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Le 26 décembre 2012, donc il y a environ 7 mois, je partageais avec vous cette vidéo dans laquelle je signai mon contrat avec mon éditeur.
J’en profitai pour vous annoncer la date officielle de remise du manuscrit, celle inscrite dans le contrat : le 20 mai 2013. Et la date programmée de la publication : octobre 2013.
Nous sommes, au moment où j’écris ces lignes, le 30 juillet 2013.
Où en est-mon livre ?
L’ai-je terminé ?
Hé bien la réponse est… non ! 🙂
Ecrire ce livre représente un énorme travail, non seulement d’écriture, mais aussi de recherche, de rencontres, de dialogues et de réflexion, que j’ai clairement sous-estimé.
J’ai également rencontré un problème connu, mais que je n’aurai jamais cru pouvoir m’arriver.
Aujourd’hui j’ai dépassé la barrière symbolique des 100 pages écrites (il s’agit de pages A4, donc ça représente plus de 200 pages d’un livre au format “classique”).
Evidemment, la quantité c’est bien, la qualité c’est mieux, mais je me suis dit que cette étape était l’occasion parfaite de vous tenir au courant de l’avancée de ce projet, étant donné l’intérêt initial que vous avez exprimé, chers lecteurs (131 commentaires en-dessous de la vidéo initiale, quand même !).
Quelques chiffres :
- 103 pages, 43 738 mots
- D’après Word, 21 925 minutes passées à éditer ce document, soit un peu plus de 365 heures (l’équivalent de 10 semaines et demi de travail de 35 heures)
- Une date de création au 31 décembre 2012, soit environ 1H40 par jour à travailler dessus en moyenne (sans compter évidemment les recherches à côté, qui à mon avis doublent au moins ce chiffre).
Ecrire un livre de cette envergure, c’est un travail passionnant, mais aussi épuisant, long et un peu pénible…
Une chose qui ne m’était jamais arrivé et que je n’aurai jamais cru possible pour moi s’est pourtant produite… Un écueil qui guette tous les écrivains, qui en terrorise certains même, parait-il…
Un syndrome qui les paralyse et nuit fortement à leur productivité, et leur créativité.
Je veux bien sûr parler du “syndrome de la page blanche”.
Je n’ai jamais été affecté par ce problème sur mes blogs (ou même pour mes produits), ayant toujours eu plus d’idées d’articles que de temps à y consacrer pour les écrire.
Mais pour ce livre, c’est différent.
Il y a quelque chose, quand j’ouvre ce document Word où j’ai passé tant de temps, où il y a déjà tant de mots, qui est grandiose, et terrifiant. Dantesque, en somme.
Le sentiment d’être en train d’escalader une montagne, et de n’être même pas à la moitié du parcours.
Qu’une somme immense de travail m’attend encore. Et encore plus après, quand il me faudra relire l’ensemble, corriger tout ce qu’il y a à corriger, m’assurer de la cohérence, de l’harmonie et si possible de la légèreté de l’ensemble… Personne ne veut écrire un livre indigeste et pesant, n’est-ce pas ?
Et ce sentiment est un sentiment paralysant.
Il n’a rien de rationnel, mais il me pousse à me laisser distraire par mille pensées juste au moment d’ouvrir ce document, à me lancer dans d’autres tâches.
Bref, à procrastiner.
Et il freine ma productivité et ma créativité quand le document est ouvert et que je travaille dessus, ralentissant parfois considérablement mon travail d’écriture. D’ailleurs, il suffit de diviser les 43 738 mots par les 21 925 minutes pour se rendre compte que je reste beaucoup à “réfléchir” devant mon écran, puisque j’écris en moyenne à la très faible fréquence de 1,97 mots à la minute.
Ce qui est beaucoup plus faible que la fréquence à laquelle j’écris cet article, par exemple.
Pourtant, un livre peut être considéré comme une collection d’articles écrits avec un fil rouge et le souci d’une cohérence commune… et donc je ne devrais pas ressentir ce sentiment d’écrasement.
Mais mon cerveau, cet imbécile, ne semble pas comprendre cela, malgré toutes les fois où j’ai tenté de le raisonner. Il créé cette émotion d’écrasement, de submersion imminente, cette vision effrayante de tout le travail qui reste à faire et me crie : “Arrête ! Tu as mieux à faire de ta vie ! Manger une cacahuète par exemple, ou consulter ton statut Facebook !”
C’est comme si, à chaque fois que j’écrivais un article pour mon blog, mon cerveau me faisait voir tous les articles déjà écrits et publiés, et tous les articles à venir, pour me faire peur.
Vraiment stupide, non ?
Comment faire comprendre à mon cerveau qu’un livre de non-fiction peut être vu comme une suite d’articles et qu’il n’y a pas lieu de s’affoler ?
Hé bien, j’ai peut-être la solution… mais il faut que je la teste.
En discutant récemment avec un ami entrepreneur qui lui aussi est en train d’écrire un livre, il a mentionné un logiciel dont j’ignorai totalement l’existence : Scrivener.
Il l’utilise depuis le début de l’écriture de son livre, et selon lui c’est la meilleure chose qui a été inventée depuis le pain en tranches.
Ce logiciel permet d’écrire son livre petit bout par petit bout, et ensuite d’assembler facilement tous les morceaux, puis de les retravailler pour leur donner une cohérence d’ensemble.
Il permet aussi d’avoir toutes nos notes de recherche à portée de clic, dans la même interface.
Je l’ai téléchargé pour l’essayer, mais étant donné tout ce que j’ai déjà accompli dans ce satané fichier Word, j’ai abandonné car j’ai été découragé par le travail nécessaire pour importer l’existant.
Je l’essaierai pour mon prochain livre.
Par contre tout cela m’a donné une idée.
A présent, je vais essayer d’écrire mes parties de chapitres sous forme d’articles indépendants (en ayant tout de même toujours le fil rouge de mon livre à l’esprit bien sûr), soit dans le logiciel que j’utilise pour écrire des articles de blog (Windows Live Writer), soit en utilisant Evernote, qui me sert actuellement pour noter tout ce qui a trait à mes recherches.
Est-ce que cela va améliorer mes performances et ma créativité ? Est-ce qu’au contraire ce problème est pour inhérent au fait d’écrire un livre, pour lequel j’ai de plus beaucoup d’ambition ? Après tout, j’ai quand même dépassé les 100 pages, ce qui n’est pas si mal non ?
Nous le verrons dans le prochain épisode ! (et un jour, je vous révèlerai de quoi parlera le livre ! 🙂 )
Et vous, avez-vous déjà souffert du “syndrome de la page blanche” et de la “procrastination de l’auteur” ?
Si oui comment l’avez-vous résolu ? Dites-le nous dans les commentaires !
Quelques conseils d’une journaliste qui a déjà écrit plusieurs livres :
– avoir un plan très structuré
– ne pas écrire dans l’ordre, c’est-à-dire vouloir faire l’introduction, le développement et la conclusion dans cet ordre. Moi, je commence par jeter mes idées sur le papier comme elles se présentent dans ma tête. Puis, je les organise pour qu’il y ait un enchaînement logique, je rédige la conclusion et enfin l’introduction.
En espérant que ces petits conseils t’aideront à terminer ton livre.
Bon courage
Hello Olivier,
L’angoisse devant le vide de cette page blanche peut avoir de nombreuses origines, mais dans ton cas, ayant déjà écrit 100 pages, ce n’est évidemment pas un manque d’expérience (personne n’y songerait) ni l’absence de matière… Bien au contraire. Ma main à couper qu’une idée en amenant une autre, ton sujet se décline en arborescence sans aucune limite et que la perspective de tout ce qu’il reste à aborder te donne le vertige.
C’est pour cela qu’il est souvent utile de s’imposer des contraintes artificielles pour juguler une créativité trop débordante, comme je le décris dans un article sur mon blog « Comment vous libérer l’esprit par les contraintes ? »
Je pense qu’en balisant les bords de ta route, tu retrouveras facilement le chemin.
Bonne route
Je suis en plein dedans. Un an que je dois terminer un roman bien avancé et que je tourne autour du pot. C’est agaçant quand même !
Et la question que je me pose et que je ne devrait pas me poser : comment le terminer ?
Je me mettrais des coups de pieds aux fesses si je pouvais !
Je retiens quand même une chose, le moteur qui me poussait à fait son temps pour moi. Un dégoût total du milieu « littéraire » de ma région et ceci après avoir été éditée 2 fois !
Je pourrais passer outre, mais c’est un véritable frein psychologique qui explique que je fasse tout autre chose que d’écrire. J’en suis donc entièrement responsable…
Salut Olivier,
J’ai eu le même parcours que toi : la montagne Word et la solution Scrivener.
Sous Word, impossible d’organiser ces idées et surtout l’impression de ne pas avancer.
Avec Scrivener, on place ses idées, on organise un plan structuré et on peut écrire, comme tu le dis, un bloc de pages comme on écrit un article de blog.
En fixant un nombre de mots cible par exemple, on peut voir l’avancement du projet.
Pour la procastination, je te recommande la fonction Plein écran qui évite la distraction.
Bon courage,
A bientôt,
Lee
Je n’écris pas de livre pour ma part mais quoi qu’il en soit, j’en lis très régulièrement et essentiellement sur les thématiques que tu proposes donc j’espère pouvoir profiter du tiens très bientôt.
Courage et à très Vite
Damien
C’est un magnifique projet qu’un livre et quelle satisfaction lorsque celui ci est finalement prêt : tant de travail pour enfin l’aboutissement je pense qu’il faut focaliser sur cela pour se motiver.Plus facile à dire qu’a faire bien sur, perso je me donne un nombre de page coupe internet bien sur et m’y tiens
Bien sur comme c’est évoqué la quantité n’est pas un critère de réussite mais il est vrais qu’on veut toujours partager plus et pour peu qu’on lise d’autres livres sur le sujet parallèlement on a constamment des idées et concepts en plus à ajouter !
Il faut donc se faire violence pour respecter le plan et le contenu prévu initialement si on veut être dans les temps
Bonjour Olivier,
Pour ma part, lorsque j’ai écris mon 1er livre, ce qui m’est arrivé n’est pas vraiment un syndrome de la page blanche, mais une alternance entre des « jours avec » et des « jours sans » :
– Jours « sans » : je n’avançais pas, ramais pour écrire un paragraphe etc…
– Jours « avec » : j’étais capable d’écrire 6 heures d’affilée, sans avoir vu le temps passer ( un peu comme si celui-ci s’était arrêté), en y ayant pris un certain plaisir. J’étais, je pense, proche de l' »état de flux » tel que le décrit Mihaly Csikszentmihalyi dans son livre « Vivre ».
Mon astuce a donc été de fermer l’ordi les jours « sans » et d’écrire surtout les jours « avec ». Notre énergie et notre capacité à être en tension intellectuelle est cyclique, il faut l’admettre, et s’y adapter. Bien sûr, heureusement je n’avais pas tant de jours « sans » d’affilée que ça, sinon je n’aurais jamais fini…
Ce qui m’étonne c’est le coté « un peu pénible » que tu mentionnes. Je ne l’ai jamais ressenti pendant la phase d’écriture. Le coté pénible je ne l’ai ressenti que lors du travail de relecture (correction orthographique et grammaticale : Antidote ne fait pas tout, et même si l’éditeur est sensé faire partie, c’est in fine souvent baclé par celui-ci et il est donc déconseillé de s’en remettre totalement à lui pour qui veut avoir livre « propre » avec peu de fautes et coquilles. Un jeune auteur qui avait déjà publié, et avec qui j’avais pu échanger, m’avait expliqué celà et je l’en remercie énormément aujourd’hui…). Et relire son propre ouvrage tout en faisant des corrections c’est sympa à la 1ère relecture, mais très vite lassant quand tu recommence une 2ème, 3ème, 4ème voire 5ème fois :
Rassure-toi. Quand tu auras fini le 1er, tu n’attendras pas longtemps avant d’avoir envie d’en écrire un 2ème, à la fois pour le plaisir et pour essayer de « faire (encore) mieux », d’avoir un ouvrage dont tu es pleinement « fier ». Pour ma part, le 2ème a été publié un an après le 1er 😉
Bon courage pour la fin de rédaction !
Tu as deja bien avance c’est bon signe !
Ne te mets pas trop la pression a vouloir viser la perfection ca t’aidera peut-etre !
Aurelien
Salut Olivier,
Je suis tombé récemment sur cette interview croisée de Tim Ferriss et Neil Strauss (peut-être l’as tu déjà vue) où ils nous livrent plein de conseils pertinents issus de leur expérience d’auteurs. Vus les bestsellers en série des deux compères, ca devrait te plaire.
http://youtu.be/2dTQWQXhSJU
Romain
salut,j’ai l’idée de crée un livre aussi sur le bonheur et les dix piliers pour l’atteindre.
j’ai décidé d’etre aider par mes lecteurs.
mais si vous avez des sujestions…aider moi
Bonsoir Olivier j’ai vécu la même situation quand j’ai préparé mon mémoire c’était horrible et dur. Je pense que la source principale de ces problème est que vous êtes perfectionniste, car ce sont les gens qui veulent faire un chef d’oeuvre qui vivent ces moments mais tout s’effacera et disparaîtra qu’on a voit le résultat final. Je vous encourage
Cordialement
Hello Nadège,
Merci pour ton commentaire. J’ai fait le plan avant de me lancer dans l’écriture.
Au début j’ai écrit de manière linéaire, mais effectivement maintenant je fonctionne davantage comme tu l’as décris 😉 .
Merci Thierry, effectivement avec son livre un auteur peut créer des fractales sur lesquelles il peut zoomer à l’infini… donc il est important de se restreindre.
C’est déjà une excellente chose que tu ais consciente que ceci est de ton ressort, pommeliane. Tiens-nous au courant de la suite ! 😉
Merci Lee pour ton retour, je testerai définitivement Scrivener pour mon prochain livre 😉
Merci pour ton retour d’expérience Julien 😉
Merci Romain, j’avais déjà vu cette vidéo (en fait j’ai suivi en direct toute l’émission sur CreativeLive), je pense que je vais la regarder à nouveau 😉 .
Bonjour Olivier,
puisque tu as déjà le plan de ton livre, je suppose que tu as déjà les étapes, la solution ainsi que le bénéfice du sujet de ton livre.
Je suppose aussi que tu as mis les sous-étapes et les différentes idées de chacune de ces sous-étapes dans l’ordre, de manière cohérente, qui suivent le fil rouge.
Bien que je n’ai jamais écrit de livre, (à part mon guide-cadeau sur mon blog, et j’écris énormément, un bic se termine vite avec moi), une première chose que je te conseillerais c’est de ne pas chercher la perfection (de toute les façons elle n’est pas de ce monde).
je pense que ton plan est aussi définitif, parce que si tu essaies à chaque fois de faire mieux, à chaque recherche de « le reformer », effectivement se sera la croix et la bannière parce que tu as déjà écrit 100 pages ça serait dommage de revenir sur cette masse de travail tout le temps.
Je pense que avant d’écrire un livre on s’y connait sur le sujet, même si il y a des recherches à faire. Je ne sais pas comment tu as procédé, mais moi j’aurais fait toutes les recherches avant pour avoir le plan « idéal », comme ça après, je ne suis pas bloqué pour écrire/développer et la direction à donner, car c’est définitivement fait, parce qu’il faut avancer.
Mais comme tu as dit que tu as ton plan, et que tu as déjà écrit plus de 100 pages, je suppose que tu ne changes pas ton plan toutes les semaines, sinon c’est clair que tu n’y arriveras jamais.
Maintenant ton problème c’est « la page blanche ».
Je te donne quelques idées.
Premièrement, attribut à chaque partie du livre, chaque chapitre, chaque sous chapitre et chaque idée les nombres de pages ou de lignes pour les idées que tu veux qu’ils fassent en fonction de ton objectif de pages minimum.
Admettons que tu veuille écrire 300 pages, que tu as 3 grosses parties de 100 pages, à chaque gros chapitres de chaque partie tu détermines un nombres de page à écrire de façon équilibré.
Ex: dans une grosse partie j’ai 3 chapitres qui doivent faire 33 pages et dans chacun de ces chapitres tu y met des étapes, ex: 10 étapes de 3,3 pages. et Là dedans tu y mets toutes les idées que tu dois développer, (et que tu connais surement vu tous les livres que tu as déjà lu- lol).
Pour titrer ces idées, il te suffit simplement de donner les étapes qui mènent à la partie qui suit puisque tu as un fil rouge.
Avec 3 idées à développer par page, du genre: la passion appliquée au travail, taper un paragraphe de 10 mots rapidement … je penses que tu peux y arriver.
Pour la passion appliquée au travail, pour développer une idée comme ça (le dernier niveau de la structure de ton plan), tu pourrais y mettre les raisons de l’appliqué, des exemples, des descriptions, une expérience, il y a beaucoup de choses. Et hop, tu as épuisé tes en 10 lignes.
Dans tous les cas, c’est pour ne pas te répéter que je t’ai dis tout ça. Car si c’est redondant, c’est la mort.
-pas de perfection
-garder la progression dans la réflexion, avancer.
-plan définitif (ou presque) et structuré jusqu’aux idées internes aux paragraphes.
Est ce que ça t’as aidé ?
En tous cas bon courage !
Hey, bonjour,
Je laisse un commentaire, car en lisant ton article, je me suis dis « tiens, c’est moi, il y a 6 mois ».
Je viens de terminer mon premier livre disponible dans toutes les bonnes librairies Amazon……
……..et bien…
…….ça été une souffrance.
Ouais, vraiment.
Le truc où on se dit « Mais pourquoi tu t’es lancé dans cet objectif personnel, personne ne t’as rien demandé et toi, rookie, tu veux écrire un livre! »
Donc acte.
Ecrire vous fait jongler.
C’est une lutte contre soi-même.
Parfois, vous avez envie de tout trasher mais bon..
….je n’avais pas écrit 25 000 mots pour rien.
Mon topic « retour d’expérience » serait celui-là:
1/ Utilisez Scrivener. Déjà abordé au dessus. Je l’ai utilisé dés le début aprés en avoir testé une dizaine. C’est la Masterpiece.
2/ Ecrire le plan. Ensuite les titres. On complétera au fur et à mesure.
2/ Ne pas se fixer de délais. Surtout pour le premier. J’avais écrit 6 mois comme obj. Finalement, je l’ai barré, plus d’obj et terminé en 12. Tranquille. L’important, c’est de livrer.
3/ Ne pas chercher à écrire nickel du premier coup. Pour cela, utilisez les 4 statuts dans Scrivener, (First Draft/ Revised Draft/ Final Draft / Done) Donc keep cool, vous pourrez revenir 3 fois sur votre premier jet. L’important est d’écrire….
4/ ……tous les jours. Pour garder la dynamique sur le livre. Cela peut être 50 mots. On s’en fout. L’important est d’écrire tous les jours. Petit trick: quand je ne savais pas ce que je voulais écrire, j’écrivais ce que je ne voulais PAS écrire….et là, bizarrement, aprés quelques lignes, vous savez que ce vous VOULEZ écrire.
5/ Savoir s’arréter. En fait un livre, c’est comme un tableau, il n’est jamais fini. Je m’étais fixé un nombre de mots et d’articles spécifiques. Bref, à un moment, il faut utiliser ce que l’on a. Préferer réduire et livrer le livre qu’allonger et prolonger. Il vaut mieux un livre de 150 pages édité qu’un livre de 300 pages stocké sur l’ordi.
Puisqu’ici nous parlons de livre, en voici quelques-uns (en anglais & dispo dans ma librairie préférée) qui m’ont aidé dans l’écriture:
– On writing de Stephen King
– The flinch ( Pour lutter contre notre résistance & gratuit)
– 250 you should know about writing.
Ma citation ( de chevet ):
« Ecrire, c’est empoigner sa souffrance, la regarder en face et la clouer sur la croix. Et après, on s’en fout d’être guéri ou pas, on a pris sa revanche. » (Katherine Pancol)
Tchuss,
Alex
Bonjour Olivier,
Personnellement je n’ai jamais écrit de livre mais je suis en train de rédiger un mémoire (bien moins conséquent en terme de page certes mais quand même)et je fais face aux mêmes problème que toi. A force de distraction et de procrastination je suis même devenu un expert en géopolitique et en physique quantique !!!
J’ai mis deux « techniques » en place pour « résoudre » (pas complètement mais ça a quand même boosté ma productivité) ces problèmes :
La première c’est avant d’ouvrir son fichier word de déterminer et de fixer ce que l’on va écrire et faire en sorte que ce but soit court ( un sous chapitre pour mon cas, peut être un article pour le tien) et unique (on ne part pas dans tous les sens sinon notre cerveau va se faire un malin plaisir à nous donner plein d’idées pour une partie qu’on est pas en train de rédiger).
L’autre « pratique » c’est d’utiliser la technique Pomodoro : un timer de 25 minutes ou on est concentré sur notre travail avec des pauses de 5 minutes entre chaque 25m et une plus grosse pause de 20/30 minutes tous les 4 Pomodori ( soit toutes les 4 * (25 + 5) = 2heures). Perso j’ai rallongé les pauses à 10/15 minutes… On peut adapter les temps mais l’idée est de garder une période de concentration extrême relativement courte (mais pas trop quand même pour avoir le temps d’avancer).
Le but c’est de mixer les deux méthodes pour avoir un objectif précis et relativement court pour un pomodoro (25m) et de s’arrêter au bout des 25m. Si l’objectif n’est pas atteint, on le reprend au pomodoro suivant.
Voilà, c’est pas magique mais ça m’a vraiment permis d’avancer beaucoup plus rapidement 🙂
Haha, pourtant Scrivener faisait partie des conseils que nous avait filé Tim FERRIS lorsqu’on l’avait rencontré à SF, il me semble 🙂
Il avait dit un truc du style : depuis que j’ai découvert Scrivener, jamais je n’écrirais plus avec Word ! Il a apparemment fait la même découverte que toi 🙂
Bonne chance pour la poursuite et bientôt la réalisation de ton livre, t’inquiète tu vas y arriver tu as probablement déjà passer le tipping point sans le savoir 🙂
Bonjour Olivier,
Pour le moment j’écris mon blog,mais je songe également à écrire un livre, un roman sans doute,il aura pour titre » Le chemin continu »
Quoiqu’il en soit bonne idée que ces logiciels.
A bientôt
salut olivier et bon courage pour ton livre on l’attend avec impatience .
au fait alex c’est quoi le titre de ton livre .Vu qu’il est dispo autant en profiter.
Bonjour Olivier
pour répondre à ta question sur l’écriture d’un livre: j’ai entamé l’écriture de mon auto biographie voilà un petit moment. Au début j’ai commencé par ce qui me semblait plus facile: une certaine période de ma vie. Ensuite, au fil de l’écriture des souvenirs s’ajoutaient qui correspondaient à d’autres choses. j’ouvrais une 2eme page »textes en attente » où je rajoutais les idées arrivées spontanément, avec un titre afin de pouvoir les placer par la suite au bon endroit. Puis j’ai fini par faire des chapitres pour identifier chaque catégorie, ce qui m’a permis d’y voir plus clair. Aujourd’hui j’ai commencé la correction tout en continuant à écrire sur certains chapitres comme la conclusion( ceux que j’estime avoir fini!). J’ai la chance de ne pas avoir connu la page blanche car écrire est comme tirer un fil, une fois que l’on commence on ne peut plus s’arrêter. Je pense qu’il faut écrire sans se forcer et peu importe la durée par jour. On peut être productif pendant 3 heures un jour et ne pas mettre un mot le jour d’après. Je pense qu’il ne faut pas forcer les choses et ne pas écrire pour écrire. Il en va de la qualité. Il faut écouter son ressenti et laisser le moment opportun venir. j’en suis à 246 pages A4 et je n’ai pas encore fini. Bon courage OLIVIER PS: je suis d’accord avec Nadège il ne faut pas tout écrire dans un ordre établi comme si on lisait un livre du début à la fin!
Bonjour Olivier
Félicitations pour le travail accomplit.Je viens de terminer un livre qui sera publié en octobre. »La « Guérison des mémoires »
Devenir détective avec soi-même à l’aide de la médecine chinoise et des fleurs de Bach.
Je peux te dire que bien souvent j’ai eu l’idée de le remettre sur la tablette. Un travail de 15 ans d’observation et d’enseignement.
Cela m’a pris deux ans pour finaliser les corrections et une suite logique de lecture pour les lecteurs.
Écrire un livre est une aventure, une sorte de voyage avec soi. Il permet de tester sa persévérance et ses croyances sur un sujet précis.
Bonjour Clément,
Je vous remercie pour les deux méthodes, en fait moi aussi je prépare un mémoire sur les marchés financiers, mais je pense qu’avant de commencer à rédiger une phrase il faut d’abord fixer le plan dans sa globalité, car on modifie à fur et à mesure et des fois on change même de cap! De ce fait je propose :
1. D’effectuer des recherches documentaires, webographiques et sur terrain;
2. Restructurer les données selon la finalité voulue;
3. Rédiger;
4. Relire
Merci 🙂
Bonjour Olivier,
Finalemnt je reviens vers toi, au sujet de la page blanche et du livre que tu es en train d’écrire.
Comme j’ai eu l’occasion de regarder un tas de vidéos que tu as « postées » et sauf si tu te sers d’un prompteur l’expression écrite ne devrait pas te poser de problème, pas plus que l’expression orale quand tu mets en avant des pratiques sur WordPress, car là tu t’exprimes fort bien.
Donc si sans prompteur,tu es capable de prendre la parole pendant plus de dix minutes, ce qui est déjà très long en expression orale, utilises les mêmes méthodes pour écrire.
1)Canaliser ses idées
2)partir du global pour aller aux détails
3)Laisser mijoter un ou deux jours si tu coinces
4)Vérifier la syntaxe en lisant à haute voix, comme si tu chantais.
5)Corriger les fautes d’orthographes ce qui peut t’amener à changer ta phrase pour qu’elle soit plus esthétique.
Amitiés,
Ag.d
PS:FINALEMENT
Bonjour Olivier,
j’ai écrit mes livres avec openoffice et lors de l’écriture de mon premier, j’ai retourné presque tous les chapitres dans tous les sens car je me suis rendue compte que cela ne correspondait pas à ce que je voulais.
J’aurais sûrement perdu moins de temps et de calme si j’avais travaillé sur scrivener.
Je crois que je vais l’essayer.
Maintenant, j’ai pris l’habitude de commencer par faire le plan de mon livre et de donner un nom à mes chapitres et de travailler sur un chapitre en particulier.
Bonne continuation, il me tarde de lire ton livre.
Au plaisir de te lire,
Caroline
Bonsoir olivier.
Je sais que c’est difficile, par exemple j’ai tout perdu car la disquette sur laquelle j’avais sauvegardé fût HS. Reprendre à été très dur, car je n’avais pas pris de notes. j’avais écrit de belles phrases que je n’ai pas été capable de reproduire.
Bien cordialement.
Lol Bastien, c’est une information que j’ai oublié et que j’aurai bien fait de retenir ! J’ai relu mes notes pourtant, mais j’ai dû oublier de noter cette info 😉 .
Bonjour Olivier,
Vivement la sortie de ton livre. Dès qu’il sort, je l’achète. :p
Hello Olivier
Si tu as encore bcp de matière à écrire, ça vaut la peine de passer en mindmapping. Ne reporte pas le transfert à plus tard!
Laisse peut-être dormir un peu la matière déjà produite, le temps de respirer un peu. Et reviens-y avec un oeil neuf, dépouillé de la lassitude où tu es maintenant et dépouillé de complaisance… car quand on vient juste d’écrire, on est attaché à sa production et on n’est pas tjrs lucide.
Après ça, reviens au mindmapping (Xmind ou Scrivener qui est plus adéquat).
Ils comportent une série de fonctionnalités assez intuitives
– insertion de liens; tu peux enregistrer ta voix…pour XMind
– A Scrivener, tu peux ajouter Zotero qui te permet de gérer tes citations et ressources externes.
Voici un petit tuto pour Zotero.
http://www.youtube.com/watch?v=mP5AzJHXfIA
Courage!
Une solution supplémentaire à envisager serait de couper
l’accès à certains sites (réseaux sociaux et email en particulier),
de manière à rester concentrer. Le fait de morceler ses tâches et
de « flâner » fait énormément perdre en productivité. Le logiciel
« Cold Turkey » est un exemple parmi d’autres. Bon courage !
Selma
Intéressante cette approche des jours avec et des jours sans.
Tout à fait d’accord pour les relectures : au bout d’un moment, on ne voit plus rien, c’est bien connu. Heureusement, il existe des relecteurs-correcteurs professionnels, certains font un boulot fantastique.
Bon courage Olivier. Ecrire n’est pas un long fleuve tranquille mais tu sembles tenir le bon bout !
Alors ce livre? Tu en es où? Moi aussi j’ai l’intention d’écrire un bouquin, mais ça ne sera pas dans l’immédiat. Il s’agira d’un roman qui découlera de ma propre existence. Pour l’instant, je me consacre à mon blog que je viens de créer et là aussi j’essaie de rester motivé pour produire des articles chaque semaine. Merci de l’info pour le logiciel . A bientôt sur Lille peut-être.