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Interview d’Alex : Comment bien s’habiller et trouver son look

Interview : alexandrerothlifestyleconseil Dans cette interview, Alex de LifeStyle Conseil nous dévoile quelques astuces et techniques issues de son dernier livre pour repérer les vêtements qui nous mettent en valeur et trouver son look.

Vous pouvez télécharger l’extrait du livre dont nous parlons dans l’interview en faisant un clic droit sur ce lien, puis en cliquant sur “Enregistrer sous”.

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Interview : Ebook Look

Transcription texte de l’interview :

Olivier : Bonjour à tous. Je suis actuellement avec Alex de LifeStyle Conseil. Alex a publié récemment un livre numérique sur le look. Quand on en a discuté, il m’a dit que ça marchait plutôt pas mal, qu’il y avait pas mal de personnes qui étaient ravies d’avoir acheté ce livre. J’ai voulu en savoir un peu plus parce que moi aussi, ça fait plusieurs années que je m’intéresse au look alors qu’il y a longtemps, j’étais quelqu’un qui méprisait un peu ça. Je trouvais que c’était complètement inutile, qu’il n’y avait vraiment que des gens superficiels qui s’intéressaient à ça… J’ai beaucoup appris depuis et j’ai voulu en savoir plus. Bonjour Alex !

Alex : Bonjour Olivier et merci de m’avoir invité pour cette interview.

Olivier : Est-ce que tu peux te présenter un petit peu pour les personnes qui ne te connaissent pas ?

Alex : Pour ceux qui ne connaissent pas, je m’appelle Alexandre. J’ai créé mon entreprise de coaching en séduction et de relooking en 2008. C’est maintenant mon métier à temps plein. J’ai été diplômé d’une école de communication puis j’ai lancé cette société. Je fais essentiellement du coaching en séduction mais aussi en développement personnel et en style de vie, et d’un autre côté, je fais tout ce qui est coaching vestimentaire donc relooking. J’ai récemment publié avec Benoît, qui est le coauteur et qui est rédacteur du site ou du blog même, bonnegueule.fr, un e-book qui s’appelle e-book look. Il reprend un petit peu tout ce qu’on connaît, tout ce qu’on conseille en matière de style masculin. C’est vraiment pour apprendre à s’habiller quand on est un homme.

Olivier : À la base, tu fais des relookings comme coach en fait. Tu aides les personnes à s’habiller. Comment as-tu eu l’idée d’écrire ce livre ?

Alex : Tu as bien amorcé l’histoire. En fait, nous, on faisait et on fait toujours des relookings plusieurs fois par mois. Donc, on reçoit des hommes. On s’est rendu compte qu’il y avait souvent les mêmes problématiques. On s’est dit que ça serait bien que d’autres personnes qui ne font pas de relooking, puissent aussi bénéficier de cet enseignement sans devoir à avoir investir dans un relooking. C’est aussi une bonne chose mais ce n’est pas essentiel pour tout le monde. On s’est dit : « O.K. On pense vraiment qu’il y a un fil conducteur, c’est celui des croyances ! » Si je peux résumer un peu l’e-book, l’idée serait de révolutionner les croyances vestimentaires parce que quand on ne s’y intéresse pas forcément, on pense que c’est une histoire de marques ou de coûts, etc.

Quand on s’intéresse un peu au style, on se dit qu’il faut s’habiller bien cintré, bien coupé ou alors il faut s’habiller chez telle enseigne… Finalement, par exemple, si on prend au hasard, Hugo Boss est une référence pour ceux qui ne connaissent pas vraiment l’habillement. Quand on leur demande : « Où faut-il s’acheter un beau costume ? », ils nous disent : « C’est à Hugo boss qu’il faut aller ! » En fait, chez Hugo Boss, on paye souvent le département marketing et communication plus qu’une belle coupe, plus qu’un beau tissu, plus qu’un beau costume…

Au final, on paye trop cher pour une qualité moindre.

Voilà ! On s’est rendu compte qu’il y avait pas mal de choses comme ça au niveau des croyances, au niveau de comment s’intéresser au style sans commettre trop d’erreurs. On a fait un regroupement. On a pas mal travaillé là-dessus. Au final, on s’est dit même que c’était sûrement le livre qu’on aurait voulu lire à nos débuts. Je pense que l’on ne s’est pas trop trompé là-dessus, en tout cas.

Olivier :

Je pense que c’est un bon indicateur qu’un produit est bon et qu’il un intérêt, quand on se dit : « Quand j’ai démarré, j’aurais vraiment voulu avoir ça ! » Il y a beaucoup de choses que j’ai créées aussi, et sur lesquelles je me suis dit : « Si j’avais eu cela en démarrant, ça m’aurait vraiment fait gagner énormément de temps ! »
Tu dis qu’il y a beaucoup de fausses croyances et d’ignorances. Est-ce que tu pourrais nous dire, d’après toi, ce que c’est le look, ce que c’est que d’avoir du style ? Si tu peux résumer…

Alex :

Vaste question ! C’est un peu comme de poser la question : « quel est le sens de la vie ? » En fait, dans le look, avoir un bon look et un bon style, ça se voit, ça saute aux yeux. C’est un mouvement, c’est esthétique. Quand on voit quelqu’un qui porte bien ses vêtements, on ne se pose pas la question de si ça lui va bien ou de comment il a choisi ses fringues. Quand on sait qu’on ne se pose pas la question, que c’est vraiment relié à sa personnalité et que ça bouge bien, on est sûrement dans ce qu’on peut définir comme un bon look.

Maintenant, il y a aussi pas mal de choses : si quelqu’un qui sait choisir ses vêtements, qui sait les accorder et surtout qui sait porter des vêtements en fonction de la situation… On ne s’habille pas un dimanche après-midi comme on peut l’être dans une soirée ou dans une réception. On ne s’habille pas en été comme en hiver. Il y a plein de petits codes qui font que l’on peut remarquer une certaine élégance chez ces Messieurs. Après, le Look, le Style, je ne pense pas qu’on puisse les définir. Mais en tout cas, on peut essayer de les approcher, de s’y intéresser pour sans cesse s’améliorer… Oui, ça, c’est possible en tout cas.

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Olivier : Qu’est-ce que recherche quelqu’un qui veut bien s’habiller ? A être mieux dans leur peau, à avoir un impact positif sur les autres ?

Alex :

Je pense que c’est un cocktail de tout cela. C’est déjà se faire plaisir à soi-même effectivement et ensuite, il y a tout ce qu’on ne peut pas cacher ni négliger : l’aspect social. Quand on est bien habillé, on a plus confiance en soi. On communique une meilleure image autour de soi. Après, il y a tout ce qui est logistique, c’est-à-dire : comment bien s’habiller sans trop débourser ou quels sont les bons plans ou quelles sont les bonnes boutiques… Après, on l’explique. On l’apporte dans l’e-book. On leur explique : « O.K., vous voulez faire des bonnes affaires ? C’est bien mais vous devriez peut-être vous intéresser aussi à ça. » Par exemple dans l’e-book, on parle du « Zen de la mode ». Je ne sais pas si tu as lu ce passage mais c’est un passage que j’apprécie beaucoup.

Il explique un peu le rapport qu’on a avec la mode, et même au-delà de la mode, du style en général et il essaye d’expliquer notre point de vue là-dessus. C’est peut être aussi intéressant d’envisager le style en terme d’état d’esprit parce que je pense avant tout que pour avoir un bon style, il faut déjà avoir un état d’esprit déjà assez développé, assez clair en ce qui concerne le look sinon on est dans la vision trop utilitariste du vêtement et on loupe quelque chose.

Olivier :

Là, tu prêches un convaincu parce que, comme je le disais tout à l’heure, j’ai eu longtemps cette vision utilitariste. J’étais même dans le dénigrement. Je disais que ceux qui s’intéressaient à la mode étaient vraiment des gens superficiels, des imbéciles qui ne s’intéressaient pas à la profondeur des gens ! C’est pour te dire de là où je pars ! Qu’est-ce que tu as à dire à ces personnes qui disent : « le look c’est superficiel, à quoi ça sert de bien s’habiller » ?

Alex : Je trouve justement qu’il n’y a rien de moins superficiel que de s’intéresser à soi, de s’intéresser à communiquer une bonne image – et même au-delà de s’intéresser à quelque chose qui peut s’apparenter à de l’art presque, à un mouvement stylistique, à une histoire, à des codes qui sont extrêmement intéressants… Il n’y a qu’à prendre par exemple le livre Dressing the Man qui est un livre assez immense sur le vestiaire masculin. On y apprend énormément de choses. C’est hyper intéressant. Ça va bien au-delà de tout ce qui a affaire avec le style et de l’enveloppe. Ça va bien plus loin que ça. Je pense que c’est justement loin d’être superficiel que d’apprendre à connaître tout ça, d’apprendre aussi à se connaître soi-même et ce qu’il nous plaît. Je pense que c’est assez essentiel.

Olivier :

C’est une forme d’art quelque part ! C’est savoir exprimer sa personnalité à travers des couleurs, des assortiments, les petits accessoires qui font la différence… Ne pas passer inaperçu et donner une image de soi cohérente avec nous-mêmes.

Alex : Oui, totalement. C’est ça l’idée.

Olivier : Je pense qu’il y a beaucoup de personnes qui sont en train de nous écouter et qui découvre un petit peu un Nouveau Monde. Si j’avais écouté ça il y a quelques années, je me serais dit : « Waouh ! Je n’ai jamais pensé à ça ! »

Est-ce qu’on peut vraiment apprendre à bien s’habiller juste en lisant un livre ?

Alex : Eh bien, la réponse est non ! Ça va peut-être en décevoir certains mais c’est comme tout et tu le sais parfaitement avec tous les livres que tu as lus, que tu as mis en pratique et que tu as chroniqués. Lire c’est bien, pratiquer c’est mieux ! J’allais même dire : c’est encore mieux ! Comme ça on peut faire les deux à la fois. L’idée c’est que, comme je le dis souvent, parce que 50 % de mon activité est dans le coaching en séduction, il n’y a rien sans pratique. Il n’y a pas de formule magique. Ce n’est pas en lisant beaucoup de bonnes choses qui nous enseignent ce qu’il faut faire qu’on va savoir le faire par magie sans avoir pratiqué un minimum. La mode et le style, c’est comme la séduction, il faut pratiquer.

Il faut essayer un vêtement.

Quand on rentre dans une boutique, il ne faut pas avoir peur d’y entrer même si vous êtes la seule personne qui va rentrer et que le vendeur va vous regarder « comme ça ». N’hésitez pas à poser des questions, à en savoir plus sur la marque, sur la coupe, sur un vêtement, sur une collection. N’hésitez pas non plus à essayer le vêtement. Quand vous le voyez sur un cintre, il ne vous parlera peut-être pas mais un vêtement est quelque chose qui fonctionne en mouvement. Ce n’est jamais figé comme dans une campagne publicitaire ou dans un look book d’un designer. Ça vit, ça s’articule aussi, ça prend la lumière. Par exemple, quand on sort d’une boutique, le vêtement n’a plus la même lumière. Il y a pas mal de choses qui font qu’un vêtement est vivant. Par essence, ça se pratique.

Olivier :

Le premier conseil concret, c’est que voir un vêtement sur un cintre, ça ne suffit pas. Il faut l’essayer pour vraiment avoir une idée concrète de ce que ça va donner sur nous.

Alex : Oui. Mais, même pour éveiller sa curiosité, un vêtement qu’on ne qualifierait pas comme intéressant, une fois qu’on le porte, peut-être que notre avis peut changer. En fait, je vais développer dans les mois qui viennent – je suis en train d’écrire avec Benoît la suite de cet e-book – tout ce qui est vision purement scientifique, geek de la mode. C’est une approche qui a été guidée justement par le phénomène des communautés de séduction qui se sont intéressées à la mode et qui véhiculaient des idées de la mode assez restreintes. On avait une approche quasi scientifique : il fallait s’habiller comme ça pour avoir telle réaction, etc.

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Du coup, on avait une approche complètement dénaturée et assez fermée par rapport à ce que c’était vraiment, à l’immensité de ce que le style pouvait nous offrir. On va pas mal parler de cela. L’approche scientifique, l’approche ultra mathématique de la mode n’est pas fondamentalement une bonne approche. D’ailleurs, ce n’est pas l’approche la plus saine.

Olivier :

Il y aura donc une suite au livre ! C’est déjà prévu !

Alex : Exactement ! En fait, ce qu’il s’est passé, c’est que Benoît et moi nous sommes assez étonnés de ça. On ne s’est pas dit qu’on va faire fortune, que ça allait être un vrai best-seller. On l’a fait avant tout par passion parce que déjà nous adorons ce que nous faisons. On peut passer des heures et des heures à discuter du style au détour d’un café sur une terrasse. C’est vraiment notre truc. Maintenant, c’est ma vie. Je le fais avec pas mal de choses autour mais c’est une véritable passion. On a écrit cela petit à petit. J’ai voulu vraiment un truc bien donc je l’ai donné à une agence de design d’un ami qui m’a fait un joli truc.

C’était vraiment un bel objet avec un très bon contenu. Je me suis dit que je donne vraiment ce que je voulais lire et apprécier. Et ça a marché ! Ça a vraiment bien pris ! Comme on a pas mal de choses à dire, on s’est dit qu’on allait continuer l’aventure.

Olivier : Je n’ai pas lu entièrement le livre mais je l’ai bien lu. J’en ai lu une bonne partie. C’est clair qu’il est rempli de conseils concrets. Il est très, très concret. J’ai bien aimé cette approche : « Voici ce qu’il faut faire pour commencer à bien vous habiller. Voici les étapes débutant/intermédiaire/avancé. » On voit que ce n’est pas conçu comme une bible théorique où l’on se noie. On est très loin de ça. C’est vraiment conçu comme un manuel à mettre en pratique, à appliquer. Il faut aller dans les magasins puis y appliquer les conseils.

Alex :

Exactement ! C’est exactement ça ! Et en plus tu peux le picorer à droite et à gauche. Tu peux ouvrir une page, le fermer, faire autre chose et rouvrir l’e-book sur une autre page, une autre catégorie. Ce n’est pas linéaire, tu peux sans cesse réinterpréter et relire ce livre.

Olivier : Est-ce que tu peux donner un aperçu de ce qu’il y a dans ce livre pour ceux qui nous écoutent ?

Alex : Oui bien sûr ! Le livre est divisé en trois grandes parties : débutant/intermédiaire/avancé. Par exemple dans la partie « débutant », vous pourrez trouver les 15 erreurs les plus communes à ne pas faire, ou un exercice « trier sa garde-robe », ou même au début, on vous donne un listing des marques que nous apprécions, comment trouver les perles. Ce que j’appelle les perles sont vraiment les vêtements qui en valent vraiment la peine. On explique comment faire pour faire un tri et bien vous en sortir pour pas très cher finalement. Il y a dans l’étape intermédiaire un chapitre que j’aime beaucoup : « apprendre à s’habiller ».

On donne des conseils sur la gestion de sa garde-robe ou pour s’habiller dans les bonnes couleurs. Il y a un concept que j’aime bien associer à la fin du peacocking. C’est quand on va à l’encontre véritablement des communautés de séduction et la vision des vêtements qu’ils ont. Le peacocking, c’est un concept qui part du principe qu’il faut s’habiller de manière totalement excentrique pour déclencher des réactions chez les filles. Je trouve que c’est profondément débile. Je pense que se différencier des autres en France est tout simplement le fait de bien s’habiller.

Après, pour finir, pour avancer, j’aime bien la conception autour du « Zen de la mode ».

C’est une vision un peu plus profonde du style. On a des réflexions qui nous tiennent à cœur et après on a toujours des choses plus pratiques : comment choisir un cuir, comment choisir et porter des pièces qui sont haut de gamme, comment faire des choix de pièces ou de marques, etc. Pas mal de choses intéressantes… Je vous laisse y jeter un œil. On a donné aussi un extrait que l’on peut télécharger librement.

Olivier : Je vais mettre le lien en dessous de l’interview. Tu as dit quelque chose d’intéressant : en France, il suffit de bien s’habiller pour immédiatement bien se démarquer de la majorité. C’est quand même un constat un peu affligeant.

Alex : Oui totalement ! Mais tu ne fais pas le même constat par exemple dans l’entreprenariat entre ceux qui veulent faire et ceux qui ne le font jamais ? Ce genre de choses-là, c’est la même chose. Le même schéma se répète chez les gens qui veulent bien s’habiller ; entre ceux qui n’y accordent aucune importance et ceux qui font vraiment l’effort de s’y intéresser, il y aura toujours un fossé. Moi, j’habite à Paris. Pour ceux qui sont un peu parisiens et qui connaissent la défense et le quartier des affaires, il suffit de sortir un peu et de voir les hommes qui sont en costume-cravate. Ils ont toujours une veste trop grande ou avec les épaules tombantes. C’est très fréquent.

Olivier :

Oui, tout à fait. Dans la majorité des domaines, malheureusement la plupart des personnes sont assez médiocres parce qu’elles ne sont pas suffisamment éduquées dans le domaine. Du coup, le simple fait de s’éduquer un minimum et d’appliquer fait qu’on est au-dessus de la majorité de la population.

Alex : Et ce n’est même pas un snobisme ou de l’arrogance ! Très sincèrement, je dirais que c’est aussi s’ouvrir et s’intéresser à ce que la vie peut nous offrir de mieux. Ça fait partie de la culture générale, du savoir être et du savoir-vivre. Ça va avec tout. Ce n’est pas le truc ultra déterminant mais si on s’intéresse au style et à plein d’autres choses, je trouve que c’est toujours intéressant et c’est un très bon axe de développement personnel en tout cas.

Olivier : Exactement ! C’est une ouverture d’esprit. C’est comprendre que l’on peut s’améliorer, qu’on peut changer d’avis sur les choses aussi. Je pense que quand même, bien s’habiller a un impact positif. Quand on sait bien s’habiller, le regard des autres sur nous change. Cela nous donne des atouts dans notre vie personnelle et professionnelle. Il est évident que lorsqu’on parle, qu’on est bien habillé et qu’on a une image positive qui se dégage de nous, on est plus écouté. On a plus d’impact sur les autres. C’est malheureux à dire mais c’est comme ça.

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Alex : Oui, totalement.

Olivier : Pour finir, est-ce que tu pourrais donner un ou deux conseils concrets pour ceux qui nous écoutent, qui aimeraient démarrer, qui sont débutants et qui se disent : « Tiens ! J’aimerais bien aussi me mettre à bien m’habiller » ? Qu’est-ce que tu pourrais leur dire comme conseils ?

Alex :

Premier conseil, je dirais que l’erreur à ne pas faire, c’est de faire un achat de prix mais pas un achat de vêtements. Voilà que je veux dire par là : on vient de sortir de la période des soldes, mais généralement on est attiré par les gros discounts et les grosses réductions. On achète un vêtement parce qu’il a été bien soldé. Du coup, on ne va pas forcément s’en servir, le porter.

On s’est juste dit qu’on a fait une bonne affaire parce qu’on l’a acheté à un prix. C’est une erreur à ne pas faire en général même hors soldes. N’achetez pas un vêtement parce que son prix est attractif. Il faut acheter un vêtement parce qu’il est intéressant, qu’il rentre dans ce que vous souhaitez, qu’il a une bonne coupe et une bonne matière, qu’il va tenir sur la durée et que son entretien ne va pas vous coûter très cher. Ensuite, pour être encore plus concret, si vous voulez commencer, il va falloir offrir à votre garde-robe ce que j’appelle des basiques.

Les basiques sont les éléments fondamentaux de votre garde-robe. Ça peut être une chemise blanche par exemple, un jean bien coupé – pas trop slim ne pas trop large – une veste grise bien cintrée pas too much non plus, une paire de basket grise, une paire de chaussures grises… Les couleurs avec lesquelles je vous conseille de commencer, c’est le noir, le gris, le blanc et le bleu sachant que le gris est la couleur universelle. Contrairement à ce qu’on peut penser, ce n’est pas le noir ni le marron, c’est le gris parce que vous pouvez assortir le gris avec énormément de couleur. C’est vraiment difficile de se planter avec du gris. Donc, voilà !

Après, qu’est-ce que je pourrais vous dire ?

Faites attention à ne pas vous habiller trop grand ni trop moulant. En fait, cintré c’est élégant, moulant c’est « trop montrer ». Cintré, c’est suggérer. C’est plus élégant.

Olivier :

C’est très courant de voir les personnes s’habiller trop large. Une taille ou deux au-dessus…

Alex : Après il y a ce qu’on appelle – et on le développe dans le chapitre avancé- tout ce qui est « oversize ». Mais c’est à un cran au-dessus. Si vous êtes vraiment intéressé à ça et que vous vous y connaissez un peu, vous pouvez vous habiller volontairement trop grand pour certaines tenues. Par exemple, un pantalon de type chino se porte retroussé l’été et un peu large. C’est très confortable et c’est l’objet même de ce type de pantalon. C’est une autre histoire et on en parle dans la rubrique avancée. Je prends un dernier exemple : évitez d’acheter un jean avec un délavage trop appuyé, trop cheap.

A l’origine, cheap veut dire « pas cher » en anglais, mais par extension, par abus de langage, dans notre profession, ça fait référence à un vêtement de mauvaise qualité, bas de gamme, pas beau, qui ne tient pas sur la durée… Les délavages trop contrastés ne sont pas très élégants. Donc, il vaut mieux acheter un jean brut qui va se délaver naturellement au cours du temps. C’est beaucoup plus joli.

Olivier : Très bien, Alex. Je pense qu’on a un bon aperçu de ce que ton livre propose et ce que ça peut apporter. Combien coûte le livre ?

Alex : 19 €.

Olivier : 19 €, comme la plupart des livres. En fait entre l’investissement et ce que ça peut nous apporter dans notre vie, c’est vraiment l’affaire du siècle !

Alex :

C’est tout à fait négligeable par rapport au coût des erreurs qu’on peut quantifier très rapidement. Le coût des erreurs en mode se chiffre très vite. Pour ceux qui nous écoutent, je leur demande de se souvenir ou même de fouiller dès à présent dans leur armoire pour voir le nombre de vêtements achetés et qu’ils ne portent pas. Ils verront que l’investissement est tout à fait négligeable par rapport à ce que ça va leur apporter.

Olivier : Ah oui ! Même dans mon armoire, j’ai beaucoup de vêtements que j’ai achetés et que je n’ai jamais mis. Si l’achat de ce livre peut vous faire éviter un seul mauvais achat de vêtement, ça sera largement rentabilisé.

Alex : Si je peux ajouter juste une petite chose : pour ceux qui ont plein de choses qui trainent dans leur armoire, faites des donations à des associations. Je l’ai pas mal fait aussi. Je viens de le faire récemment avec des amis et quelques membres de la famille. Généralement, ça traine dans la cave. Les vêtements s’abîment dans la cave et ils ne sont finalement plus portables ni utilisables. Faites des dons, il y a pas mal d’associations qui reprennent énormément de vêtements. Je vous conseille de le faire au lieu de gâcher de l’espace chez vous pour rien.

Olivier : Très bien, Alex. Ecoute, merci beaucoup pour ces conseils et toutes ces informations. Je pense que les lecteurs ont maintenant de quoi faire leur choix et lire le livre si cela les intéresse. Ils peuvent télécharger un extrait juste en dessous de cette interview. Merci à toi et à bientôt pour de nouvelles aventures.

Alex : Merci Olivier.

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Ebook Look
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30 commentaires
  1. C’est vrai qu’avec ce livre, on se démarque de la foule de livres fashion pour femmes. Enfin, quelque chose pour les hommes !

    Merci Alex et Olivier !

  2. Bonjour Olivier

    Sympa cette interview sur le relooking, spécial homme !!!
    Et bravo d’avoir déniché Alex, il s’exprime simplement… il donne des exemples précis.

    Olivier, il ne te reste plus qu’a faire la même chose pour les femmes. Je fais de l’accompagnement de dirigeante d’entreprise, et je peux te dire qu’il y a encore beaucoup de travail dans ce domaine.

    Alors dès que tu fais une interview sur cette thématique à destination des femmes… je posterai ton article sur mon blog.

    Bonne continuation.

  3. Bonjour Martine,

    Je suis Benoît, co-auteur du livre et relookeur également. Votre remarque est très juste, mais malheureusement, il n’existe pas vraiment de ressources fiables pour s’habiller dans un contexte professionnel pour une femme… en évitant des tenues trop tristes.

    Le problème, c’est que pour beaucoup d’hommes, porter un costume est suffisant. Qu’il soit bien coupé ou pas, ils s’en fichent, le fait de porter un costume, trop grand ou pas, suffit à en faire des hommes élégants.

    Pourtant, je peux vous assurer qu’au quotidien, je croise des hommes dans des costumes à 800 € qui auraient bien plus de prestance dans un costume Celio à 150 € à leur taille.

    En effet, la taille est la variable la moins maîtrisée par les hommes en matière de costumes, peu arrivent à voir quand un costume est parfaitement à leur taille, car ils n’ont plus de repères.

    Donc, pour faire simple :
    – restez dans des couleurs simples, au début
    – apprenez à repérer un bon cintrage (aucun plis au niveau des aisselles, poitrine qui ne gondole pas, etc)
    – un bon retoucheur peut faire des merveilles
    – entretenez vos chaussures, là aussi, je croise encore trop d’hommes qui subissent leurs souliers au lieu de les chérir

    Bonne journée,

    Benoît

  4. Bonjour,
    Merci pour cette interview. Je regrette seulement de ne pas avoir eu plus d’information sur l’entreprise d’Alex. Comment a-t-il commencé ? Sous quelle forme ? Comment s’est-il développé? Comment s’est-il fait connaître?… D’un point de vue entrepreneurial, j’aurai volontiers découvert son parcourset comment il est parvenu à en faire son métier à 100%.
    Merci

  5. Bonjour Astrid,

    Tu pourras avoir une réponse à tes question dans la seconde interview que j’ai donné pour Olivier sur son site Blogueur-Pro.com à cette adresse : http://blogueur-pro.com/interview-alex-revenus-automatises

    J’ai créé mon entreprise à la fin de mon cycle d’étude en école de communication à Paris. J’ai choisi de créer une SARL en pariant sur le long terme (l’auto entrepreneur n’existait pas encore et l’EURL ne rentrait pas dans le cadre de ma stratégie).

    Je me suis développé grâce à la création de contenu original notamment via la vidéo et des articles qualitatifs. Ensuite je peux dire que ma communauté m’a permis de continuer à bien développer le site puisque j’attache un intérêt particulier à ce que pensent les lecteurs et membres du site.

    J’ai ensuite pu profiter d’une bonne exposition médiatique (Arte, Direct 8, Nrj 12 et bientot M6), ce qui a renforcé ma visibilité et mon autorité.

    Aujourd’hui je développe de nombreux projets dont des produits numériques en maintenant toujours une idée de qualité et de nouveauté. Je ne souhaite pas proposer quelque chose qu’on peut déjà voir ailleurs avec un autre packaging. Je veux proposer des concepts forts et différents, c’est mon crédo.

    Tu en sais maintenant plus, n’hésites pas si tu as d’autres questions.

    Alexandre.

  6. Bonjour Alex,
    Bonjour Olivier,

    Merci pour cet article très intéressant 😉 Cela me rappelle l’importance du paraître en société pour « influencer », à bon escient, les personnes avec lesquelles on parle.
    Depuis tout petit déjà, je conseillais à l’un de mes amis, maintenant trader, l’importance du paraître en société, et tout ceci grâce à un bon style vestimentaire. Fort heureusement il a retenu cette petite chose que je lui rabâchais souvent et dernièrement, après 10 ans de « perdu de vue », il m’a remercié pour ce conseil qui a influencé toute sa carrière, que cela avait fait la différence entre lui et d’autres personnes moins « lookées », à compétences égales, voire même supérieures…
    Pour avoir grandi dans un pressing, je peux vous garantir que les style vestimentaire joue beaucoup et différencie les gens d’influences.
    Que cela soit un style cool, branché ou endimanché, la faute de goût ne pardonne pas, et faire oublier une erreur est beaucoup plus difficile que de faire accepter son look!

    Encore merci pour enfin faire comprendre à nos chers camarades masculins que le look n’est pas une histoire de gonzesse et que surtout cela fait la différence (pour séduire une femme surtout, à bon entendeur ;))

  7. Merci pour l’interview ,cela me bouche un trou parceque quand je sors ,je surveille le regard des gens « est ce que ils ne se moque pas de moi en me souriant ».Je me rends compte que je ne m’habille pas mal,selon ce que je viens de comprendre ils n’avaient rien a redire de mon Look.Encore merci ;je ne serai plus géné par les regards.

  8. @ Bakary

    Attention, tu as une vision du style qui est peut-être un peu trop dépendante des autres.

    L’idéal serait que tu arrives à te détacher de ça, et que tu puisses avoir un regard critique sur ton style. Etre regardé dans la rue sans savoir si c’est parce qu’on a un bon style ou pas (en substance = être à l’aise avec son image ou pas), montre que tu as encore un peu de chemin à faire 😉

    Mais pas de panique, ça vient avec l’expérience !

    Peut-être aussi que tu es un bel homme qui détourne les regards et que tu ne t’en rends pas compte 😉

  9. Excellente interview Olivier et sujet très original et intéressant comme d’habitude !

    Et pourtant, au départ, je n’étais pas particulièrement intéressée par le sujet, cet e-book étant réservé aux hommes et ne m’étant moi-même jamais intéressée à ce sujet au féminin. La mode çà n’a jamais été mon truc, ma tasse de thé et je me suis toujours habillée au gré de mes envies, des saisons et de mes humeurs.

    Mais j’ai souhaité néanmoins écouté cet interview jusqu’au bout uniquement en raison de l’originalité du sujet et parce qu’aussi mon mari souhaiterait changer sa garde-robe. Et je pense avoir trouvé là une belle idée de cadeau utile. A quand un e-book sur le look féminin ? Si ce n’est pas déjà fait, tu devrais y songer Alex !

    Il est vrai que de bien s’habiller a un impact positif mais je dirais aussi que pour avoir envie de bien s’habiller, faut-il être aussi bien dans sa peau !

    Je suis tout de même assez d’accord avec Alex qui dit que le look est « loin d’être superficiel et que c’est même essentiel ». Il faut d’ailleurs y faire particulièrement attention lors d’un 1er RV perso ou pro car la 1ère impression est souvent la bonne et même si « l’habit ne fait pas le moine », c’est un aspect qu’il faut éviter de négliger dans beaucoup de situations. Il faut savoir que beaucoup de gens (et de plus en plus) sont superficiels justement et se font une opinion de la personne uniquement sur son apparence !

    Par ailleurs j’ai moi-même longtemps évité d’essayer des vêtements simplement parce que je n’aimais pas la couleur et pensais (à tort!) que çà ne m’irait pas (encore des croyances infondées!). Je me souviens en effet d’être entrée dans une boutique en fin d’année afin d’acheter un ensemble de soirée et j’ai flashé sur une robe+boléro de couleur violette sublime. Malheureusement lorsque j’ai demandé à essayer, il n’y avait plus ma taille et il fallait que j’attende après les fêtes pour l’avoir. La vendeuse m’a donc incitée à essayer le même ensemble de couleur chocolat. Or je n’ai jamais aimé le marron, ni le noir d’ailleurs, mais comme il y avait juste la couleur qui me déplaisait et que je voulais absolument cet ensemble, j’ai quand même essayé et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que çà m’allait finalement très bien. Je l’ai donc acheté et je l’ai d’ailleurs toujours à ce jour. Et quelques années plus tard, j’ai même acheté le même style d’ensemble de couleur fushia pour l’été. Comme quoi… Je suis donc tout à fait d’accord avec Alex : il faut essayer !

    Autre point sur lequel je suis entièrement d’accord : en tant que femme, je trouve qu’un homme se remarquera d’autant plus qu’il est bien habillé et qu’il soigne son look ! Encore trop d’hommes négligent cet aspect, pensant à tort que c’est secondaire et ils passent alors inaperçus : quel dommage ! Mais les hommes qui prennent soin d’eux, de leur peau, de leur ligne et de leur look font assurément toute la différence et ils le savent bien !

    Je pense aussi que le look n’est pas une question de moyens mais de goûts. Et personnellement j’achète rarement des vêtements mais toujours en fonction de ce que je souhaite à un moment donné et non pas parce que c’est la période des soldes. D’autres points sont essentiels pour moi : la qualité, l’entretien et la longévité.

    Enfin je pratique également régulièrement le don de vêtements à des associations ou à des familles nombreuses que je connais et je le recommande donc aussi.

    Félicitations Alex pour cet e-book sur le look masculin en espérant que tu lanceras un jour sa version féminine. Au passage, tu as une superbe voix et pourrais donc enregistrer des audios également ! Je te souhaite en tout cas un plein succès dans cette entreprise car il y a du boulot à mon avis ! Au fait, as-tu pensé à l’affiliation sur cet e-book ?

    Merci pour ce partage et à bientôt !

    Christine, Coach en bien-être
    http://www.coachingbien-etre.com et http://www.coaching-a-domicile.com

  10. Merci pour cet interview, il ya beaucoup de bonne idées due j’aime et apprecie.bonne définition de l’expression look et avoir du style: je crois que c’est l’essentiel.

  11. Bon travail, continue. Même si on s’accorde à dire que l’habit ne fait pas le moine, il ne faut pas perdre de vue que le moine ne saurait être identifié sans sa tenue. Mercie pour ces conseils aussi important.

  12. @Christine

    Votre anecdote est révélatrice des croyances sur notre image qui nous entravent sans que l’on s’en rendent compte.

    En relooking, Alex et moi sommes aperçus que ce qui freinait nos client la recherche n’était pas forcément un manque de connaissances, mais plutôt un manque de standards.
    En d’autres termes, un homme lambda en matière de mode n’a bien souvent aucune idée sur ce que peut ressembler une belle chemise par exemple. C’est encore plus flagrant quand les seules boutiques qu’il fréquente sont Celi et Jules (et à la limite Hugo Boss). Le rôle du relookeur est donc aussi d’éveiller la sensibilité du client à une belle coupe, un beau tissu, à la tenue d’un col, etc… On s’arrange toujours pour lui montrer des pièces de références en relooking, afin qu’il ait des points de comparaison pour ses achats futurs.

    Essayer plusieurs vêtements de plusieurs marques lui permet aussi de prendre conscience de sa morphologie et de comprendre que certaines marques lui vont, et d’autres pas.

    Enfin, il s’ouvre à d’autres représentations de lui même, et parfois des déclics ont lieu. L’ego n’aime pas trop le changement d’image, il va donc essayer de freiner autant que possible l’envie de nouveautés, c’est pour cela que pour quelqu’un qui n’y connaît rien, avec une self esteem un peu sensible, aura du mal à essayer de nouvelles choses. C’est dans ce genre de cas qu’un oeil extérieur et avisé est indispensable.

    Il y a aussi la notion de plaisir de l’essayage auquel nous sommes très attachés avec Alex, mais cela prendrait des heures à développer…

    Quant à lancer un ebook sur le look pour femmes, je suis assez surpris. N’y a-t-il donc pas pléthore de magazines qui apprennent aux femmes comment s’habiller ? Ou alors vous voulez dire que le message véhiculé est réservé à une poignée de fashionitas ?

    A bientôt !

    Benoît

    PS : cet ebook est disponible sur la place de marché de clickbank 😉

  13. Merci David pour vos précisions !

    Mais je dois dire que je suis encore très loin d’éprouver du plaisir à essayer des vêtements. C’est pour moi avant tout une nécessité absolue ! Il est vrai que je n’ai jamais été très « shopping » et je n’aime pas particulièrement non plus les magazines féminins en général qui sont souvent d’ailleurs bourrés de pub en tout genre ! Sinon que voulez-vous dire exactement par « cet ebook est disponible sur la place de marché de clickbank » ? De quel e-book parlez-vous ?

    Bravo pour votre travail de collaboration avec Alex et à bientôt !
    Christine

  14. Je suis Benoît, et non David 😉

    La notion de plaisir en matière de progression de style est fondamentale, et vous devez savoir autant que moi que prendre du plaisir à ce qu’on fait permet d’avancer très vite.

    Quant à l’affiliation pour l’ebook look, je réponds à votre question. C’est-à-dire que vous pouvez le vendre en tant qu’affiliée sur clickbank 😉

    Bonne journée,

    Benoît

  15. Toutes mes excuses Benoît pour m’être trompée de prénom : oups! Et merci beaucoup pour votre réponse rapide mais comment çà marche l’affiliation sur clickbank ? Je dois dire que c’est un domaine que je ne connais absolument pas ! Il faut sans doute installer un logiciel sur un site, non ? ou existe-t-il simplement un lien qu’on peut mettre dans un email ? Merci d’avance si quelqu’un peut expliquer un peu, sinon j’essaierai de me renseigner par ailleurs ultérieurement… A bientôt ! Christine

  16. Enfin,

    Quelque chose pour aider les hommes à bien s’habiller!!!J’en connais plusieurs à qui cela sera utile!!!

    Merci encore!!!

  17. @Christine :

    Il suffit de se créer un compte sous clickbank et de récupérer le l’URL de l’ebook sur le site, vous pouvez la mettre où vous voulez, c’est aussi simple que ça !

    Je crois que c’est ce qu’Olivier Roland utilise, et je vous invite donc à relire son article sur la monétisation d’un blog 😉

  18. Merci beaucoup Benoît pour votre précision !
    A très bientôt !
    Christine

  19. Ah, les femmes… ça « balise »… pour une fois qu’on a quelque chose de concret pour notre bien-être. L’homme se modernise ! C’est tout de même un peu de votre faute, non ?
    En tout cas, félicitations Alex pour cet e-book sur le look masculin. Sympa cette interview, Olivier.
    Joakim

  20. Excellente interview, notamment le passage de la « définition du look » que j’ai beaucoup aimé !
    Petite question, l’e-book existe seulement en format numérique ou une version papier existe-t-elle ? Si non y en a-t-il une en préparation ?

  21. Bonjour Samir,

    Pour le moment l’Ebook Look existe en version numérique uniquement. Pour le lire sur papier, une bonne imprimante fera l’affaire.

    Alexandre.

  22. je remercie de m’avoir mis à l’ordre par à mon habillement, car c’était vraiment pas pour moi, quelque chose qui mérite une attention particulière et particulièrment au niveau des chaussures.
    j’apprecie tes conseils par rapport au donnation et l’appréciation de la couleur grise et le noir qui me reconfortent, car j’en suis utilisateurs sans penser au look.

  23. J’ai jeté un oeil sur les extraits de cet e-book look et je les ai trouvés vraiment bien faits. Par contre, qu’est ce que c’est cher pour un e-book !! 19 euros pour avoir une version virtuelle d’une centaine de pages. On peut bien entendu l’imprimer mais le résultat est médiocre. C’est vraiment dommage.

  24. Alexandrams, tu n’as pas la bonne mentalité : la valeur d’un livre ne se mesure pas au coût qu’il faut pour le produire, il se mesure à ce qu’il t’apporte dans ta vie.

    Si tu penses que ce livre numérique est si bien fait, ne penses-tu pas qu’il peut t’éviter l’achat d’un seul vêtement à ne serait-ce que 50 € que tu n’aurais jamais mis ou qui ne te serait pas allé ?

    Dans ce cas 19 € est une affaire. D’ailleurs personnellement j’aurai vendu ce livre 97 € 🙂 .

  25. Les magazines qui aident les femmes à s’habiller ne sont en réalité pas très utiles! En gros, lorsqu’on ouvre ces magazines, que lit-on? « Pour bien vous habiller, il faut d’abord trouver votre style… » et là, VLAN on nous sort une liste de style et son descriptif:  » style classique: blablabla…., style romantique: blablabla…., style rock: blablabla… », puis c’est tout!
    Personnellement, ce genre de conseils ne m’apporte vraiment rien, d’où l’ebook pour feeeeeemmmmmmes !!!!

  26. Ping : Interview par “Des livres pour changer de vie” ou comment améliorer son style masculin | AlexandreRoth.com : Lifestyle Entrepreneur
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