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La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle

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Résumé de « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle » de David Pelas : ce petit ouvrage est une brève introduction à la PNL, ou Programmation Neuro Linguistique. Il est un condensé de ses champs d’application, de ses présupposés et de ses outils comme méthode de thérapie, de communication et de développement personnel.

Par David Pelas, 2020, 101 pages.

Chronique et résumé de « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle » de David Pelas

Introduction

En introduction de son livre sur la PNL, ou Programmation Neuro Linguistique, David Pelas explique en quoi cette méthode peut nous permettre de devenir davantage maître de nos comportements. Son objectif, précise l’auteur, est de « briser la glace avec la PNL ». Par une approche globale et simplifiée de la PNL, et des exemples applicables facilement, il souhaite nous faire comprendre :

  • Que la PNL est « une méthode originale, sophistiquée, aux avantages quasi illimités » dans notre quotidien.
  • Comment nous pouvons utiliser quelques outils de PNL très simplement.

Chapitre I – La PNL, c’est quoi ?

David Pelas commence son livre en expliquant que notre cerveau peut être à la fois notre sauveur comme notre saboteur.

La PNL ou Programmation Neuro Linguistique consiste, en fait, à utiliser la « magie du cerveau », autrement dit ses processus, sa mécanique.

1.1 – La naissance de la PNL

La PNL est née dans les années 70 aux USA :

  • D’une collaboration entre Richard Bandler, informaticien et psychologue, et John Grinder, linguiste et psychologue.
  • de l’idée qu’il est possible de maîtriser son cerveau et de s’en servir pour obtenir les comportements que nous souhaitons.

1.2 – Les stades de l’apprentissage

David Pelas décrit ensuite un principe de la PNL : les quatre stades de l’apprentissage.

Nous sommes :

  • Inconsciemment incompétent ⇒ quand nous ne savons pas que nous ne savons pas quelque chose.
  • Consciemment incompétent ⇒ lorsque nous savons que nous ne savons pas quelque chose ; ou si nous nous mettons à l’apprendre, nous avons, en effet, bien conscience d’apprendre et des progrès qu’il nous reste à faire.
  • Consciemment compétent ⇒ quand nous apprenons quelque chose et que nous observons nos progrès ; nous savons en effet que nous sommes en train d’intégrer des connaissances.
  • Inconsciemment compétent ⇒ quand nous avons appris quelque chose et que c’est intégré, c’est-à-dire que nous faisons les choses automatiquement : il ne nous est plus nécessaire de réfléchir à comment les faire.

1.3 – Les axes d’application de la PNL

L’auteur affirme ici que la PNL optimise le principe des quatre stades d’apprentissage, particulièrement dans les trois domaines suivants :

  • La thérapie, y compris l’auto-thérapie ;
  • La communication ;
  • La progression.

1.4 – Notre carte du monde personnelle

La PNL part du principe que nous avons tous notre « carte du monde personnelle« . Elle considère, en effet, que « notre cerveau code toutes nos expériences, notre vécu au travers de divers filtres« . Ces filtres, qui « formatent » chacun d’entre nous d’une façon bien spécifique, sont nos cinq sens, nos conditionnements familiaux, culturels ou encore nos expériences quotidiennes.

1.5 – Les avantages et inconvénients de la PNL

Parce qu’elle apprend à manier la communication, la PNL peut être utilisée à des fins négatives par des tentatives de manipulation par exemple. C’est pour l’auteur le principal inconvénient de la PNL.

L’avantage principal de la PNL, selon lui, c’est qu’elle utilise les processus, et non pas le contenu. Avec la PNL, nous pouvons, indique l’auteur, « faire confiance à notre incroyable machinerie interne, à son intelligence naturelle, à sa perfection ». Il nous suffit juste de « calibrer correctement ou corriger ».

1.6 – Les 11 présupposés en PNL

David Pelas liste les bases de la PNL, ses présupposés, qui sont, à l’origine, des constantes repérées par Richard Bandler et John Grinder.

  • « La carte n’est pas le territoire »

Chacun perçoit le monde, autrement dit « le territoire », à travers ses sens. Et chacun l’interprète à sa manière selon ses filtres personnels. Cette représentation interne, c’est notre propre « carte du monde », qui ne correspond pas forcément à la réalité. Bien sûr, « il n’y a pas une carte meilleure qu’une autre » stipule l’auteur.

  • « Tout comportement est généré par une intention positive »

Selon l’auteur, derrière tout comportement, il existe une intention positive. Même les pires dirigeants, par exemple, qui n’ont aucune intention positive pour les autres, en ont une pour eux.

Il est alors essentiel de repérer quelle est l’intention positive derrière un comportement car il est ainsi possible de « transmuter ». Une situation conflictuelle, par exemple, peut souvent se comprendre et se résoudre en identifiant les intentions positives et en les accordant.

  • « Il est impossible de ne pas communiquer »

« Quoi que l’on dise, quoi que l’on fasse, on communique quelque chose. » Même quand nous ne faisons rien. La PNL optimise la communication. Et David Pelas rappelle ici que la communication ne se fait pas que par les mots, mais dans une immense majorité (92 %) par le para verbal et le non verbal (gestes, attitudes, comportements…).

  • « Corps et esprit agissent l’un sur l’autre »

« L’esprit a des répercussions dans le corps, et le corps sur l’esprit. »

Ainsi, en changeant son comportement par des outils de PNL, nous travaillons en fait sur notre esprit.

  • « S’il est possible pour une personne d’apprendre ou d’acquérir une ressource (une compétence), il est possible pour tout le monde d’apprendre ou acquérir cette ressource » 

La PNL considère, en effet, que les comportements efficaces de certains peuvent être reproduis, modélisés puis appliqués par d’autres.

  • « Le sens de ce que nous communiquons est dans la réponse que nous obtenons »

Selon David Pelas, « ce que nous recevons est en lien avec ce que nous envoyons« . En être conscient permet d’être acteur de ce qui se passe dans notre environnement. Par exemple, lorsqu’un praticien PNL n’est pas compris, il ne pense pas que l’autre n’a rien compris mais s’interroge plutôt sur ce qu’il doit changer pour être compris.

  • « Plus on a de choix, mieux c’est, car à chaque moment une personne fait le meilleur choix qu’elle peut »
faire des choix

Plus nous avons d’options, plus la peur et la pression diminuent. Nous sommes ainsi en mesure de choisir ce que nous estimons être le mieux.

  • « Toutes les ressources sont dans la personne »

« Chaque individu possède en lui les ressources pour obtenir ce qu’il désire. Il faut simplement lui apprendre à les utiliser ou à les découvrir » indique l’auteur. Nous devrons toutefois veiller à ce que nos désirs restent réalistes et ne nous conduisent pas à l’épuisement.

  • « Il n’y a pas d’échec, il n’y a que du feedback »

Une action manquée ou un « échec » nous aide à atteindre nos objectifs car c’est, selon David Pelas, « toujours une leçon de ce qu’il ne faut pas faire au prochain essai ».

  • « Si vous n’atteignez pas votre objectif avec un comportement, changez ce comportement »

Un des principes clés de la PNL est la flexibilité. L’idée est, lorsque quelque chose ne fonctionne pas, de toujours essayer autre chose.

  • « Nous ne sommes pas nos comportements »

Avec la PNL, nous apprenons à distinguer l’identité d’une personne de ses comportements.

Cette distinction est utile lorsque nous voulons modifier quelque chose dans notre vie. Si ce changement est de l’ordre de notre personnalité, nous devons comprendre que nous ne pouvons pas changer notre nature. En revanche, si c’est de l’ordre du comportement, c’est faisable.

L’auteur explique en effet qu’une personnalité est un tout alors qu’un comportement est l’extériorisation d’une part de celle-ci, influencée par une émotion.

Comme facteurs d’influence, il décrit également ce qu’on appelle les niveaux logiques. Ceux-ci peuvent être représentés comme les couches d’un oignon et sont l’environnement, les comportements, les capacités, les croyances, l’identité et le transpersonnel.

Pour résumer, les comportements sont certes indissociables de la personnalité elle-même, mais ils ne sont pas pour autant inchangeables.

Chapitre II – La perception du monde – La carte n’est pas le territoire

2.1 – Qu’est-ce que la carte et le territoire ?

Dans ce chapitre, David Pelas décrit deux termes métaphoriques en PNL :

  • La carte ⇒ c’est la vision du monde propre à chacun.
  • Le territoire ou le terrain ⇒ c’est la « réalité ».

Autrement dit, il existe une réalité, un monde, un décor à l’extérieur de nous-même (le territoire). Et il y a la représentation que nous nous faisons de ce monde, de notre environnement, notre représentation interne de la réalité extérieure (la carte).

La perception de notre environnement dépend d’abord de notre degré d’attention et de nos filtres internes.

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2.2 – Les filtres

  • Nos sens : le VAKOG (Visuel Auditif Kinesthésique Olfactif Gustatif)

La PNL considère que :

  • Toutes nos expériences sont réceptionnées par nos sens qui sont nos points d’entrée, puisqu’elles sont envoyées vers notre cerveau « qui les code sur notre disque dur central ».
  • Chaque personne possède, parmi ses 5 sens, un canal d’entrée principal et un canal d’entrée secondaire. Pour la majorité des individus, le visuel est le canal principal, l’auditif est le secondaire.

Dans l’idée de changer un comportement par exemple, la PNL va utiliser les canaux favoris de chacun pour se remémorer des souvenirs et mieux se connecter aux émotions d’une expérience passée du comportement à changer.

L’auteur mentionne une autre technique de la PNL liée au VAKOG : le focus sur les mouvements oculaires. Les praticiens en PNL considèrent que la direction de nos yeux a une signification : celle-ci peut, en effet, indiquer le questionnement, le souvenir, le visuel…

  • Nos expériences propres

Les données de toutes nos expériences sont infiniment nombreuses. Il nous est impossible de toutes les conserver dans notre « conscient ». Elles sont donc automatiquement enregistrées en « veille », « en arrière-plan », dans l’inconscient, ou le subconscient, indique l’auteur.

Tout ce qui est ainsi classé devient des références dans nos actions et nos décisions. « Ce sont nos filtres » lance l’auteur. Ceux-ci « influencent notre vision du monde et la manière dont nous allons y interagir ».

« Chacun crée sa propre interprétation des choses par ses croyances imprimées dans le conscient et dans l’inconscient. […] Chacun se crée ses vérités personnelles. Et chacun a sa manière de les retranscrire avec ses propres mots. »

Ce sont ainsi nos expériences personnelles qui modèlent nos croyances. Ces expériences prennent place dans notre environnement, la famille, la société et la culture dans lesquelles nous évoluons. 

L’auteur parle ainsi de « formatage« . Il ajoute que la conscience de nos filtres et la PNL peuvent nous aider à nous reprogrammer.

Chapitre III – Les croyances – Notre GPS interne pour le pire ou le meilleur

Pour David Pelas, notre système de croyances est, à l’image d’un GPS, ce qui guide tous nos comportements. « Chaque chose que nous faisons est le résultat d’une ou plusieurs convictions que nous avons » affirme-t-il. C’est pourquoi, il est très utile de savoir les identifier.

3.1 – Qu’est-ce que ces croyances ?

Selon l’auteur du livre « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique », ces croyances peuvent être :

  • Limitantes ⇒ elles nous empêchent de progresser.
  • Neutres ⇒ elles n’impactent pas notre progression.
  • Porteuses ⇒ elles sont sources de progression.

David Pelas décrit ici plusieurs types de croyances pour mieux comprendre. Il cite, par exemple :

  • “Le ciel est bleu” ⇒ croyance collective.
  • “Changer de vie est risqué” ⇒ croyance très répandue et limitante.
  • “Savoir gérer son stress est faisable” ⇒ croyance positive, source d’espoir.

Il y a également beaucoup de croyances qui commencent par « il faut que, je dois, je ne suis pas assez courageux pour, on m’a dit que, etc ».

Finalement :

« La meilleure croyance que vous pourriez installer actuellement est que vous savez que vous ne savez rien. »

Enfin, l’auteur souligne que la meilleure stratégie à adopter est de toujours rester flexible et en apprentissage.

3.2 – Repérer ses croyances

Notre système de croyances s’est construit via la société, nos parents, le reste de notre environnement familial, le contexte religieux (même si nous nous estimons athée), les médias, etc.

Chaque croyance populaire traverse plusieurs phases avant que suffisamment de personnes y croient et la considèrent comme « vérité ». Une croyance, même si elle n’est pas vraie, peut ainsi être acceptée sans que personne n’en comprenne pourtant vraiment le fondement.

L’auteur résume en écrivant :

« Ces croyances sont léguées par ceux qui vous les enseignent. C’est comme ça, un point c’est tout… »

3.3 – Changer ses croyances

Beaucoup d’outils de PNL peuvent nous aider à modifier nos croyances et nos états émotionnels internes.

L’auteur souligne que ces outils nécessitent de nombreuses heures de formation et de pratique pour permettre ce travail en profondeur. Il en cite quelques-uns :

  • Le recadrage.
  • La marelle des croyances.
  • La négociation entre parties (de vous-même).
  • Le changement d’histoire personnelle.
  • La boussole du langage.
  • Le questionnement.
  • La reformulation.
  • Le réalignement des niveaux logiques.
  • L’ancrage.
  • La stratégie “comme si”.
  • Le recadrage en six pas.

Chapitre IV – Les autres couches ou niveaux logiques

David Pelas fait référence à la pyramide de Pavlov (hiérarchisation des besoins humains) pour expliquer les niveaux logiques ou couches d’influence.

pyramide des besoins

De la même façon, l’auteur propose d’imaginer une pyramide. En commençant par le bas de la pyramide, nous aurions les niveaux suivants.

4.1 – Couche d’influence n°1 ⇒ le corps, la sphère matérielle

  • Notre environnement : la société, les membres de notre famille, les habitudes familiales, nos amis, notre travail, nos collègues, le climat, les croyances religieuses, les règles, les normes, les codes sociaux, les jugements, etc. Les deux aspects les plus profonds parmi eux sont probablement :
  • Notre empreinte religieuse : même si on ne pense pas être impacté, les croyances religieuses sont en réalité très enracinées.
  • Le bagage familial que nous portons depuis des générations : par la manière dont chaque génération élève ses enfants, et ainsi de suite…
  • Nos comportements : les comportements sont influencés par le niveau du dessous (l’environnement) et influencent le niveau du dessus (croyances). La PNL considère que nos comportements impactent notre capacité à acquérir de nouvelles capacités et ressources.

4.2 – Couche d’influence n°2 ⇒ le coeur  

A ce niveau-là se trouvent les croyances. Celles-ci sont influencées par les niveaux du dessous et influencent le niveau d’au-dessus qui est le niveau de l’identité.

4.3 – Couche d’influence n°3 ⇒ la conscience  

Tout en haut de la pyramide, se trouvent l’identité, puis le transpersonnel, c’est-à-dire « le tout auquel nous appartenons ».

Ces trois catégories – corps, cœur et conscience – correspondent aux trois plans d’une personne. En PNL, il existe des outils pour travailler sur ces niveaux logiques un par un ainsi que que pour travailler sur leur alignement, leur cohérence, en partant du bas ou bien du haut.

Chapitre V – Un levier puissant, les émotions

Nous sommes des êtres faits d’émotions, et même si ces dernières ne sont pas très bien considérées dans nos sociétés actuelles, l’auteur insiste sur le fait qu’elles représentent un levier puissant.

Pour la PNL, les émotions, tout comme le mental, sont essentielles. Elles font partie de l’Homme. Elles peuvent nous détruire (« les maladies viennent de nos émotions non libérées » indique l’auteur) ou nous sauver.

Utilisée dans un but thérapeutique, l’idée de la PNL est de connecter la personne à une situation de son passé traumatique par deux portes d’entrée : les souvenirs et les émotions. En effet, une fois de retour dans l’émotion traumatique, la PNL va chercher à « changer l’empreinte de la situation dans le corps » en identifiant et boostant l’émotion porteuse de la personne en thérapie.

Chapitre VI – Les trois axes d’application de la PNL

6.1 – La communication

La PNL est très utilisée en communication. Elle est en effet particulièrement utile aux orateurs. Les politiciens notamment se servent de connaissances en PNL pour mieux se faire entendre et être écoutés. Certains peuvent même l’employer à des fins de manipulation.

6.2 – La thérapie

La PNL permet de :

  • Combattre nos peurs irraisonnées sans pour autant nuire à notre système de survie.
  • Dépasser des situations traumatiques de notre passé.
  • Reprogrammer des émotions destructrices (colères, jalousie, peurs, etc.).

L’auteur prend ici pour exemple sa situation personnelle. Il raconte, en effet, comment il a, lors d’une formation en PNL, réussi à vaincre une peur profonde : sa phobie des serpents.

Lors de cet exercice thérapeutique, l’enseignant en PNL l’a ramené dans une situation de grande peur d’un serpent. Il a d’abord recherché ses canaux d’entrée en utilisant le langage et en se synchronisant à sa posture. Une fois les émotions présentes, l’enseignant a revisité son souvenir de façon à faire tomber le degré de ses émotions de peur. Il a employé, pour cela, la technique de dissociation simple puis double.

L’auteur nous invite à recourir à cette méthode très efficace pour gérer les situations phobiques ou de grand stress. Toutefois, il met en garde : pratiquer cet exercice peut s’avérer dangereux pour certaines personnes dites « disloquées » ou « dissociées ».

6.3 – La progression vers une meilleure version de soi-même

Avec la PNL, il est possible d’identifier une « stratégie interne d’excellence », c’est-à-dire une façon de faire qui a toujours ou presque abouti à de bons résultats, à une réussite, pour la transposer dans un autre domaine. Il devient ainsi possible de progresser dans de multiples domaines.

L’auteur décrit le processus, comment recourir à cet outil appelé « décodage de stratégie« . Il s’agit de rechercher :

  • Le déclencheur externe (VAKOG – Visuel, Auditif, Kinesthésique, Olfactif, Gustatif).
  • Le dialogue interne qui se déroule dans notre tête, ce que l’on se dit.
  • L’émotion connectée et le besoin que nous cherchons à satisfaire.

David Pelas suggère de faire appel à ce schéma pour tout comportement nouveau à atteindre, d’autant plus qu’il est aussi un puissant levier de motivation.

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L’auteur dit ici caricaturer un peu l’outil de décodage de stratégie, mais globalement, l’idée est celle-ci : reprogrammer ses réflexes pour atteindre un comportement spécifique ou nouveau.

Chapitre VII – Outils et exercices de PNL

Dans l’avant-dernier chapitre de son livre « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle », David Pelas propose 11 outils et exercices de PNL.

réalisation d'objectifs

7.1 – Lecture de son système de croyances pour la réalisation d’objectifs 

Selon David Pelas, la lecture de son système de croyance fonctionne très bien pour des objectifs professionnels, personnels, ou encore de performance sportive.

Cet outil de PNL consiste à repérer, prendre conscience puis changer soi-même ses croyances limitantes.

Il propose de partir d’une situation difficile pour nous – un cap que nous n’arrivons pas à dépasser ou quelque chose que nous ne parvenons pas à réaliser – et de se questionner. L’idée est, plus précisément, de noter ce qui nous a empêché d’atteindre notre but, d’identifier nos besoins et de répondre à d‘autres questions listées par l’auteur afin de réaliser si la situation est vraiment justifiée ou si elle est liée à nos croyances.

« Il faut retenir qu’en faisant cet exercice, vous connaîtrez vos besoins. Qu’à force de se questionner pour voir si c’est justifié ou si c’est une illusion, une excuse que l’on se donne, on peut finalement déjà avoir activé des processus en arrière-plan que l’on ne soupçonne même pas. Vous serez peut-être surpris de voir vos comportements changer rien qu’avec le fait de s’être posé des questions. »

7.2 – Réalisation d’objectif sportif ou préparation mentale

Cet exercice PNL consiste à :

  • Définir un objectif à atteindre.
  • Se visualiser une fois l’objectif réalisé, « au moment de la victoire ».
  • Ressentir l’émotion de joie, les sensations de bonheur une fois cet objectif atteint.
  • Ancrer l’état émotionnel avec un point de pression sur une partie de son corps que nous pourrons facilement presser quand nous le voulons.
  • Stimuler l’ancrage en pressant ce point régulièrement et retrouver l’état émotionnel : « porté par cet état émotionnel, imaginez ensuite le déroulé de la scène jusqu’au point de victoire. Regardez-vous avancer vers la victoire et l’atteindre ».
  • Réitérer cette visualisation plusieurs fois avec activation de l’ancre autant que nécessaire.

7.3 – La boussole du langage ou lecture du langage pour communiquer correctement

Ce qui est appelé, en PNL, la « lecture du langage » consiste à écouter comment s’exprime une personne, son interlocuteur. Il faut surtout être très attentif aux mots utilisés.

Par exemple, si la personne emploie souvent des mots de catégorie visuelle, son sens d’entrée est probablement le visuel.

Ensuite, la pratique de cet outil de PNL vise à communiquer dans le même registre que son interlocuteur sans avoir à réfléchir. Cela nécessite de l’apprentissage et de l’entraînement, mais c’est un outil très utile dans nos interactions, particulièrement lors de négociations. 

7.4 – Synchronisation pour faciliter les échanges

La synchronisation consiste à s’adapter à la gestuelle de son interlocuteur. En établissant un lien, un rapport avec un interlocuteur, et pratiqué avec bienveillance, cet outil peut rendre nos échanges avec les autres très riches. 

7.5 – Défi des 10 jours

L’auteur nous invite à nous challenger avec le défi suivant : « zéro pensée, émotion ou comportement destructeur ou non constructif » envers soi-même, les autres et son environnement pendant 10 jours. En cas de pensées, émotions ou comportements négatifs plus de 10 minutes, l’idée est de prolonger le défi de 10 jours supplémentaires.

Le but, avec ce défi, est de cesser de se saboter.

David Pelas propose un exercice supplémentaire à réaliser en même temps que ce défi, deux fois par jour : fermer les yeux et essayer de vivre, de ressentir l’état émotionnel qui découlerait de la pleine réalisation de soi-même.

7.6 – Ancrage

L’ancrage est une technique en PNL qui permet, comme son nom l’indique, « d’ancrer une émotion positive, une sensation agréable que l’on peut activer en cas de besoin » :

« Un ancrage est de manière simpliste une empreinte dans le corps. Une sensation installée dans le corps que l’on peut activer à souhait. Beaucoup d’ancrages sont automatiques. »

Pour cela, il faut alors se remémorer la situation en question très précisément, la ressentir comme si nous la vivions au présent. L’auteur explique ici comment procéder :

« S’il vous manque de la joie et que c’est ce dont vous avez le plus besoin, souvenez-vous d’une situation où vous avez éprouvé une joie tranquille, porteuse. […] Tâchez de vous remémorer les détails perçus par vos sens jusqu’à vous sentir à nouveau dans la situation. Jusqu’à pouvoir ressentir à nouveau ce sentiment de calme. Tout en restant dans l’état émotionnel, choisissez un endroit sur votre corps (sur l’avant-bras par exemple) où vous allez appuyer quelques secondes tout en ressentant l’état que vous souhaitez ancrer. Cela va associer l’état à ce point de pression sur votre corps. […]. Vous pouvez ensuite relâcher le point et revenir au vrai « ici et maintenant ». En cas de situation triste, stressante, si vous voulez ressentir cette joie tranquille, vous n’avez qu’à appuyer sur le point d’ancrage avec le même type de pression pour activer l’ancre. »

Il est possible d’ancrer positivement mais aussi de « désancrer » des empreintes dans le corps.

7.7 – Changement de cadre, cadre du « comme si »

Chaque situation est question de perception. En effet, une situation peut être très effrayante pour une personne et paraître paisible pour une autre.

Puisque tout est histoire de perception, alors il est possible de « duper l’ego et le cerveau » déclare l’auteur : simplement en changeant sa perception. C’est le principe de l’outil de PNL appelé « changement de cadre » qui consiste à imaginer, visualiser la situation sous un nouvel angle, en faisant « comme si ».

Cet exercice peut être intéressant pour un entretien d’embauche par exemple. En effet, se visualiser préalablement calme et détendu peut changer la manière dont nous nous présenterons à l’entretien.

7.8 – Métaphore de vie – Écrire sa propre histoire

Cet exercice repose sur la connexion régulière à la sensation agréable de notre vie réalisée, de notre plein potentiel.

Il s’agit, en quelque sorte, de rêver sa vie et d’oser rêver grand.

Pour cela, nous pouvons répondre (tout en restant réaliste en fonction de notre environnement actuel) à la question suivante : « Si nous pouvions avoir notre vie de rêve dans cinq ans, comment serait-elle ?« 

L’auteur nous invite à visualiser et ressentir tous les détails, à écrire les objectifs et les dates approximatives qui en découlent.

7.9 – “Ré-imprinting” sur sa ligne du temps pour éliminer des événements récurrents négatifs

Il nous arrive parfois de vivre les mêmes événements négatifs de façon répétée. Selon l’auteur, il est possible de changer cela en « réécrivant notre histoire« .

Pour cela, l’auteur nous invite à représenter sur le sol une ligne du tempsnotre ligne de vie – puis à suivre les étapes suivantes :

  • Se placer sur cette ligne, au présent, de façon instinctive, et y rester un moment.
  • Puis, toujours sur cette ligne, se positionner sur le dernier événement perturbateur en date. Y rester un moment « en replongeant dans l’événement » pour identifier l’événement d’avant, celui à l’origine de cet événement perturbateur.
  • Reculer jusqu’à cet événement précédent, puis, si besoin, se reposer les mêmes questions, encore davantage jusqu’à trouver l’événement source, autrement dit le plus loin en date.
  • Une fois sur l’événement le plus lointain : laisser les émotions nous envahir, retrouver la partie de nous qui a souffert, identifier nos blessures et le besoin principal qui a été le plus mis à mal. Se demander ce qui aurait rendu notre perception de la situation différente.

Le principe de l’exercice est ensuite d’avancer vers le futur et de repasser par tous les points du passé (du plus lointain au plus récent donc) pour revivre l’évènement :

« Renforcé par ces ressources et connaissances supplémentaires, revivez l’événement et voyez comment la situation aurait pu être différente. Sentez comme votre perception est différente. Recommencez avec tous les points du passé que vous avez identifiés, ainsi que sur le point du présent de votre réalité. »

Cet exercice peut aussi être pratiqué pour retrouver un état émotionnel de joie, de tranquillité, de bonheur ou même une ressource, une capacité (la créativité par exemple) que nous aurions perdu(es) au fil du temps. Le but étant de retrouver, d’ancrer puis d’amener avec soi cet état ou ressource jusqu’au présent et dans le futur.

7.10 – Stratégie de créativité de Walt Disney

La première étape de cet exercice est de décider d’un objectif que nous souhaitons réaliser. Cet objectif doit être élevé : l’auteur nous encourage à être « un peu idéaliste et exigeant ».

Ensuite, l’exercice va consister à jouer le rôle de 3 personnes distinctes : le rêveur, le réalisateur et le critique.

pnl créativité

Voici comment procéder :

  • Délimiter par terre trois espaces distincts pour chacun des trois rôles : nous pouvons, pour cela, dessiner trois cercles disposés en triangle ou utiliser des feuilles de papier sur le sol. Les nommer : 1. le rêveur, 2. le réalisateur et 3. le critique. Puis, au milieu, créer un espace neutre, dit « méta ».
  • Ancrer la bonne vibration sur chaque espace : nous devrons, pour cela, jouer le rôle d’une partie de soi. Par exemple, le rêveur existe bel et bien en nous : il doit pouvoir refaire surface. Même chose concernant le réalisateur et le critique. Le principe est de se plonger dans un souvenir où nous étions dans ce rôle, visualiser le cadre, la lumière, les bruits, les odeurs, etc.
  • Après avoir pris soin de bien ressentir l’émotion de ce moment de créativité, nous retournerons sur l’espace « méta » afin d’ancrer la créativité d’un moment de son passé dans l’espace physique du moment présent. Répéter ce procédé avec le réalisateur et le critique.
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Une fois les espaces ancrés de la bonne vibration, il nous faut revenir à l’objectif que nous souhaitons atteindre et se positionner sur l’espace du :

  • Rêveur : en redevenant le rêveur que nous avons ancré dans cet espace, se demander ce que nous ferions avec notre objectif dans ce rôle. S’interroger sans veto ou barrières mentales, « sans objections, sans jugement, en toute liberté ». L’idée est ensuite de s’observer en train de réaliser son objectif, étape après étape.
  • Réalisateur : s’imprégner de la vibration ancrée du réalisateur « pragmatique », « organisant les étapes, préparant tout ce qu’il faut » et se voir réaliser le plan défini.
  • Critique : sur cet espace, faire un bilan de « ce qui est ok, ce qui ne l’est pas, ce qui n’est pas réalisable, pas réaliste ».

Puis, revenir dans l’espace rêveur avec les expériences du réalisateur et du critique et faire des aller-retours entre les trois espaces (comme si nous réalisions un travail d’équipe) jusqu’à ce que nous nous sentions satisfait du résultat.

7.11 – Cohérence personnelle – Association des différentes personae

David Pelas explique ici que nous possédons tous, en nous, différentes facettes dans notre personnalité : nous sommes parent, époux(se), ami(e), sportif(ive), artiste, professionnel(le), comédien(ne), etc.

Pour rendre ces aspects compatibles et avoir une personnalité égale et des comportements cohérents dans toutes les situations, l’auteur propose un exercice intéressant : « la réunification des personae en étoile« .

Pour réaliser cet exercice, il nous faut créer des espaces sur le sol matérialisés par des feuilles de papier. Chaque espace/ feuille compose une part de notre personnalité. Nous en choisirons donc autant que de facettes de personnalité et les disposerons par terre en étoile, autour d’une feuille représentant le centre de l’étoile.

L’exercice consiste à se déplacer sur chaque pointe de l’étoile, les unes après les autres en procédant toujours de la même façon : ressentir les bienfaits d’une situation où cette facette se manifeste, puis, retourner sur l’espace central en emportant avec soi cette sensation de manière à l’ancrer au centre.

Une fois toutes les facettes intégrées au centre, il nous faut ressentir cet état de satisfaction du fait de leur coexistence, et laisser l’état s’intégrer, s’ancrer en nous le temps que nous voulons. Nous pouvons alors sortir du centre.

Chapitre VII – Mini Lexique Simplifié

Le dernier chapitre de l’ouvrage « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique » est consacré à un mini-lexique simplifié des termes courants en PNL et employés dans ce livre.

Conclusion de « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle » de David Pelas

  • Conclusion de l’auteur dans son livre « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique »

En conclusion, David Pelas souligne à quel point la PNL peut être un outil fabuleux : elle est, selon lui, comme une caisse à outils à celui qui a la volonté de changer et de progresser.

Aussi, l’ouvrage « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique » partage, selon lui, l’essentiel de la PNL. Il permet d’en saisir tous les bénéfices et de commencer à pratiquer la PNL sans entrer dans toutes les finesses de la théorie. Ainsi, grâce à cet ouvrage, « on peut déjà pédaler, même sans savoir comment le vélo est conçu » termine l’auteur.

  • Les 4 idées clés à retenir du livre « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique »

« La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique » développe quatre idées phares :

  • La PNL est une approche efficace dans trois domaines particuliers :
    • En thérapie  : traitement des phobies, des peurs, des traumatismes, des émotions destructrices…
    • En communication : négociation, qualité de nos relations…
    • Pour progresser : réussite professionnelle, personnelle, sportive…
  • La perception que nous avons du monde est liée à nos filtres internes que sont nos sens et nos expériences propres.
  • Nous subissons tous des facteurs d’influences qui se répartissent sur trois niveaux : le corps, le coeur, la conscience. Le niveau d’influence du coeur, composé de nos croyances, est particulièrement travaillé en PNL. La PNL propose en effet des outils pour reconnaître nos croyances limitantes puis les changer en vue de débloquer des situations et se développer.
  • Les émotions sont essentielles en PNL car elles sont la porte d’entrée d’un travail sur soi.
  • Un livre court et succinct pour nous initier à la PNL

« La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique » est un livre très court qui donne aux lecteurs un aperçu global et un condensé des méthodes et présupposés en PNL. Il reste toutefois très succinct. Il ne conviendra donc qu’aux novices en PNL qui y trouveront :

  • Une initiation aux champs d’application de la PNL ;
  • Des outils de base à mettre en place facilement de façon autonome ;
  • Un ton familier et un style très accessible.

Points forts et points faibles du livre La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle

Points forts :
  • Une lecture rapide et très accessible qui nous initie à ce qu’est la PNL.
  • Des concepts faciles à mettre en oeuvre pour démarrer et mieux comprendre les principes de la PNL.
Points faibles :
  • Ouvrage très succinct : les propos parfois très généralistes et des aspects vraiment très survolés peuvent « laisser le lecteur sur sa faim ».
  • Peu d’informations : plutôt une initiation et une présentation des outils et champs d’utilisation de la PNL.

Ma note :

Petit guide pratique de « La PNL : Guide pratique de la programmation neurolinguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle« 

Les quatre stades de l’apprentissage selon David Pelas sont :

· Inconsciemment incompétent

· Consciemment incompétent

· Consciemment compétent

· Inconsciemment compétent

Foire Aux Questions du livre La PNL : Guide pratique de la programmation neurolinguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle

1. Comment le public a-t-il accueilli le livre La PNL : Guide pratique de la programmation neurolinguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle de David Pelas ?

Cet ouvrage a été très apprécié et dévoré par le public à cause des méthodes bien développées par l’auteur, utiles tant dans la vie familiale que professionnelle.

2. Quel est l’impact du livre La PNL : Guide pratique de la programmation neurolinguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle ?

Ce livre, étant comme une porte d’entrée pour la découverte, a permis à une multitude de personnes d’exploiter leurs compétences en PNL, de découvrir ces rouages tout en changeant leur manière de faire et de penser.

3. À qui le livre La PNL : Guide pratique de la programmation neurolinguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle s’adresse-t-il ?

Ce livre s’adresse en général à tout le monde et en particulier à ceux qui sentent qu’il est temps d’avancer et de passer à un autre niveau.

4. Quels sont les outils de PNL pouvant aider à modifier nos croyances et nos états émotionnels internes ?

Il s’agit de :

  • Le recadrage.
  • La marelle des croyances.
  • La négociation entre parties (de vous-même).
  • Le changement d’histoire personnelle.
  • La boussole du langage.
  • Le questionnement.
  • La reformulation.
  • Le réalignement des niveaux logiques.
  • L’ancrage.
  • La stratégie “comme si”.
  • Le recadrage en six pas.

5. Quels sont les trois axes d’application de la PNL ?

Les trois axes d’application de la PNL selon l’auteur est la communication, la thérapie et la progression vers une meilleure version de soi-même.

La thérapie vs le décodage de stratégie

La thérapie Le décodage de stratégie
Combattre nos peurs irraisonnées sans pour autant nuire à notre système de survie Le déclencheur externe
Dépasser des situations traumatiques de notre passé Le dialogue interne
Reprogrammer des émotions destructrices (colères, jalousie, peurs, etc.) L’émotion connectée et le besoin

Avez-vous lu « La PNL : Guide pratique de la programmation neuro linguistique pour réussir sa vie professionnelle et personnelle » de David Pelas ? Combien le notez-vous ?

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9 commentaires
  1. Ce livre est peut-être « très court » mais il est bourré de bons conseils en tout cas ! Je vais très certainement me le procurer prochainement, il y a de très nombreux conseils et outils intéressants. Je n’ai jamais lu d’ouvrage sur la PNL mais j’en connais un morceau via mes formations en développement personnel.

    Merci pour ce bel article 🙂

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