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Résumé de « Faire plus avec moins » de Vicky Payeur : la créatrice du blog Vivre avec moins nous propose ici un condensé de son savoir et de ses conseils pour « redécouvrir l’abondance grâce à la frugalité » et apprendre à vivre mieux au jour le jour.
Vicky Payeur, 2022, 204 pages.
Chronique et résumé de « Faire plus avec moins » de Vicky Payeur
Avant-propos
Connaissez-vous le frugalisme ? Il s’agit de cette tendance à rechercher l’indépendance financière hors travail le plus tôt possible dans son existence. Autrement dit, prendre sa retraite dès 30 ou 40 ans ! Mais est-ce vraiment réalisable ?
Au Québec — pays de Vicky Payeur — comme ailleurs, la réponse est oui. À condition, bien sûr, de respecter certains principes de vie et d’avoir mis suffisamment d’argent de côté pendant les années de labeur.
Le mouvement FIRE, pour Financial Independence Retire Early est pionnier et particulièrement représentatif de cette tendance de fond des sociétés contemporaines. Il a émergé aux États-Unis dans les années 2010, quand des blogueurs ont publié leurs idées concernant l’épargne et la retraite précoce.
Vicky Payeur dit s’inspirer de tous ces auteurs du mouvement FIRE. Mais elle voudrait répondre à une question restée selon elle largement sans réponse : « comment vivre la frugalité au quotidien ? » C’est-à-dire concrètement (p. 8-9) :
- « Comment faire augmenter la valeur de ses placements ?
- Quelles stratégies utiliser pour réduire les impôts à payer ?
- Comment travailler davantage ou gagner plus d’argent ?
- Quelles dépenses est-il nécessaire d’enlever de son budget pour peut-être espérer vivre librement un jour ?
- Comment épargner un peu plus chaque mois ? » (Faire plus avec moins, Avant-propos)
L’autrice s’est posé ces questions dans sa propre existence : en 2015, elle est passée d’un mode de vie hyperconsommateur à une existence frugale, principalement pour rembourser ses dettes. Aujourd’hui, elle est très heureuse de son choix et veut partager ses bons plans avec vous. Sympa, non ?
Si vous voulez en savoir plus, rendez-vous sur son blog Vivre Avec Moins.
Introduction
« Frugalité est un mot que j’entends bien rarement. Probablement parce qu’il est souvent associé péjorativement à l’avarice ou, comme on dit, au fait d’être cheap. Personne ne souhaite être perçu ainsi dans une société où l’étalage des richesses et la démonstration d’exploits professionnels sont valorisés ! Cependant, il y a une nuance importante entre frugalité et avarice. »
Quelle est-elle ?
- L’avare ne veut pas se séparer de son argent ; il veut même en accumuler toujours plus, sans raison.
- La personne frugale (ou le « frugaliste ») est sobre, oui, économe, encore, mais elle n’est pas attachée à l’argent et pourra se montrer généreuse ou s’octroyer des plaisirs de temps à autre.
La frugalité ne date pas d’hier
En un sens, la frugalité est une habitude de grand-mère. Rappelez-vous ses petits plats et sa manie à « tout » réparer ou à tout garder. Eh bien, c’est l’inverse de notre mode de vie actuel et, pourtant, c’est vers cela que nous pouvons aller si nous le voulons.
Oui, penser sa consommation est (re)devenu essentiel ! Oui, penser, réfléchir à ce qui est utile et à ce qui ne l’est pas. Commençons petit à petit et voyons comment amplifier peu à peu cette attitude dans notre existence de tous les jours. L’enjeu est économique, mais aussi environnemental.
Oser devenir libre
« En consommant moins, mais mieux, on peut transformer notre budget en entier », dit l’auteur. Épargner : voilà la clé. Et ce livre est justement conçu pour vous aider à le faire de manière efficace. Certaines propositions peuvent paraître « extrêmes », mais c’est parce qu’elles visent à « atteindre des objectifs ambitieux ».
C’est possible. Par ailleurs, être frugal ne veut pas dire arrêter complètement de travailler. Vous pouvez vous consacrer à des projets qui ont du sens pour vous, mais vous ne dépendez plus d’un emploi qui ne vous plaît pas.
À vous de définir exactement votre idée de la liberté financière. À vous, aussi, de laisser de côté les conseils qui vous plairont le moins pour adapter la méthode en fonction de vos aspirations profondes.
Partie 1 — L’heure des bilans
1. Analyse
Au Québec, un tiers de la population environ vit d’une paie à l’autre sans pouvoir épargner ou en épargnant très peu. Pour Vicky Payeur, c’était la même chose. Jusqu’au jour où elle s’est mise en tête d’étudier les dépenses de son compte bancaire.
Elle donne ce premier conseil :
« Prenez le temps d’analyser votre situation financière en toute franchise et posez-vous la question suivante : « où va mon argent ? ». » (Faire plus avec moins, Chapitre 1)
Posez-vous des questions telles que :
- Combien est-ce que je dépense en… (restaurant, vêtements, etc.) ?
- Quand ai-je réalisé ma dernière grosse dépense ?
- Combien est-ce que j’épargne par mois ?
- Jusqu’à quand pourrais-je survivre si je perdais mon travail demain ?
En fait, nous pensons souvent agir plus vertueusement que nous ne le faisons en réalité. Lorsque nous nous imposons cette petite analyse, nous voyons mieux où le bât blesse et ce que nous pouvons faire pour corriger le tir. Et cela vaut à 20 ans comme à 50 !
2. Quotidien
Nous ne sommes pas les victimes. L’état de nos finances dépend de nous. Bien sûr, nous avons diverses obligations, mais il est toujours possible de revenir à la question : « qui a choisi de contracter ce prêt ? », etc.
Commençons donc par nous dire que c’est possible. Et que nous avons la responsabilité de gérer correctement notre argent. Chacun, en fonction de sa situation propre, peut faire un premier pas.
Quels sont les postes de dépenses que vous pouvez revoir ?
Les déplacements
Si vous avez besoin d’une voiture, interrogez-vous sur l’utilité réelle (et non symbolique) d’avoir une voiture neuve, en location (leasing) ou achetée avec un prêt, par exemple. Ne vaut-il pas mieux opter pour une voiture d’occasion ?
Et si vous ne possédiez pas de voiture ? Le quotidien deviendrait-il impossible ? Si la réponse est non, alors interrogez-vous sur le caractère nécessaire de cet achat et envisagez les autres options en comparant l’aspect financier (autobus, train, etc.).
L’hypothèque
Les prix des logements montent, grimpent, volent ! Vous voulez acheter ? Avez-vous les reins assez solides pour vous embarquer dans une hypothèque à long terme ?
Vicky Payeur met surtout en garde au niveau de la tentation de voir trop grand. Pensez votre logement en fonctions, ici encore, de vos besoins réels. Selon le nombre de personnes dans votre famille, vous aurez certes besoin d’une maison ou d’un appartement plus petit ou plus grand, mais à quoi bon vouloir un palace difficile à chauffer ?
Le ratio des dépenses mensuelles liées au logement devrait être d’un tiers (30 %) et idéalement d’un cinquième (20 %). Dans beaucoup d’endroits, il est difficile de tenir ce ratio, mais vous pouvez agir à d’autres endroits.
« En réduisant le coût obligatoire associé à votre habitation, vous aurez plus de marge de manœuvre pour les autres postes de dépenses et, par le fait même, pourrez épargner davantage. » (Faire plus avec moins, Chapitre 2)
Les sorties au restaurant
Nous aimons tous aller au restaurant. Mais nous avons aussi tendance à y aller… beaucoup. Surtout lorsque nous travaillons à l’extérieur. Petit-déjeuner, déjeuner et dîner : parfois les trois repas y passent !
Faites le compte. Cela revient vite cher, vous verrez. Nous verrons dans la suite de l’ouvrage (partie 2) comment mettre en place une alimentation plus frugale et plus saine — sans pour autant nous priver du restaurant lors des occasions spéciales !
Les achats impulsifs
Les trois postes de dépenses précédents (voiture, logement, nourriture) sont souvent les plus gourmands et ceux qui nous empêchent d’épargner. Il faut y ajouter tous ces achats impulsifs qui allègent grandement notre portefeuille.
À quoi pensez-vous ? À la télévision que vous venez d’acheter ? Au cafe latte de 16 h ou à cette dernière paire de chaussures commandée en ligne ? Pas besoin de vous faire un dessin ; vous voyez certainement de quoi Vicky Payeur veut parler !
« Tous ces achats que vous faites parfois sans réfléchir ont un effet direct sur votre liberté. Plus vous dépensez, plus vous devrez travailler pour payer ces abonnements mensuels et ces achats spontanés. Chaque fois que vous utilisez votre carte bancaire, vous venez de retarder l’heure, le jour et l’année de l’atteinte de votre liberté. » (Faire plus avec moins, Chapitre 2)
Cette dernière phrase peut faire réfléchir, pas vrai ? Gardez-la à l’esprit au moment de sortir votre carte bleue plus vite que Zorro.
Choisir sa vie
Bien entendu, personne ne vous demande de vivre une vie qui ne vous conviendrait pas. Vous avez le contrôle. Si, pour vous, cette vie plus dépensière vous satisfait et que vous pouvez vous l’offrir (même si c’est à crédit sur votre retraite anticipée), alors pourquoi pas !
Mais si vous avez l’ambition de moins travailler et/ou de vous consacrer davantage à ce que vous aimez vraiment, bref si votre vie ne vous convient pas en l’état, alors pensez-y… »Prenez quelques minutes pour analyser votre mode de vie actuel et les frais occasionnés », dit l’autrice. « Où aimeriez-vous habiter ? Quelle vie aimeriez-vous mener ? ».
3. Changement
Le changement est aussi psychologique et social. Nous avons l’habitude d’écouter certains discours qui nous poussent à la consommation. Mais correspondent-ils à nos valeurs et à nos aspirations ? Pas vraiment, ou rarement.
Changer dans le sens du frugalisme, c’est donc aussi ouvrir son esprit à d’autres manières de voir le monde et d’agir en son sein.
Par ailleurs, la motivation à vous limiter aujourd’hui peut être boostée par votre volonté à atteindre un objectif précis. C’est aujourd’hui que commence ce projet, et pas demain ! Établissez dès que possible votre pourquoi (votre objectif) et votre comment (les moyens pour y parvenir).
Progressez à votre rythme
« Ne vous inquiétez pas, je ne vous suggère pas de devenir un ermite dans le fond des bois, loin de la consommation de notre société capitaliste (bien que je trouve ce mode de vie inspirant !). Il suffit de modifier quelques-uns des gestes que vous accomplissez quotidiennement au profit d’une option plus économique. » (Faire plus avec moins, Chapitre 3)
Autre point central qui est même la « règle d’or » selon Vicky Payeur : y aller à son rythme. Sans quoi, vous risquez fort bien d’abandonner rapidement.
Par ailleurs, utilisez ce que vous avez déjà. Prenons un exemple. Terminez tous vos produits de ménage habituels afin de penser à en acheter d’autres qui seront plus économiques et écologiques (par exemple en vrac).
Selon Vicky Payeur, la durée de « mise en route » d’un mode de vie frugal peut fortement varier selon les personnes. Dans son cas, cela lui a pris un an et demi pour « atteindre un niveau satisfaisant ». « Il ne faut pas devenir fou et rechercher la perfection », dit-elle encore pour nous rassurer.
L’important, c’est d’être curieux et de tester les astuces. D’en faire de petites habitudes à intégrer dans votre quotidien progressivement. Laissez de côté celles qui ne vous correspondent pas et adoptez les autres !
Cherchez l’inspiration
Vous trouverez sur Internet différentes inspirations, des plus radicales (comme Mark Boyle et son livre L’homme sans argent) au plus softs.
Vous pouvez aussi trouver l’inspiration plus directement autour de vous. Nous avons parlé plus tôt de la grand-mère, mais cela peut être un cousin ou un oncle. Qui sait ! Demandez-leur comment ils font et ils partageront certainement leurs astuces frugales avec vous.
Mais Vicky Payeur ne veut pas s’arrêter là. Selon elle, vous pouvez devenir votre propre source d’inspiration. Comment ça ?
En fait, vous pouvez rapidement devenir « accro » à ce petit jeu de l’épargne. Dès que notre focale se concentre sur la liberté financière, vous avez envie d’éliminer les dépenses superflues. cela devient un jeu !
Persévérez
Comment tenir bon, même dans les moments difficiles ? L’autrice rapporte ici sa propre expérience et donne des dates précises :
- 2015-2016 : elle freine sa surconsommation et met de l’ordre dans ses finances.
- 2016-2018 : elle commence à voir son endettement se réduire peu à peu. En un peu moins de deux ans, elle rembourse 16 000 $.
- 2018-2019 : elle se constitue un fonds d’urgence pour « assurer sa sécurité financière ». Elle décide de quitter son emploi au bout d’un an d’épargne.
- 2019-2020 : ce n’est pas toujours facile d’être complètement à son compte. Mais elle a réussi à ne pas s’endetter à nouveau et à vivre modestement, mais correctement.
- 2020-2021 : elle achète un bien immobilier avec son compagnon, beaucoup de dépenses en une fois, mais un investissement rendu possible par les efforts réalisés jusque-là !
« Parfois, il faut mettre la main à la pâte pendant plusieurs mois, voire plusieurs années, pour changer son quotidien. » (…) Le chemin le plus facile pour y arriver, c’est celui de la frugalité. » (Faire plus avec moins, Chapitre 3)
Petit à petit, vous pouvez voir le ciel s’éclaircir et penser non seulement à l’épargne, mais aux investissements financiers tels que la bourse ou l’immobilier.
4. Doutes
« Êtes-vous obligé de parler de vos nouvelles motivations, de votre changement de vie ou de vos prises de conscience ? La réponse est non. » (Faire plus avec moins, Chapitre 4)
Parfois, nous pouvons percevoir notre entourage comme un frein dans la réalisation de nos objectifs. À d’autres moments, ils sont une grande source d’inspiration et de motivation. À vous, donc, de voir quand et avec qui vous voulez partager votre nouveau goût pour la simplicité.
Vicky Payeur, pour sa part, a décidé d’ouvrir complètement les vannes, puisqu’elle a créé un blog dans lequel elle s’est mise à raconter son parcours, depuis ses erreurs jusqu’à ses réussites. Elle partage au quotidien avec son audience des trucs et astuces et répond aux questions qui lui sont adressées.
☀️ En véritable infopreneuse, elle propose aujourd’hui des ateliers et des formations pour aider celles et ceux qui le souhaitent à prendre le chemin de la frugalité. Bref, à sa manière, elle suit la méthode des rebelles intelligents proposée dans votre livre gratuit Vivez la vie de vos rêves grâce à votre blog !
Le jugement des autres
Le jugement des autres peut avoir une influence négative sur vous. Certaines personnes peuvent être fermées à ce mode de vie. D’autres peuvent (parfois même les mêmes) ressentir de la jalousie. Savoir s’y préparer permet de mieux affronter ce problème.
Comment faire ? En ne parlant pas quand vous n’en sentez pas le désir et en ignorant ceux et celles qui vous critiquent ou vous envient. Malgré ses activités de blogueuse, Vicky Payeur prône plutôt la voie du « en dire moins, c’est souvent mieux’.
Surtout lorsqu’il s’agit de parler de ce que vous arrivez à mettre de côté ! En effet, ce n’est pas la même chose de parler de ses difficultés et de trucs et astuces pour les surmonter que d’exposer ses objectifs et ses revenus réels.
La prudence est donc de mise. Mais dans tous les cas, vous restez maître de vos prises de parole.
Une histoire de collègues
Au travail, vous pourrez faire face à des collègues qui sont eux aussi dans des situations d’endettement ou de difficultés financières, mais qui refuseront (voire se moqueront) de vos objectifs frugaux. C’est ce qu’a vécu Vicky Payeur. Comme elle, laissez vos chemins se séparer.
Focalisez-vous sur votre propre réussite et adoptez la pensée positive.
« Aujourd’hui, je sais pertinemment qu’adopter la pensée positive dans mes différentes actions du quotidien a été la clef de ma réussite. » (Faire plus avec moins, Chapitre 4)
La force des amitiés
À côté des personnes qui vous tirent vers le bas, il y — aussi ! — toutes celles qui vous aident dans votre parcours. Les vrais amis sont ceux qui accepteront de ne plus sortir au restaurant comme avant mais vous aimeront toujours autant.
Redécouvrez ensemble des activités que vous aviez perdues de vue, par exemple. Pourquoi ne pas se retrouver chez soi plutôt que d’aller dans un bar ? Aller se promener ou jouer aux cartes… Ce ne sont que quelques illustrations.
Vous pouvez également adapter certaines activités pour les rendre plus frugales. Par exemple : les vacances. Vous pouvez épargner tout au long de l’année dans l’optique de ces vacances entre amis que vous avez l’habitude de faire.
« Croire qu’on ne peut pas adopter de nouvelles habitudes par crainte de l’avis de ses amis ou d’autrui, c’est s’enfermer dans une cage sans même avoir essayé d’en sortir. Essayez de nouvelles choses, osez, puis vous verrez ce qui en découlera ! » (Faire moins avec plus, Chapitre 4)
Partie 2 — Comment se vit la frugalité ?
5. Avant
Revenons encore une fois à nos grands-parents. Non pas pour nier les progrès dont nous profitons aujourd’hui, mais pour éclairer de leur perspective notre tendance à l’hyperconsommation.
Ils avaient l’habitude de recycler et d’entretenir les choses ; nous jetons sans même prendre le temps de réparer. Qui a raison ? Prenons-les en exemple, soutient Vicky Payeur.
S’inspirer de la Grande Dépression
La grande crise qui fit suite au Krash boursier de 1929 intéresse beaucoup l’autrice. Selon elle, il y a même « 7 astuces économes » à retenir en particulier :
- « Cuisiner à partir de rien ;
- Réparer avant de remplacer ;
- Se divertir dans le confort de son foyer ;
- Faire soi-même ;
- Faire du troc ;
- Dépenser seulement l’argent qu’on a ;
- Réutiliser. » (Faire plus avec moins, Chapitre 5)
Retourner à la base
Nos ancêtres avaient beaucoup d’imagination pour vivre de peu ! En allant fouiller pour nous dans les savoirs de nos aïeux, la blogueuse retrouve plein de trucs et astuces qu’elle partage dans cet ouvrage.
Parmi les conseils supplémentaires, très pratico-pratiques, qu’elle donne à la suite du chapitre pour concrétiser les « 7 astuces économes », vous trouverez :
- Faire son bouillon (alimentation) ;
- Sécher les poches de thé (alimentation) ;
- Entretenir un potager (alimentation) ;
- Réutiliser les vieux tissus (textile) ;
- Raccommoder les vêtements (textile) ;
- Revaloriser les emballages alimentaires (organisation) ;
- Prendre des notes sur des vieilles enveloppes (organisation) ;
- Etc.
À vous de consulter l’ouvrage afin de voir quels sont les trucs qui vous plaisent et vous paraissent réalisables chez vous ;). Maintenant, entrons dans le détail des propositions de Vicky Payeur.
6. Alimentation
« Il faut arrêter de consommer en mode automatique et commencer à se poser les bonnes questions qui nous rapprocheront un peu plus de notre liberté financière. L’argent qu’on évite de gaspiller aujourd’hui est peut-être ce qui fera la différence entre une retraite à 45, 50 ou 55 ans, plutôt qu’à la mi-soixantaine ! » (Faire plus avec moins, Chapitre 6)
La cuisine est sans doute l’un des endroits où nous pouvons agir le plus efficacement pour réduire nos dépenses et mettre en pratique le frugalisme. Voyons comment.
L’évolution de mon panier
Vicky Payeur raconte comment elle est passée d’un panier d’achat de 120 $ à 50 $ par semaine (et même à 20 $ lorsqu’elle remboursait ses dettes !). Plusieurs actions sont à mettre en place, comme utiliser ce que vous avez dans vos tiroirs et n’acheter que ce dont vous avez besoin.
Progressivement, vous pouvez également changer durablement vos habitudes alimentaires. Manger moins de viande est économique et écologique, sans compter que c’est également bon pour votre santé.
Autre astuce : être attentif aux aubaines : réductions en tout genre dans les magasins ou via des applications dédiées, par exemple.
Viser l’équilibre, pas les extrêmes
Il est important de continuer à s’alimenter correctement. Manger des pâtes au beurre tous les jours n’est pas la solution… Votre santé est plus précieuse que vos économies !
Manger frugal
Manger frugal, c’est donc manger des produits frais et variés. Bref, c’est manger sainement et économiquement en suivant ces 9 règles d’or de l’alimentation frugale (p. 83) :
- « Ne rien gaspiller ;
- Cuisiner ce que l’on a ;
- Utiliser des techniques de conservation adaptées ;
- Planifier ses repas ;
- Connaître les prix ;
- Adopter la semaine sans épicerie ;
- Mettre en place un système anti-gaspillage ;
- Faire pousser des aliments ;
- Manger principalement des repas maison. » (Faire plus avec moins, Chapitre 6)
L’autrice présente en détail ces 9 points et vous donne encore plus de conseils dans les pages qui suivent. Mais passons à la suite.
Les fameux gadgets de cuisine
Minimalisme et frugalisme vont de pair. Pas besoin d’avoir les nouveaux robots ménagers à la mode ou les ustensiles hyperspécialisés qui vous serviront trois fois dans l’année. Débarrassez-vous de tous ces gadgets inutiles, encombrants. Et surtout : ne les achetez pas ! Ou bien si vraiment c’est indispensable, achetez en promotion…
N’oubliez pas : les produits dits « révolutionnaires » censés vous « simplifier la vie » ne sont souvent que des machins compliqués qui, au final, ne vous font pas gagner une seule minute — et encore moins un centime.
Économiser un dollar à la fois
En apprenant la simplicité et le recyclage en matière d’alimentation, vous pouvez vraiment commencer à voir la différence dans votre portemonnaie et votre compte en banque. C’est l’un des domaines où vous pouvez être le plus créatif et le plus rapidement efficace.
7. Logement
« Imaginez : chaque jour, le tiers de votre temps passé au travail ne sert qu’à mettre un toit sur votre tête. Réduire sa mensualité pour se loger est donc, sans surprise, une piste de solution majeure pour réduire vos dépenses de manière générale et alléger votre budget. » (Faire plus avec moins, Chapitre 7)
Ne partons pas du principe que c’est impossible ; se loger à coût raisonnable est parfaitement faisable. Il y a des solutions plus radicales, telles que vivre en yourte ou sur un bateau, par exemple, et d’autres qui le sont moins. Explorons-les ensemble.
Les pièges à éviter
La première erreur est peut-être… de choisir une propriété « qui utilise le maximum de notre capacité d’emprunt pour l’hypothèque ». À quoi bon ? Le plus important n’est-il pas de bien vivre au quotidien, sans se créer (trop) de stress supplémentaire ?
La modestie peut ici vous éviter de gros ennuis plus tard, lorsque vous devrez rembourser mensuellement votre prêt.
Autre écueil (lié au premier) : éviter de faire le « voisin gonflable », c’est-à-dire celui qui a tendance à gonfler son importance de biens trop chers pour lui, jusqu’à l’endettement insupportable.
Nous avons toujours tous tendance à nous comparer aux autres et à vouloir ce qu’ils ont (voire mieux). C’est la base sociologique de ce phénomène problématique.
Mais nous pouvons y résister. Au lieu d’agir de façon impulsive, attendez deux semaines ou un mois avant d’agir. « Il y a de fortes chances que vous ayez déjà oublié ce désir et que vous soyez rendu à autre chose », prédit Vicky Payeur !
Les autres frais
Il existe des dépenses plus essentielles que d’autres. Parmi celles-ci, bien sûr, le paiement de l’hypothèque ou du loyer, ainsi que les assurances diverses et les frais fixes (abonnements à l’électricité, internet, eau, gaz) qui nous permettent de vivre confortablement et en sécurité au jour le jour.
Par contre, réfléchissez aux dépenses qui sont accessoires. Cela dépend de chacun, mais voici quelques exemples :
- Femme de ménage ;
- Entretien paysager ;
- Télévision câblée (ou abonnement Netflix) ;
- Etc.
Se loger à petit prix
Dans cette section, l’autrice vous donne quelques idées pour vivre de façon moins conventionnelle et plus économique — voire plus rentable :
- Opter pour un petit logement (genre tiny house, yourte, etc.) ;
- Vivre en colocation ;
- Habiter avec ses parents ;
- Déménager dans une autre région ;
- Louer une partie de son bien immobilier ;
- Vivre en van ;
- Faire du « home sitting » (gardiennage de maison) ou du WWOOFing (travail contre logement) ;
- Etc.
Les solutions sont nombreuses et très variées !
Vivre de façon alternative, même avec des enfants
Peut-être pensez-vous que ces solutions sont réservées à des jeunes gens. Impossible d’agir de la sorte quand on a une famille ! Et pourquoi pas ? L’autrice rapporte plusieurs anecdotes de parents vivant frugalement et différemment en ayant un ou plusieurs enfants.
Hypothèque ou location ?
Impossible à dire de façon générale. « Pour savoir si vous gagnez à louer ou à acheter une propriété, il vous faudra sortir la calculatrice », prévient Vicky Payeur. Toutefois, il est possible de mettre en évidence quelques avantages et inconvénients de chaque situation.
Pour la location :
- Prix fixe chaque mois (+) ;
- Mais possibilité de hausse du prix du loyer au renouvellement du contrat, voire d’expulsion (-) ;
- Moins de frais liés à l’entretien (+) ;
- Mais moins de liberté d’action (-).
Pour l’achat/hypothèque :
- Marge de manœuvre accrue (+) ;
- Mais frais « surprises » (-) ;
- Épargne « forcée » qui nous permet de constituer un capital (+).
8. Loisirs
« Plutôt que de dépenser votre argent en biens matériels, dépensez-le en nouveaux apprentissages. Le savoir est la seule chose que personne ne pourra jamais vous retirer. » (Dominique Loreau, L‘art de la simplicité, Cité dans Faire plus avec moins, Chapitre 8)
Nous avons plus de loisirs aujourd’hui qu’avant, mais souvent nous passons notre temps libre à passer d’une activité payante à une autre. Pourtant, il est tout à fait possible de profiter du quotidien sans en faire des tonnes.
Vivre plutôt que consommer
Les émotions que nous ressentons lorsque nous achetons quelque chose (bien ou service) ne durent généralement pas. En revanche, celles qui nous prennent lorsque nous vivons quelque chose de fort, fortuit et gratuit, celles la restent ancrées en nous.
Ces expériences peuvent être de différentes natures : bénévolat ou simple jardinage, il y a le choix ! L’idée consiste à se détourner des possessions et du matériel pour insister sur le moment passé ensemble.
Le coût des loisirs
Vous pouvez limiter les dépenses et mieux profiter de l’existence. Comment ? En réfléchissant à vos achats de « gadgets ». Encore une fois, il tient à vous seul de savoir ce qu’est, pour vous, une dépense légitime et une dépense superflue.
Si vous faites un sport, par exemple, certaines dépenses seront nécessaires. Mais comment les gérer ? Vicky Payeur vous propose de mettre tout cela par écrit et de faire le point.
- Quelle est l’enveloppe budgétaire que vous avez consacrée en un an à votre loisir principal (sport, activité culturelle) ? Êtes-vous heureux du résultat et souhaitez-vous continuer ainsi ?
- Et les autres activités ?
- Lesquelles vous semblent pertinentes et satisfaisantes ? Lesquelles pourraient être supprimées ou limitées ?
Les modes
Les stigmatisations vont bon train. Pour les sports, on vous reprochera de ne pas avoir le matériel dernier cri. Pour la musique, par exemple, certains vous demanderont pourquoi vous n’avez « que » la version freemium…
Nous l’avons déjà dit : nous sommes influencés par nos pairs. Cela vaut dans le domaine de l’alimentation et du logement comme du loisir. Mais vivre sobrement, c’est penser différemment et c’est donc « arrêter de faire… comme tout le monde » !
Les activités déjà payées à même les taxes
Eh oui, chaque année, nous payons en impôts et en taxes des infrastructures et des institutions de loisirs dont nous aurions bien tort de nous priver. Par exemple ?
Au niveau du sport :
- Chemins de randonnée publics et gratuits ;
- Parcs municipaux et infrastructures sportives qui y sont installés ;
- Sentiers, trottoirs et pistes cyclables pour courir ou faire du vélo ;
- Groupes d’entraide et de création d’événements gratuits ;
- Piscines municipales (moins chères) ;
- Etc.
Au niveau culturel :
- Musées (parfois gratuits) ;
- Festivals et spectacles gratuits l’été ;
- Bibliothèques ;
- Conférences et cours gratuits ;
- Quartiers et villages proches ;
- Groupes et associations locales ;
- Etc.
En outre, vous pouvez vous divertir en restant chez vous. Recréez, par exemple, l’ambiance cinéma à la maison… Ou profitez de votre temps libre pour écrire sur des thématiques qui vous intéressent ou jouer de la musique en autodidacte…
Des loisirs modestes
Vicky Payeur a plein d’idées ! Elle propose de noter les activités en fonction de leur coût ($$$, $$, $ ou 0) et à voir ce que vous pouvez changer par des loisirs gratuits et « modestes ». Il y en a pour tous les goûts :
- Au niveau du sport (utiliser les infrastructures gratuites pour courir, faire du vélo, jouer au ping-pong, etc.) ;
- Ou des activités culturelles (depuis les visites gratuites, jusqu’aux conférences citées plus haut, etc.) ;
- Et des activités domestiques (comme le jardinage, la construction/restauration de meubles, etc.) ;
- Ou sociales (bénévolat, organisation de dîner partagé ou de pique-nique, chez soi ou dans la nature) ;
- Etc.
L’autrice donne une foule d’idées impossible à reproduire ici. Consultez l’ouvrage pour vous faire une meilleure idée !
Voyager léger
Faire le tour du monde sans argent ? C’est ce qu’ont fait Muammer Yilmaz et Milan Bihlmann pour démontrer que c’était possible. Vous ne souhaitez pas aller jusque là ? C’est compréhensible.
Voyons donc les solutions qui s’offrent à vous. :
- Être flexible (si vous travaillez de chez vous en freelance, par exemple, c’est plus facile de voyager les jours « creux ») ;
- Faire du couchsurfing ;
- Prendre le bus de ville et acheter vos propres aliments au lieu d’aller au resto tous les jours ;
- Aller dans des pays où vous avez un meilleur pouvoir d’achat (en Asie, notamment).
La frugalité et les loisirs dans la vraie vie
Il y a un équilibre à trouver entre le souhait d’épargner et l’envie de vivre le moment présent. L’important consiste à ne pas devenir avare. Sachez dépenser votre argent, mais dépensez-le sagement !
« La frugalité n’est pas la privation », répète Vicky Payeur. « C’est économiser là où d’autres dépensent tout leur argent et le faire de manière intelligente et réfléchie », conclut-elle.
9. Apparence
Combien dépensez-vous par mois en vêtements et soins personnels ? Pour un Canadien, c’était en moyenne 400 $ par mois en 2019. Si cela vous semble beaucoup, faites votre propre compte. Vous aurez peut-être des surprises !
La différence entre besoin — quelque chose de nécessaire à notre bien-être — et désir — plus proche du caprice inutile — est ici importante.
Moins, c’est mieux !
Vicky Payeur prête beaucoup d’attention à son physique, mais elle le fait de façon minimaliste et frugaliste.
Elle a fait le vide et n’a gardé que 20 % de sa garde-robe ; ce qu’elle porte vraiment. Elle a aussi modifié son style pour qu’il soit plus simple et que ses vêtements soient plus faciles à assembler au quotidien.
« La confiance en soi est probablement le plus bel accessoire », dit encore Vicky Payeur. Plus besoin de chercher le dernier sac à la mode, contentez-vous d’être bien dans vos baskets !
Les vêtements
Réduire ses achats vestimentaires passe par :
- Un tri de sa garde-robe et par l’appréciation de ce qu’on a déjà ;
- De petites retouches par-ci par-là pour garder ses vêtements plus longtemps ;
- Des achats de seconde main, des friperies ou des échanges, etc. ;
- Via de petites (e-)boutiques ou des sites/applications de petites annonces ;
- Des achats de qualité !
L’autrice recommande d’éviter certains tissus qui se dégradent plus rapidement comme l’acrylique et la viscose et privilégier des matières organiques comme le lin ou le coton.
Les cheveux
Parfois, nous dépensons des sommes folles chez le coiffeur. Et nous pensons qu’avoir du shampoing chez soi est tout simplement évident. Mais il y a des alternatives…
Au menu de cette section :
- La méthode no-poo à base de bicarbonate de soude et de vinaigre de cidre de pomme ;
- Du savon ;
- La réduction des produits utilisés (surtout pour mesdames).
Pour le coiffeur ? À vous de voir. Vous pouvez aussi apprendre à couper les cheveux de vos proches.
Le corps
Vicky Payeur relate avoir ressenti un mal-être physique très jeune, alors qu’elle avait à peine 24-25 ans. Elle s’est rendu compte qu’elle bougeait peu et ne mangeait pas toujours bien. Pas besoin pour autant de dépenser une centaine de dollars en abonnement à la salle de gym ou en équipement.
Vous pouvez suivre les conseils déjà donnés plus haut (chapitre 8 sur les loisirs). Quant à l’autrice, voici sa routine santé quotidienne :
- Faire une balade dehors de 30 minutes au moins ou faire une activité sportive ;
- Boire de l’eau tout au long de la journée ;
- Soupe et salade au moins une fois par jour ;
- Bien dormir !
J’achète, donc je suis
La pression sociale peut être forte : nous voulons être beaux et belles pour apparaître parmi nos collègues et nos amis. Alors, nous recourons aux moyens les plus aisés… mais souvent les plus coûteux.
Et pourquoi ne pas se simplifier la vie ? Cela ne signifie certainement pas arrêter de prendre soin de soi. Au contraire ! En consommant de façon réfléchie, vous vous sentirez mieux et cela se verra.
10. Famille
« Avoir des enfants, ça coûte de l’argent. » (Faire plus avec moins, Chapitre 10)
Certes. Et même beaucoup. Et pourtant, là encore, il est possible d’économiser. Il n’est pas question de parler ici de l’éducation proprement dite. Simplement de faire un petit arrêt sur image pour se demander ce que nous faisons et se rappeler ce que nous aimions quand nous étions enfants.
Êtes-vous influençable ?
Nous voulons être de bons parents. Alors, nous écoutons les publicitaires nous raconter que ce produit est essentiel au bien-être de notre bambin (ou de nous-mêmes). Nous capitulons devant leurs arguments. Bref, nous nous montrons influençables.
Si vous remarquez ce ciblage marketing, prenez vos distances. Interrogez toujours le caractère « nécessaire » et « essentiel » de ce produit ou de ce service. Cache-t-il un vrai besoin ou seulement un désir ?
Réduire le rythme
Autre point : voulons-nous que nos enfants aient des horaires de ministres ? Pas nécessairement. Ralentir le rythme est à la fois sain pour eux et pour la vie financière de la famille.
Leur créativité n’en sera pas abîmée, détrompez-vous ! Un peu de temps, un peu d’ennui est plus que nécessaire au développement des aptitudes créatrices des petits comme des grands.
Les objets de seconde main
Vos familles et vos amis vous donnent de vieux vêtements et des objets de leurs précédents enfants ? Quel bonheur ! Si ce n’est pas le cas, tournez-vous vers du seconde main dès que c’est possible. Surtout pour les vêtements, qui ont souvent la vie courte.
Bien sûr, la sécurité doit avoir votre priorité : un siège-auto ou ce genre de choses devront être adaptés à votre environnement et devront donc peut-être être achetés neufs.
Emprunter et échanger plutôt qu’acheter ?
Aujourd’hui, il existe de nombreux groupes, notamment sur Facebook, pour s’échanger des objets en tout genre ou emprunter ce dont nous avons besoin. Cela vaut aussi pour les jouets et autres objets infantiles. Pourquoi ne pas essayer ?
La nature comme terrain de jeux
Nous l’avons dit plus haut : le monde autour de nous recèle d’espaces où découvrir le monde et où faire ses premiers pas et ses premières expériences. Il suffit souvent de quelques kilomètres pour trouver un parc ou un espace naturel où faire évoluer son enfant en toute liberté.
« Laisser à un enfant du temps de jeu libre et actif en nature lui apporte de nombreux avantages qui lui rendront service tout au long de sa vie. » (Faire plus avec moins, Chapitre 10)
Les trois cadeaux
La frugalité en famille repose également sur l’apprentissage d’autres voies possibles à côté de la surconsommation. Les cadeaux sont souvent l’occasion d’un excès. Mais pourquoi ne pas en faire un rituel vertueux ?
Vicky Payeur propose d’offrir 3 cadeaux (à se répartir entre parents et grands-parents, par exemple) :
- Quelque chose que l’enfant veut vraiment ;
- Une chose dont il a vraiment besoin ;
- Un livre.
Voici une autre idée : offrir quelque chose de commun pour la famille. Par exemple : une activité à pratiquer tous ensemble.
Conclusion sur « Faire plus avec moins » de Vicky Payeur :
Ce qu’il faut retenir de « Faire plus avec moins » de Vicky Payeur :
« Adopter des habitudes frugales au quotidien est LA façon viable pour atteindre ses objectifs de devenir libre financièrement et de prendre sa retraire hâtivement. » (Faire plus avec moins, Conclusion)
Selon Vicky Payeur, il est souvent difficile de faire jouer son salaire. Nous ne savons pas avec certitude si nous gagnerons plus dans 5 ou 10 ans. Il est donc préférable de commencer dès maintenant à épargner, petit à petit.
Certes, cela demande du travail et quelques efforts. Mais le jeu en vaut vraiment la chandelle. Tant d’un point de vue économique qu’éthique. Finalement, c’est la porte d’entrée vers vos objectifs de vie !
Points forts :
- Un manuel très clairement présenté ;
- Plein de conseils pour commencer à épargner tout de suite ;
- Une belle mise en page ;
- Une annexe avec des recommandations de lectures utiles ;
- Des résumés à la fin de chaque chapitre.
Point faible :
- L’aspect blogging (qui permet d’augmenter ses revenus en faisant quelque chose qu’on aime) est peu abordé, ainsi que les façons plus proactives (placements en bourse, investissements) de développer son capital financier.
Ma note :
★★★★★
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