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Le succès de votre entreprise passe par un trip à trois

Note : Cet article sur le trip à trois vous est proposé par Rodolphe Simonot. Il vous révèle sur son blog « Tout ce qu’on a oublié de vous dire sur le Lean Management » www.leandigestion.fr

Le succès de votre entreprise passe par un trip à trois

Avant de vous expliquer ce trip à trois, je dois vous raconter trois petites histoires qui ont eu lieu avant cette fameuse soirée. Trois histoires au final assez tristes car elles finissent mal mais qui en disent long sur les raisons pour lesquelles la plupart des entreprises mettent la clé sous la porte moins d’un an après leur création.

Vanessa la visionnaire

Depuis son enfance, je ne me rappelle pas avoir vu Vanessa inactive plus de 3 secondes d’affilée, Vanessa est une véritable pile électrique, autant dans ses mouvements que dans ses paroles ou ses pensées. Avec son enthousiasme débordant, son rire communicatif et ses idées qui virevoltent comme les avions de papiers de la salle de classe. Contrairement à ses copines, elle sait ce qu’elle fera quand elle sera grande : elle sera chef d’entreprise. Car des idées elle en a plein et pendant qu’elle perd son temps sur les bancs de sa classe de terminale, elle voit certaines de ses idées mises en œuvre par d’autres entrepreneurs avec un succès qui aurait du être le sien.

N’y tenant plus, à 19 ans en plein mois de janvier elle décide de tout lâcher car elle sait que sa dernière trouvaille est une mine d’or ; et qu’elle ne supportera pas que quelqu’un la lui pique encore une fois. Malgré les reproches de ses parents, elle crée son business plan. Elle obtient un financement de 5000€ pour lancer son projet et la voilà qui concrétise enfin son rêve; la voici chef d’entreprise sans même avoir eu son bac. Le pire c’est que son business décolle à une vitesse folle. Elle n’est plus en mesure de faire tout le boulot elle-même après 3 mois ; et la voilà qui doit embaucher du monde pour l’aider.

Le carnet de commandes se remplit vite

Trop peut-être, les employés sont rapidement opérationnels ; car Vanessa délègue facilement (surtout les activités qui ne l’intéressent pas toujours).

Puis, un jour, 9 mois plus tard, alors que le business marche à 200km/h, que le carnet est plein que les clients sont contents, c’est une convocation à la banque qu’elle reçoit pour un simple manque de liquidité. On lui accorde 30 jours pour régulariser. Elle s’assoit avec George son nouveau comptable et il lui explique avoir suivi ses instructions sur la mise de fonds nécessaire pour le développement du nouveau produit en retardant le paiement des fournisseurs pour assurer la disponibilité de cash. Suivra un défaut de paiement d’un client majeur qui préfère reporter de 2 mois son solde malgré les pénalités et la banque décidera d’arrêter de suivre. 2 semaines plus tard ce sont les salaires qui ne seront pas versés. Ce fut la fin de l’aventure pour Vanessa.

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Jeanne la manager

De son côté, Jeanne a toujours été au service d’une PME, elle y fait tout. D’ailleurs, le patron ne cesse de lui répéter qu’il ne sait pas ce qu’il ferait sans elle. En effet, Jeanne a, à son actif, la mise en place d’ISO 9001, d’OSHAS, c’est elle qui maitrise les plannings de production et si elle ne suivait pas de loin la logistique, les clients ne cesseraient d’appeler. Son mari lui dit souvent qu’elle en fait beaucoup trop pour la PME ; et qu’elle devrait lever le pied ou bien partir son entreprise et profiter directement des efforts qu’elle déploie.

Elle n’y avait jamais vraiment songé sérieusement. Mais cette année a été particulièrement difficile et son patron ne l’a pas suivie sur tous ses dossierse; et elle en retire une certaine frustration. Une frustration suffisante pour décider de franchir le pas et de démarrer sa propre boîte dans le même domaine. Jeanne, en tant que manager avertie, a bien évidemment prévu tous les cas de figure. Elle connaît la plupart des clients, certains sont prêts à la suivre. Et c’est d’ailleurs ce qui l’a convaincue de se lancer. Après une annonce de son départ difficile, la voilà à la tête de sa propre affaire et tout reste à faire. Bien que les premières commandes sont déjà passées, il lui faut embaucher. Mais c’est elle qui procèdera à tous les entretiens car elle ne veut pas de bras cassé dans son équipe. De toute manière, c’est elle qui validera la qualité des produits de toutes les expéditions; hors de questions de confier cela, surtout au début.

Les premières commandes sont finalement sorties

Un accouchement dans la douleur car Jeanne a tout validé. Cette semaine, elle a fait près de 80h alors que ses employés passent leurs temps à attendre que Jeanne valide, estampille, donne les feux verts, appelle le client, signe les chèques…

Même si certains de ses anciens clients l’ont suivi, ils lui ont récemment clairement indiqué qu’ils ne pourraient pas continuer à subir les retards de livraison. Certains sont déjà retournés chez son ancien patron. Jeanne sent que la situation est en train de lui échapper et remet des processus et des règles plus efficaces en place pour éviter les attentes de validation sans pour autant renier les principaux processus prêts à être audités et validés ISO9001 ce qui constitue une certaine fierté pour Jeanne. Pourtant, les délais ne se raccourciront pas, la faute à ces bras cassés qui ne font pas l’effort d’accélérer le processus et le carnet de commandes commence à se vider. Jeanne n’a jamais vraiment été en mesure de vendre correctement un produit et là au cœur de la tourmente elle ne sait plus où se tourner et quoi dire à ses clients qui, désolés, la quittent, faute de résultats.

Pierre l’expert

Pierre, quant à lui, est tombé dedans quand il était petit. Il a grandi avec sa passion, en a fait son métier et aujourd’hui, c’est lui LA référence dans son domaine. Il a désormais 20 ans d’expérience dans plusieurs entreprises de plus ou moins grande taille. Aujourd’hui, c’est une multinationale qui exploite ses compétences. Pierre a toujours eu des relations houleuses avec ses employeurs car comme il dit, « ils ne comprennent rien au métier » et pour lui l’amour du métier passe avant tout, il ne transigera jamais sur la qualité de son travail ! Pierre sait de quoi il parle car c’est lui qui côtoie les clients et ils sont là pour confirmer ce qu’il pense. Ce qui fait rire Pierre, c’est que c’est son superviseur, qui a 15 ans de moins que lui, qui n’y connaît presque rien si ce n’est ce qu’il a bien voulu lui expliquer, qui fait les devis. Il les fait aussi approuver pour finalement envoyer Pierre exécuter la prestation une fois que les multiples autorisations ont été obtenues. Finalement, c’est dans sa camionnette qu’il se sent bien, en route chez un client. Depuis près de 5 ans, ses clients lui demandent de venir au black ou encore de se lancer comme entrepreneur.

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Ils sont persuadés qu’il offrira un service bien plus rapide et mieux adapté que celui que son entreprise offre aujourd’hui.

Ce devis de 30 min pour une prestation de près de 2h30 et la justification du dépassement d’horaire qui va avec, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase et le point de départ de la création de son entreprise. Mais Pierre s’est rapidement heurté aux premières lourdeurs administratives qui le poursuivent avec des demandes de business plan, d’étude de marché et bien d’autres paperasses que lui demande la CCI pour créer son entreprise. Sans tout cela, pas de subvention, lui a-t-on expliqué. Il leur répond que les clients sont là et qu’il n’y a plus qu’à aller les dépanner. Pierre n’obtiendra pas la subvention car son business plan est jugé peu convaincant. Il fera sans eux, il connaît ses clients, il sait ce qu’ils attendent ! Les premiers devis tombent, précis, pas comme avant, les clients sont rapidement dépannés mais les modalités de paiement ne sont pas sa priorité et quelques prestations sont réalisées sous la table, tout le monde s’y retrouve sauf cette maudite banque qui le harcèle dès qu’il rentre dans la zone rouge.

Il leur explique qu’il faut bien payer les matériaux avant de dépanner et que le client ne paie que lorsque la prestation est finie, ce qui est normal selon Pierre. Sans plus d’explications, son fonds de roulement est diminué à 5000€ ce qui est complètement aberrant compte tenu du prix des matériaux que Pierre doit acheter pour les réparations de la semaine prochaine. La banque ne veut pas entendre raison, Pierre claque la porte et menace de changer pour la banque d’en face qui ne suivra pas non plus.

Un trip à trois ?

C’est dans la salle d’attente de la chambre de commerce et de l’industrie que Vanessa, Pierre et Jeanne se rencontrent pour la première fois. Ils viennent tous les trois enregistrer la fermeture de leur entreprise. L’attente est longue et Vanessa commence à expliquer ce qui lui est arrivé à Jeanne. Jeanne lui dit que c’est vraiment dommage qu’il n’y avait pas de manager comme elle dans son entreprise pour règlementer et mettre sous contrôle les différentes activités et processus qui permettait d’assurer la prestation et lui explique que dans son ancienne vie elle excellait là-dedans. Quand Jeanne explique à Vanessa pourquoi son entreprise ferme elle aussi, Vanessa lui dit qu’elle « hallucine », si elle avait été là elle est prête à parier qu’elle aurait convaincu sans faille ses clients de rester le temps que tout se remette en ordre de marche, c’est d’ailleurs à cela qu’elle a toujours été douée : vendre ses idées, les rendre indispensables avant même de les avoir mises en œuvre. Pierre écoute de loin la conversation et ne peut s’empêcher de leur faire constater que sans quelqu’un qui s’y connaît techniquement, elles se feront berner. Deux femmes avec de bonnes idées et des processus bien organisés ne seront pas en mesure de les mettre en œuvre sur le terrain auprès des clients en restant crédible. Il sait de quoi il parle, il a été pendant près de 20 ans une référence technique. C’est Vanessa qui leur propose le soir même à tous les deux un rendez-vous pour un trip à trois vers le succès de leur future entreprise.

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Ne vivez pas leur destin tragique du trip à trois !

Bien que Vanessa, Pierre et Jeanne n’existent pas, il y en a des centaines d’entrepreneurs qui ont vécu leurs destins tragiques. La plupart avaient pourtant bien été informés des risques sur lesquels ils se sont tout de même échoués.

Contrairement à ce que l’on dit, ce n’est pas en faisant des erreurs que l’on apprend le plus. Au mieux, on apprend ce qu’il ne faut pas faire. Là où vous apprendrez le plus, c’est en ayant du succès car vous y apprendrez ce qu’il faut faire pour réussir. Dites-vous simplement qu’il y a un peu de Jeanne, Vanessa et Pierre en vous à plus ou moins haut degré. C’est à vous de savoir si vous êtes plus l’un que l’autre ou encore que l’un d’entre eux vous manque clairement. Aucun entrepreneur n’est parfaitement équilibré entre le besoin d’être visionnaire pour inspirer le business, d’être manager pour mettre sous contrôle les activités et expert pour être crédible et rester les pieds sur terre.

Pourtant, il vous faudra exceller dans les différentes disciplines exigeantes du métier si vous souhaitez réussir pleinement. Sous l’effet de l’enthousiasme pour créer son entreprise, il est parfois naturel de surestimer ses capacités dans les disciplines que nécessitera le travail d’entrepreneur. Le meilleur indicateur pour mesurer votre capacité dans chaque domaine est de vous retourner et de regarder ce que vous avez accompli dans votre carrière, votre vie privée dans les différentes disciplines de l’entrepreneur.

Si vous êtes un manager capable d’inspirer vos employés au quotidien, d’enthousiasmer les clients avec qui vous interagissez, c’est simplement en vous.

Si vous pensez savoir comment mettre sous contrôle des processus de production car vous avez lu un excellent bouquin sur le sujet, remettez-vous sérieusement en question sur cette dimension.

Certains outils, comme les profils de personnalité Belbin par exemple, peuvent vous aider à être plus objectif. Discutez avec vos proches, vos collègues de ce qu’ils voient en vous. Plus vous aurez de sons de cloches mieux vous serez en mesure de composer votre mélodie. Je vous souhaite plein de succès et si vous pensez que passer le cap de la première année, c’est gagné, je vous invite à découvrir la suite du destin tragique de Pierre cinq ans après !

Par Rodolphe Simonot de Lean Digestion

20 commentaires
  1. Très jolie histoire et qui illustre effectivement très bien ce qui arrive fréquemment lorsque l’on est créateur.

    Je suis à moitié d’accord quand tu dis que ce n’est pas en faisant des erreurs que l’on apprends le plus.
    Effectivement le succès est toujours plus sympa mais personne n’est infaillible, tout le monde fera un jour ou l’autre des erreurs.

    Et je pense qu’il vaut mieux faire des erreurs au début comme l’illustre bien tes histoires plutôt qu’après peut être 5 ou 10 ans d’activité car les conséquences sont beaucoup plus grave…

    Dans tout ce que j’ai pu lire et via mon expérience personnelle, c’est très rare que la 1ère société crée soit couronnée de succès.

    J’en ai crée deux avant d’y arriver et je vais bientôt en créer une autre et mes expériences me permettent d’avancer plus sereinement 🙂

  2. Bonjour,

    Très intéressant comme article. J’ai bien aimé le fait de présenter avec des histoires. Cela m’a pris tout de suite.

    Personnellement dire qu’on n’apprend pas en faisant des erreurs et que c’est le succès qui nous rend meilleur, je nuancerais.

    Je pense que c’est le fait de réaliser des tâches, des objectifs qui nous apprend.

    Dans chaque chose qu’on entreprend chaque jour, on obtient une certain expérience qui se rajoute à celle d’hier.

    Et c’est cela qui nous rend plus fort et meilleur pour l’avenir.

    J’ai monté ma première entreprise il y a 10 ans et je l’ai revendue 2 ans après.

    Cela n’a ni été un échec, ni un succès. Mais cela m’a appris plein de choses pour la seconde que j’ai crée il y a 3,5 ans.

    Car dans toute l’aventure d’une entreprise, nous avons des petits échec set des petits succès qui nous amènent à nous adapter pour réussir les difficultés des jours suivants.

    Je n’ai lu aucun livre sur le lean mais j’ai l’impression de comprendre que c’est une mise en place de procédures strictes pour atteindre un objectif de succès.

    J’ai travaillé dans une entreprise qui obtenait une très bonne rentabilité en mettant en place des procédures mais en laissant les gestionnaires adapter leur travail.

    Résultat : l’entreprise était plus performante que ses concurrents (je parle en terme de pourcentage du bénéfice sur le chiffre d’affaire)

    La procédure, c’est bien mais cela empêche parfois la souplesse et diminue la rentabilité.

    Sinon bravo pour l’article.

  3. @ Geoffroy et Guillaume,

    Je vais préciser un peu plus ma pensée :

    « Contrairement à ce que l’on dit, ce n’est pas en faisant des erreurs que l’on apprend le plus. Au mieux, on apprend ce qu’il ne faut pas faire. »

    Je n’ai pas dis qu’on apprenait pas en faisant des erreurs mais qu’on apprenait plus et plus rapidement en ayant du succès. Cette idée vient d’un livre (c’est ici un blog sur les livres après tout) de Marcus Buckingham « Put your Strenght to work » si je me rapelle bien qui dit en synthèse que :
    Le cerveau humain developpe un réseau de neuronnes beaucoup plus dense dans les zones qui sont sollicitées par la mise en oeuvre de nos forces que les zones sollicitées par nos faiblesses. En clair, qu’essayer de developper nos forces sera bien plus efficace que d’essayer de developper nos faiblesses.
    Ce phénomène viendrait du fait que mettre en action nos forces permet de réussir ce que l’on entreprend et de stimuler positivement les zones cérébrales alors que mettre en action nos faiblesses permet au mieux de faire aussi bien que la moyenne et ne stimule pas autant la zone cérébrale sollicitée par nos faiblesse. Cette zone ne progresse pas aussi rapidement que la zone sollicitée par nos forces.
    J’ai certainement pris quelques libertés d’interprétation mais c’est un livre en anglais après tout…

  4. Je vais sur-renchérir, car pour moi c’est bien en faisant des erreurs qu’on apprend. le diction fait en général référence au fait de faire des erreurs plutôt que de ne rien faire. Donc on apprend en faisant des erreurs PLUS que en ne faisant rien.

    quant à la théorie de Marcus Buckingham, elle fait référence à des concepts qui marchent aussi bien pour les réussites que pour les échecs. En l’occurrence, même dans le cas d’un échec, on apprend beaucoup, surtout des choses que l’on a bien faites !

  5. Bravo pour cet article très clair,

    La leçon que j’en retire personnellement, c’est que pour être un chef d’entreprise qui gagne, il faut être … schizophrène !

    Je veux dire qu’il faut être à la fois Pierre, Jeanne et Vanessa(multi-compétence).

    Et que si on le n’est pas, on a intérêt à savoir s’entourer…

  6. On m’a renvoyé à ce site par un ami et il a été utile. Il ya beaucoup de messages informatifs ici. Le temps passé ici, est vraiment un temps bien dépensé.

  7. bonjour

    j ai connu la même mésaventure il y a quelques années. Je me suis lancé mais mal accompagné. Résulytat je me suis planté. je connaissait pourtant bien mon domaine. L ‘enseignement que j en ai tiré a été trés profitable puisque aujourd hui je sais quelles sont les erreurs à ne pas commettre. Un public averti en vaut deux dit on !

    Merci pour cet article.

  8. Bravo pour ton article.

    moi je n’ai pas encore d’entreprise, pourtant j’ai fait un bout de chemin avec « Agir & reussir en 2010 » pour me rendre compte que j’aimais aussi le blog.
    Je viens de retrouver un livre sur « Savoir gérer des activités multiples » de Christian Robin.
    Je suis comme Vanessa, quand je vois mes idées mises en pratique je me dis que j’étais sur le bon chemin.
    J’ai travaillé sur « l’art d’aller à l’essentiel »
    Je pense qu’il faut savoir aussi déléguer,ça c’était le problème de Jeanne, et Pierre aurait du faire son étude de marché , se mettre en bonne relation avec le banquier, cela aurait éviter la perte de son fond de roulement.
    mais si ton histoire est factice, des éléments son important pour réussir une entreprise
    Merci olivier de nous faire réfléchir à tous ces détails

  9. bonjour OLIVIER
    c’est très bien ce que vous faites, je compte écrire des eBook dans un premier temps et les vendre sur le net, c’est vrai que l’on peut en vivre mais je souhaitais savoir d’abord le coût approximatif du démarrage et ensuite avec les démarches et pub, charges etc … cela à sans doute un certains prix à ne pas OUBLIER
    MERCI OLIVIER

  10. Bonjour!
    Bravo pour cet article,
    Merci de nous faire réfléchir sur certains éléments de la vie de l’entreprise. je raffole de devenir mon propre boss et je suis aujourd’hui dans une activité du MLM ou marketing réseau et je ne vous dis pas combien d’erreurs j’ai commises en abordant mes potentiels partenaires. Merci

  11. Salut Olivier,

    Je viens essayer d’apporter ma petite touche personnelle à l’article que tu as posté. Je trouve également que le fait d’exprimer des idées par des histoires absorbent tout de suite le lecteur (ou la lectrice)

    Mon expérience en matière entrepreneuriat est très limité voir inexistante !!! Mais l’article m’a interloqué car je me suis toujours considéré comme un 4×4. C’est à dire pas un expert dans un domaine particulier mais plutôt un touche à tout.

    Et je pense que c’est important dans la vie (comme dans l’entrepreneuriat) d’essayer pour se forger une idée. Pour se dire : “Je suis bon dans ce domaine mais par contre je ne suis vraiment pas doué dans celui-ci“. C’est ainsi que l’on sait l’aide qui peut nous être apporté (côté Management ou côté Produit ou encore Vente…)

    Ma philosophie de vie est que l’on se créait tout seul mais que l’on a besoin des autres pour avancer. Merci Olivier pour cette article, en attente de te lire de nouveau.
    Philippe

  12. très belle article avec des histoires vraiment passionnants.

    l’une des clés du succès est de savoir s’entourer et il faut le savoir très vite.

    Suivre des personnes qui ont déjà réussi dans un domaine nous permet d’évoluer rapidement car même si on ne peut s’empêcher de commettre des erreurs, on s’en évitera de nombreuses autres.

  13. Bonjour,

    je ne sais pas si c’est une généralité, mais j’ai toujours plus appris de mes erreurs que de mes réussites (j’ai crée et fermé trois entreprises avant de réussir la quatrième). en fait j’ai l’impression que nos erreurs nous aides à nous concentrer sur ce que souhaitons accomplir de nouveau et je pense qu’on doit certainement utiliser également nos réussites, mais de façon complètement inconsciente.

  14. Bonjour,

    je ne sais pas si c’est une généralité, mais j’ai toujours plus appris de mes erreurs que de mes réussites (j’ai crée et fermé trois entreprises avant de réussir la quatrième). en fait j’ai l’impression que nos erreurs nous aides à nous concentrer sur ce que souhaitons accomplir de nouveau et je pense qu’on doit certainement utiliser également nos réussites, mais de façon complètement inconsciente.

  15. ce que j’ai compris de l’article pour en tiré profit des erreurs des autre il faut apprendre a les évité la première des chose gagné du temps un article instructive merci

  16. Ping : Le tri
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