’entre nous, mais SE respecter est souvent oublié.

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Certains pourront aussi me rétorquer qu’il n’est pas facile d’avoir un sommeil de qualité quand tant d’idées, de problèmes les réveillent. C’est vrai. Il ne faut pas négliger le travail inconscient du cerveau. Posez-vous alors une simple question : « Est-ce que je peux me lever, me concentrer sur ce problème, l’écrire sur papier, et trouver quelques pistes de solutions DE SUITE ? »
• Si la réponse est oui, alors levez-vous tout de suite, et notez toutes les idées qui vous passent par la tête pour résoudre le problème. Certes, cette nuit en sera écourtée, mais vous pourrez facilement vous rendormir et au moins, vous aurez contribué à une véritable résolution du problème et la prochaine nuit sera meilleure.
• Si la réponse est non, prenez le carnet posé sur votre table de chevet, notez le ou les problème(s) que vous ressassez par écrit, relisez-les, puis éteignez la lumière. Le fait d’avoir « jeté tous vos problèmes sur le papier » (expression correcte dans tous les sens du terme) permet alors au cerveau de se libérer plus facilement de toute rumination et d’être disponible pour s’endormir correctement. Respirez comme je vous l’ai expliqué au premier chapitre, et souhaitez-vous une « Bonne nuit ! » avec le sourire !

À une période de ma vie, je travaillais énormément, élevais mes enfants, ma famille, ma société passaient avant tout : dans mes actes, dans mes pensées. J’étais épuisée, mais souriante ! Je « donnais le change », j’étais joviale et toujours prête à aider, à être présente, à être une force de proposition, ayant toujours de l’énergie pour réaliser tout ce qui était nécessaire. Un jour, j’ai reçu un conseil qui ne m’a pas quitté depuis : « Elisabeth, si tu veux continuer à aider, à être présente et avoir des idées innovantes, il faut que tu penses d’abord à TOI, si tu continues ainsi, un jour, tu ne pourras plus réaliser ce que tu fais aujourd’hui pour les autres ». Vous avez compris qu’à ce moment de ma vie, je dormais peu bien entendu, je ne comptais pas mes heures de travail, et je jonglais afin de passer le plus de temps possible avec mon nouveau-né. Ce fut un « choc » salutaire, je me suis rendu compte que si je me négligeais, si je négligeais ma santé et mon sommeil, et quand bien même je ne ressentais aucun trouble, je pouvais aisément comprendre en regardant ce qui se passait dans mon entourage, qu’un jour ou l’autre, je deviendrai agressive par manque de sommeil, ou victime d’un accident n’ayant pas eu le bon réflexe. Pour compléter le tableau, je mangeais uniquement lorsque ma famille ou mon travail me laissaient un moment de répit, ou plutôt que j’acceptais de m’autoriser à prendre un moment pour moi.

Depuis, je sais aussi m’arrêter de manger lorsque je sens que mon corps n’a plus faim. La vue d’un macaron suffit à me faire saliver et à être heureuse pour ceux qui en mangent devant moi, sans que j’aie envie pour autant d’en porter un à ma bouche « par gourmandise ». Si mon corps, mon cerveau ne me disent pas qu’ils ont besoin de ce sucre, je me respecte, et je sais dire « Je suis bien ! » à mes proches. C’est même la phrase favorite que je prononce à table au cours du repas !

Olivier aussi nous donne des pistes pour s’alimenter correctement, sans contrainte, en se respectant, en respectant ce corps qui nous fait vivre et penser. Car, comment bien travailler (pour ceux qui en sont accros) ou bien s’occuper de sa famille ou de ses enfants (sans que les deux soient antinomiques !), ou réaliser nos rêves, dans un corps qui a mal, qui se détériore parce qu’il n’est pas alimenté de manière adéquate ?

Avant même de faire un « régime »… écoutez-vous, respectez-vous, VOUS êtes la personne la plus importante au monde pour vous !… et buvez de l’eau, notre corps en est composé à plus de 65 %, ouvrez le robinet de la source de la vie !

Juste le bonheur de s’endormir avec le sourire, de se lever de même, de sourire et de manger en se respectant. Cela ne prend que quelques microsecondes de réflexion, juste une pensée…

3. Apprenez ! Transmettez !

Tout au long de notre vie, nous sommes capables d’apprendre de nouvelles techniques, de nouvelles langues, de nouvelles façons de se comporter, de nouvelles manières d’être, tout simplement.

Le temps de l’apprentissage ne se limite pas à nos années sur les bancs de l’école. La vie est faite de découvertes. Tout le monde est capable d’apprendre ce qu’il désire. Rien ni personne n’a le droit d’enfermer quelqu’un parce qu’il ne comprend pas telle notion tel jour. « La note ne juge que la copie, non l’élève » indique Stella Baruk, ne l’oubliez jamais !

Si vous ne comprenez pas une notion, si vous n’arrivez pas à résoudre un problème, apprenez, cherchez un autre enseignant, un autre ouvrage, un autre livre ! Ne baissez pas les bras. Ne vous dites-pas que vous êtes incapable de faire telle ou telle chose, parce que le message que vous envoyez à votre cerveau est textuellement celui-ci : « Je ne sais pas faire ceci. », donc, pourquoi voudriez-vous qu’il travaille à y arriver ensuite, puisque le postulat de départ est qu’il n’y arrivera pas ! Replacez les choses dans leur contexte : « Je n’ai pas compris ceci, aujourd’hui, avec les moyens que j’ai eus à ma disposition ». Alors, oui, avec cette dernière façon de vous parler, je vous rejoins… pour un temps seulement… juste le temps de vous poser la prochaine question : « Alors, que vais-je faire maintenant de concret, pour accéder à ce savoir ? À cette technique ? À ce rêve ? »

« Apprendre », mot merveilleux à mes oreilles ! Il rime avec « Découverte », « Écoute », « Lecture », « Mise en application », « Ressenti » suivant qu’on l’applique à une nouvelle activité physique, l’ouverture de la première page d’un nouveau livre, le lancement de l’écoute d’un podcast ou l’ébauche d’un dessin ! Apprendre, écouter, lire, découvrir sont pour moi des moyens de vivre, tout simplement ! De découvrir les autres, de se mettre à la place d’une personne, de penser différemment, de trouver les ressources en soi pour acquérir de nouvelles facultés.

L’échec n’est pas rebutant, il est fructueux. Il permet de s’améliorer, de creuser la technique ou l’apprentissage, et même, de découvrir de nouvelles façons d’apprendre, de nouvelles façons de modeler les facultés de notre cerveau.

Quelle joie ensuite, de transmettre, de partager le plaisir que l’on a eu à lire tel ouvrage ! De pouvoir partager avec d’autres, la sensation agréable que l’on a ressentie en bougeant son corps de telle façon, à l’écoute de telle musique ou de telle voix qui nous ont touchés ! Juste une suggestion que l’on offre. Et peut-être, pour aller plus loin, donner l’ouvrage à lire, proposer d’emmener quelqu’un avec nous découvrir tel sport, expliquer à un enfant telle notion, feuilleter un livre avec lui pour lui permettre de s’émerveiller ! Apprendre à apprendre. Aider une personne à apprendre, à mémoriser, à retrouver, pour partager, et transmettre à son tour.

Le Bonheur passe aussi par l’échange, par l’ouverture de l’esprit à de nouvelles choses, à de nouvelles façons de voir, de vivre.

Il y a mille moyens d’apprendre, mille associations, mille voisins, blogs, livres, personnes qui ne demandent qu’à vous transmettre un savoir afin que vous puissiez aussi, à votre tour, le transmettre… c’est contagieux… et c’est bon pour l’esprit !

Alors, vous qui lisez (puisque ce blog est le vôtre), n’oubliez pas de transmettre votre passion, quelle qu’elle soit… et de vous ouvrir à toutes les autres passions que vous n’avez pas encore, c’est aussi l’un des moyens d’être plus heureux.

4. Le monde, les arts : savoir contempler, s’émerveiller !

Mon quatrième moyen pour être plus heureux est de savoir s’émerveiller, comme si tout n’était que découverte. La vie, les trajets, la répétition des gestes quotidiens peuvent nous faire penser à un éternel recommencement, et, insidieusement, nous plonger dans un état où nous ne faisons plus attention à ce qui nous entoure, ou même parfois devrais-je écrire : à ceux qui nous entourent…

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Combien de fois entend-on autour de nous des personnes qui se plaignent de ne pas voir le temps passer ? La vie passe, et souvent nous ne sommes pas conscients de sa beauté, de la beauté que l’on peut voir en toutes choses.

Il est peut-être difficile parfois, alors que les éléments semblent être contre nous (décès, contrariétés, licenciements, étapes délicates, conflits), de penser que l’émerveillement puisse être possible. Et pourtant, c’est LA solution !

Justement, dans ces moments, il ne faut pas rester prostré et vide. L’un des moyens doux pour le coeur est juste d’ouvrir les yeux, de regarder la beauté des veines du bois d’un meuble, de se rendre compte du travail effectué pour réaliser ce tissu, l’incroyable ingéniosité d’une équipe qui a créé une technique de fabrication d’un objet, même pour le plus simple des bouchons, il a fallu un arbre : le liège, du temps, une récolte, une façon de le presser, de le fabriquer, et je ne parle pas de l’incroyable merveille qu’est la façon dont notre propre corps sait évoluer !

Mon secret pour rester éveillée, trouver des idées de produits, de façons de présenter des nouvelles notions en formation, ou même, de nouveaux scénarios de logiciels est de savoir regarder autour de moi comme si c’était la première fois !

Quelle est la différence entre la contemplation d’un paysage en vacances et celui que nous voyons défiler chaque jour devant nous ? Aucune pour celui qui habite là où on part en vacances ! Quelle est la différence entre la ville où l’on se rend pour la découvrir le temps d’un week-end et la nôtre ? Aucune… ou plutôt si : la différence vient de nous !

Nous levons la tête et les yeux lorsque nous découvrons un paysage ou une ville, alors que nous les baissons quand nous sortons de chez nous. Pourquoi ouvrons-nous nos parapluies et pourquoi trouvons-nous qu’ «il ne fait pas beau» ? Alors qu’il fait juste «le temps qu’il fait», et que la pluie est synonyme de vie ! Nous ne pouvons pas changer le temps qu’il fait, alors, autant le trouver beau, quel qu’il soit !

S’émerveiller de la forme d’une goutte de pluie qui roule sur votre main, la façon dont elle rebondit sur les flaques, sur le sol, les ruisseaux qu’elle crée. Savoir s’émerveiller du reflet d’un rayon de soleil sur n’importe quelle surface, la beauté d’un oiseau… ou de la douceur de la peau, des sons qui nous entourent ou même du parfum que l’on respire.

Savoir prendre la vie non pas comme elle vient, mais comme on veut qu’elle soit. Voir les choses comme si on les découvrait. Tout comme lorsque que vous découvrez une nouvelle notion, un nouveau geste, que vous croisez un regard ou entendez une voix pour la première fois.

Prendre le temps de tracer une courbe, choisir un crayon, de regarder un tableau, d’analyser une couleur, sa nuance, sa texture, comme un cadeau.

Cela ne vous fait «perdre» aucune seconde de votre précieuse vie, juste le fait d’ouvrir les yeux, de regarder ; cela vous fait «gagner» de l’émerveillement, cela transforme positivement vos pensées. Essayez maintenant ! Vous verrez qu’à chaque fois que vous le ferez, une étincelle de joie jaillira dans votre esprit. Ne faites pas le premier pas, faites le premier clin d’oeil !

Changez votre façon de regarder les choses et tout changera autour de vous.

5. Aimez, communiquez !

Une vie plus heureuse, est une vie où l’amour tient une grande place. La communication est primordiale dans une relation d’amitié ou d’amour aussi bien que dans l’univers du milieu professionnel.

L’Intelligence Emotionnelle nous l’explique de manière si limpide, qu’il est difficile de résister à la tentation de l’appliquer de suite, sans attendre une seconde. Quel Bonheur quand la communication est fluide, que l’on peut se parler sans augmenter le volume sonore de la pièce et sans accélérer notre pouls !

Alexandre Jardin a écrit en son temps «1+ 1 = une révolution», et c’est vrai, et au minimum, 1 + 1 est supérieur à 2.
Une REELLE communication entre deux personnes est une énorme puissance pour chacun d’eux (qu’ils travaillent, vivent ensemble ou simplement, se connaissent). Quand les choses vont bien, la communication est parfois difficile, on se sent parfois incompris ; à plus forte raison quand elles vont mal.

Il faut donc ne pas hésiter à appliquer la méthode XYZ que Daniel Goleman préconise pour la formulation positive : « Quand tu as fait X, j’ai ressenti Y, et j’aurais préféré que tu fasses Z ». Je l’applique pour ma part depuis de nombreuses années, depuis que j’ai lu le livre de Jacques Salomé «T’es toi quand tu parles» illustrée avec beaucoup d’humour. Il y parlait entre autres choses de la «relation klaxon», la communication «Tuuuuuut Tuuuuut» en un mot, toutes les phrases de reproches commençant par «TUUUU n’as pas fait ceci», «TUUUU fais cela», «TUUUUU n’as pas pensé à ceci», «TUUU est cela». Peut-être que la personne qui prononce ce type de phrases se fait plaisir en déversant sur l’autre ce qu’elle n’aime pas, mais que peut bien comprendre et ressentir la personne qui reçoit ces paroles ?

Une véritable communication est fondée, comme une maison, sur de bonnes bases, des préalables, des principes indiscutables. Le fait que, par exemple, même s’il se peut que je puisse mal m’exprimer à un moment donné, quoiqu’il arrive, mon intention ne sera jamais de te nuire, mais de faire avancer telle chose, telle relation, tel projet. Il peut arriver à chacun de nous d’être fatigué, et de ne plus «maîtriser» toutes les paroles que l’on prononce, mais le fond, l’intention des paroles doivent être constructifs, positifs, et surtout être dépourvus de volonté de nuire ou de détruire.

L’image de la communication que j’ai est celle d’un jardin :
C’est à nous d’arroser avec justesse, de savoir désherber, de savoir se mettre à genoux et d’avoir un peu mal pour planter une nouvelle essence, une nouvelle plante, une nouvelle graine. Puis, il faut de l’attention (entre nous, les hommes, cela s’appelle empathie), savoir anticiper sur un changement brutal de température (savoir prévenir les embuches en sachant dialoguer sans masque, sans mensonge).
Nul n’est parfait, et vous pouvez très bien avoir un jour un ennui véritable, un problème technique, un ordinateur qui «crashe», un retard, une maladie bénigne ou non. La personne qui est devant vous ne pourra vous aider, ou comprendre que si vous êtes transparent et fiable.

Certes, nous avons tous rencontré dans notre vie des personnes malsaines pour nous, qui nous ont blessés, ou qui, réellement, ont souhaité consciemment nous faire du mal. Notre force a été alors de savoir tourner la page, d’aller de l’avant, de se défaire de cette relation pour poursuivre avec d’autres. Ou bien même, et c’est souvent le cas, de parler franchement à la personne, de lui dire ce que nous ressentons des propos, des remarques et savoir avouer que cela nous blesse.
Lorsque vous faites cela (et je sais que cela peut être difficile au début), la plupart du temps (sauf si votre interlocuteur est un réel pervers), la personne sera surprise et s’excusera, car souvent, par manque de connaissance des bases de l’Intelligence Emotionnelle, elle ne se sera même pas aperçu qu’elle vous blessait, et cela n’était pas dans ses intentions…. C’était juste SA façon à elle de communiquer… !

Alors, aimez, entretenez, envoyez des petits textos ou emails, juste pour dire à quelqu’un que vous pensez à lui. Pas besoin de milliers de secondes, de rédaction, juste un mot, un message pour dire que l’on est en train de penser à cette personne, et juste pour dire «merci».

La façon de communiquer pour être plus heureux est de dire les choses simplement, du fond de ce que l’on ressent, sans juger l’autre et avec un bon état d’esprit, en se respectant et en respectant les autres.

6. La confiance en soi

Plus que la «confiance en soi», qui est peut-être restrictive, c’est tout simplement «avoir confiance». Confiance dans tout ce qui peut nous arriver, confiance dans la vie, confiance qu’après la pluie, il y a toujours le beau temps, confiance dans les personnes en général, et bien entendu, dans notre propre capacité à faire face, à bien réagir à tout ce qui arrive au cours d’une vie.

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La confiance en soi est au coeur de toute réussite et de tout bonheur. Nous sommes la première personne qui devrait avoir confiance en nous. Nous nous connaissons mieux que quiconque. Souvent, j’ai remarqué que les personnes qui manquent de confiance en elles ne regardent pas leur vie en face : souvent, elles se dénigrent et se critiquent injustement. Souvent, autour d’elles, les autres, les amis ne comprennent pas ce manque de confiance tant la personne a de qualités. Mais ce sentiment d’insatisfaction qu’elle ressent ternit ce qu’elle pense d’elle-même. Bien entendu, c’est un raccourci que j’emprunte ici, il faudrait une ou plusieurs chroniques uniquement sur cet aspect de «la confiance en soi» pour mettre à mal les barrières que l’on se met parfois en travers notre route.

Sénèque avait compris que «la vie heureuse est celle qui est en accord avec sa propre nature». Regardez-vous comme vous regarderiez votre meilleur ami. Imaginez votre meilleur ami (vous) vous dire qu’il n’a pas confiance en lui, et démontrez-lui qu’il a tort ! Puisez la force dans tout ce que vous réalisez tous les jours, en détail, pour lui ouvrir les yeux. «Votre propre nature» n’est pas de vous dénigrer, de vous plonger la tête sous l’eau ! Les circonstances de la vie, ou des personnes malveillantes s’en chargeront pour vous, ne vous inquiétez pas. Il vous appartient donc d’avoir confiance en vous, afin que vous puissiez enfin atteindre les objectifs de vie que vous vous êtes fixés en étant heureux et libéré de tout frein.

Une phrase de Billy Wilder que j’adore et que j’ai fait mienne est «Faites confiance à votre instinct. Il vaut mieux que ses erreurs soient les vôtres, plutôt que celles de quelqu’un d’autre.»
En effet, les personnes qui n’ont pas confiance en elles, s’en remettent souvent à l’avis des autres, puisque le leur est sans importance à leurs yeux.

De ce fait, elles ne prennent pas de décision propre, ce sont les autres qui prennent ou influencent leurs décisions, leurs actes, ou pire, elles attendent indéfiniment qu’un déclenchement se produise. Il n’est donc pas étonnant qu’il ne se passe pas forcément ce que la personne aurait voulu qu’il se produise…et la spirale de la perte de confiance débute : les reproches «pourquoi ai-je suivi ce conseil ? Pourquoi n’ai-je pas eu le courage de faire ceci ? Je savais bien que cela n’allait pas marcher…» et ainsi de suite, de sorte que la personne renforce sa croyance dans le fait qu’elle a raison de ne pas avoir confiance en elle puisqu’elle a écouté le mauvais conseil, fait telle chose qu’au fond d’elle, elle savait être maladroite, etc.

La confiance en soi est la capacité à s’écouter. Qui mieux que vous-même peut vous comprendre ? Qui mieux que vous-même peut prendre des décisions, faire des actes concrets en adéquation avec vos valeurs ?
Certes, il faut prendre parfois des avis, écouter les conseils et apprendre, se documenter et lire. Mais une fois que tout ceci est accompli, il ne tient qu’à vous et vous seul de prendre la bonne décision. Faites confiance à votre instinct, écoutez-vous. Imaginez comment seront les choses si vous faites ceci ou cela, anticipez et vous verrez que, jour après jour, vous prenez très souvent les bonnes décisions… et que ce sont les vôtres !

Vous avez eu raison de vous faire confiance, alors, continuez !

7. Enthousiasme !

« L’enthousiasme seul est la vraie vie ! » a dit Champollion, le « décrypteur » des hiéroglyphes. J’ai noté cette simple phrase dans mon agenda, avec un rappel tous les jours ! C’est l’une de mes phrases favorites et à sa seule pensée, une sorte de moteur se met en route.

L’enthousiasme est le mot clé de toutes les entreprises dynamiques, toutes les tâches ménagères ! Entre faire une tache rebutante a priori à reculons, en faisant la grimace, et la faire avec enthousiasme, avec entrain et en la réalisant de notre mieux, afin qu’elle soit accomplie de la meilleure manière qu’il soit, voilà ce qui fait toute la différence !

Je n’aimais pas les tâches ménagères, les considérant comme une perte de temps et ne souhaitant que retourner rapidement à ma famille ou mon travail. Et puis, j’ai appliqué « l’enthousiasme » à toutes les taches qui m’ennuyaient ou que je remettais à plus tard… Le bonheur de savoir que dans quelques minutes, telle chose sera effectuée de la manière la plus adéquate, la plus remarquable possible est quelque chose d’enthousiasmant !

Un travail que vous trouvez ingrat, qu’il vous a été demandé de terminer est difficile à réaliser. Si vous le réalisez tel quel, il y a de grandes chances que votre « patron » (qu’il soit votre client, collaborateur ou supérieur hiérarchique… ou même votre conjoint ou votre enfant) ne soit pas content du résultat. Non seulement, vous avez travaillé de mauvaise grâce, en vous « forçant » à réaliser cette tâche que vous rechigniez de réaliser, mais en plus, il se peut qu’on vous en reproche le résultat ou la manière dont vous y êtes arrivé ! Quelle déception ! Quelle aigreur ! Comme si personne ne s’était aperçu que vous aviez fait ceci presque « forcé », même pas de « merci » !

Oui, c’est vrai. Mais, comme dans toute chose, l’intention est incluse dans le résultat. Lorsque l’on fait une chose sans enthousiasme, qu’on le veuille ou non, elle est terne.
La bonne manière de faire ? Réaliser toute chose avec un plaisir que vous y mettez, quel qu’il soit : le plaisir de réaliser telle chose correctement et d’en récolter les fruits, le plaisir de voir une maison propre, le plaisir d’avoir fait plaisir, le plaisir d’avoir contribué à ce qu’un projet arrive à son terme dans de très bonnes conditions.

Certains petits livres peuvent vous permettre de voir les choses autrement. Par exemple, celui de Monique Pierson ou de Dominique Loreau m’ont appris plein de petites choses, donnant un sens à toute tâche à réaliser, pour le faire au mieux, avec excellence et enthousiasme !

Enthousiasmez-vous la vie, c’est gratuit, et, comme le sourire… c’est contagieux, et sans danger pour la santé !

Pour finir… ou plutôt pour continuer a être plus heureux…

Les plus perspicaces auront remarqué que j’aime… les points d’exclamation (j’en note un de plus) ! Ils traduisent le bonheur que j’ai à partager et à aider autant que possible les autres à prendre la vie du «bon» côté, sans se voiler la face.

Certains, à la lecture de cette chronique pourront penser que ces petites touches de couleur, ces conseils simples, sont le reflet d’un idéal tout droit sorti d’un monde de rêves et mièvre, loin, bien loin de la réalité… et pourtant…

Mon propos ici, est uniquement de donner quelques pistes simples, de vous faire partager des lectures qui peuvent vous aider à vivre plus heureux, plus simplement et en respectant vos valeurs.

Kant nous rappelle que la responsabilité de chacun est d’avoir du courage et de la persévérance afin de l’user, et d’être maître de la direction que l’on donne à sa propre vie. Sapere aude «Aie le courage de te servir de ton propre entendement» est son et mon conseil pour la suite…

Lisez, apprenez, faites-vous votre propre opinion, sans jugement préconçu sur les autres, et surtout, sur vous-mêmes. Pensez, réfléchissez, et agissez ! Souriez, c’est un bon début, le reste suivra !

Alors, modestement, si j’ai réussi à vous permettre d’être plus heureux, à sourire à mes clins d’oeil, alors j’aurai réussi !

Et vous ? Quels sont vos moyens d’être plus heureux ? Laissez vos commentaires afin de transmettre vos techniques !

«Essayons d’être heureux, ne serait-ce que pour donner l’exemple» (Jacques Prévert).

Crédit photo : Maksim Bukovski

34 commentaires
  1. Une excellente « leçon de vie » à appliquer tout de suite !!!!
    j’adore la citation de J.Prévert ! mais qui est cette excellente chroniqueuse Elisabeth Chervonaz Humez ? cela donne l’envie de la connaitre !

  2. Le bonheur que vous avez à partager et à aider autant que possible les autres à prendre la vie du «bon» côté, sans se voiler la face, est la chose que j’ai trouvée en vous, qui m’attache à vous et que beaucoup à travers le monde n’ont pas. Merci.

  3. rien que de te lire cela m’a fais sourire! la vie a de bons et de mauvais moments essayer de garder le sourire c’est ma politique et c’est vrai que d’être bien entourée et de connaitre des personnes formidable comme toi Elisabeth font que la vie est belle! il faudrait s’imposer des moments… tu es la bonne personne pour nous faire sourire ma Eliszabeth ♥

  4. Une superbe chronique, cela te ressembles tellement Elizabeth, tu as tellement à donner et nous à recevoir.
    MERCI MERCI MERCI ET MERCI

  5. Bonjour,

    MERCI pour ces commentaires qui me vont droit au coeur et à la VIE !
    Merci de votre fidélité, merci de me suivre dans tous les genres : chroniques de livres, mais aussi chroniques plus personnelles.
    Vos messages sont un cadeau, vraiment et me font réfléchir.
    Merci aussi de me partager !
    Merci encore de votre envie de me suivre sur la prochaine chronique !
    A vous, à ceux qui comptent pour vous tous, je souhaite un bel automne !
    Elisabeth Chervonaz-Humez

  6. L’hygiène de vie est indispensable pour une vie équilibré en effet. 🙂 Si tout le monde pouvait suivre ces conseils ce serait déjà un grand pas.

  7. Enfin une deux-pattes qui exprime comment devrait vivre chaque membre de son espèce !
    Donner, c’est donner pour soi-même, donc recevoir.
    Respirer, regarder, écouter, toucher, goûter le monde qui nous entoure est notre base commune, celle offerte par la vie. Chaque instant est merveille. « Je suis vivant, c’est beau, je dois aux dieux un beau cadeau » écrivait déjà Sophocle dans « Antigone ».

  8. Bonjour,
    Il y a toujours une bonne raison pour être heureux ou du moins, encore plus heureux ! Simplement, dans la vie, nous nous focalisons davantage sur ce qui ne va pas… Vos conseils, Elisabeth, non seulement sont judicieux mais plein de bons sens ! Merci pour ce bel article et prenez soin de vous !

  9. Bonjour Elisabeth et Olivier,

    Merci pour cette chronique qui nous donne 7 moyens simples d’être plus heureux.
    C’est clair, simple et pratique.

    J’aimerais à mon tour partager une technique pour obtenir plus de confiance en soi…
    J’ai interviewé récemment Mickaël Aguilar (auteur, conférencier et spécialiste des techniques de vente et de motivation)qui m’a exposé une technique simple pour se rebooster après un échec, une déception ou tout simplement une mauvaise passe (comme nous en connaissons tous).

    Il suffit de noter sur une page blanche tous les souvenirs positifs que vous pouvez avoir, toutes vos réussites, tout ce dont vous êtes fier !

    Gardez cette note prés de vous et imprimez-vous-la également dans un endroit où vous passez devant tous les jours (bureau, cuisine, salle de bain)afin de vous remonter le moral et de rebooster votre confiance en vous.

    Cette technique simple peut littéralement vous rendre beaucoup plus enthousiaste et heureux au quotidien !

  10. Merci pour ce rappel
    Le bonheur à 100 % existe
    C’est un état à créer même 5 minutes par jour , et après cela devient une routine

  11. Vraiment merci pour cet article, c’est mille fois mieux que de regarder ou d’écouter toutes les info négatives des médias.Et je confirme que ces 7 moyens sont idéals pour être plus heureux. Le bonheur ne s’achète pas, c’est simplement de vivre chaque instant et d’apprécier tout ce qui nous entoure.De dire simplement merci chaque matin pour cette merveilleuse journée qui se présente et de vivre dans le moment présent.
    Gilbert

  12. Bravo,ça me correspond tout à fait et j’ajouterai positiver, lâcher-prise,et trouver les personnes et les outils pour avancer, aux indispensables pour vivre mieux,bien,zen….mais pour maîtriser tout cela il faut oser se remettre en cause, faire des efforts,et se programmer pour trouver les solutions.

  13. Super chronique une très belle leçon de vie que je me forcerait à appliquer tous les jours, continuez comme ça!!!

  14. Salut Olivier, encore une fois, tu nous proposes un article de qualité qui nous donne envie d’aller au delà de nos contraintes, au delà de nos peurs. Merci de nous permettre de connaître ses articles, qui non seulement nous ouvre l’esprit mais me donne une force inouie pour soulever des montagnes dans ma vie ! Grâce à ton blog, j’ai donné ma démission, j’ai trouvé une nouvelle voie qui me donne des ailes. Je reste et te resterai fidèle car depuis un an, tu es le coach que j’ai toujours espéré rencontrer !
    A bientot!

  15. Bonjour,
    je viens de lire cette chronique et c est vrai qu elle redonne du tonus.
    Peut être que j y ajouterais « l indulgence » Je travaille beaucoup sur moi pour essayer de m améliorer et un jour où je disais à une amie que j avais l impression de piétiner, elle m a répondu « Tu manques d indulgence vis à vis de toi même et vis à vis des autres », j étais un peu blessée mais sachant qu elle me parlait dans un sens positif j y ai réfléchi et …. désormais je pratique (non pas la faiblesse) mais l indulgence et je me rends compte que les choses et les gens changent autour de moi et que tout parait plus facile et plus léger. Si ce commentaire peut aider ne serais ce qu une personne, j en serais heureuse.

  16. Bonjour,

    Je vous remercie infiniment de votre chronique car je suis dans un moment très difficile où je fais un travail sur moi et j’ai aimé la façon dont vous écrivez, cela m’a parfais fait sourire et je vous remercie encore.

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