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Résumé du livre EAT : chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire : Même si nous vivons dans une société toxique dans laquelle la nourriture industrielle, la pollution, le stress et les produits chimiques sont omniprésents, il est encore temps d’en réchapper.
Par Gilles Lartigot, 2013, 320 pages.
Note : Cette chronique est une chronique invitée écrite par Ester Ramos du blog audasioux.fr
Chronique et résumé du livre EAT : Chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire
Introduction
Dans cet ouvrage EAT, Gilles Lartigot nous explique que même si nous vivons dans une société toxique pour notre santé, nous pouvons limiter les dégâts. Pour cela, il faut impérativement soigner son alimentation. Nous ne pouvons pas vivre sans nous alimenter. De fait, nous mangeons tous. La plupart d’entre nous effectue même 3 repas par jour. Soigner son alimentation permet d’agir très concrètement au quotidien pour mieux vivre.
Ce livre EAT, comme le suggère son sous-titre « Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire », parle d’alimentation et de son impact sur la santé.
L’auteur Gilles Lartigot cherche à démontrer l’importance de l’alimentation sur la santé. Il dénonce la « société toxique » dans laquelle nous vivons et met en garde contre ses conséquences : le développement de maladies dites de civilisation (obésité, diabète, maladie cardiaque) et la menace sur la reproduction des espèces.
Partie 1. Face à l’abondance, nous faisons souvent de mauvais choix
Dans les premiers chapitres, l’auteur souligne que notre époque moderne est une « époque formidable » dans le sens où nous pouvons encore choisir nos aliments. Nous avons accès à des produits exotiques, bio, industriels, allégés, sans gluten, sans sucre … Pourtant, il constate que nous sommes perdus devant tant de possibilités. Cette perte de repères et une certaine « paresse » nous conduisent à faire des mauvais choix pour notre santé.
“Une alimentation équilibrée de type méditerranéen ou japonais traditionnel peut prévenir 40% des pathologies cardio-vasculaires, cancers et maladies métaboliques et ralentir l’évolution de ces pathologies dans 60% des cas. Il n’existe pas de médicament qui ait cette efficacité.” ― Gilles Lartigot, EAT : Chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire
Partie 2. Le développement de la chimie et la féminisation des espèces
Il précise également que tout un système politico-industriel nous pousse dans la mauvaise voie. Ainsi, le développement de la chimie a conduit au développement exponentiel de molécules de synthèse et de perturbateurs endocriniens environnementaux (PEE). Nous ignorons encore aujourd’hui l’impact sur la santé de ces molécules.
Gilles Lartigot indique qu’il existe 4 sources de PEE :
- Les pesticides et les engrais,
- Les plastiques,
- Les médicaments
- Les phyto-oestrogènes
À la lecture de l’entretien de Gilles Lartigot avec le professeur Pierre Marie Martin, nous comprenons que le développement des PEE n’est pas sans conséquence pour la préservation de l’humanité. En effet, l’auteur conclut que : « Les PEE féminisent les espèces et rendent les mâles stériles ».
L’impact sur la santé est lui aussi inquiétant puisque les femmes exposées aux PEE sont plus enclines à développer des cancers du sein et les enfants ont de fortes chances de développer de troubles du comportement, et de devenir plus agressif.
Toutefois, des solutions existent puisque l’alimentation pourrait ralentir ou accélérer un cancer sur deux. Une alimentation adéquate pourrait prévenir un cancer sur trois ! Ce sont des perspectives très optimistes. L’alimentation a un potentiel de prévention et de guérison insoupçonné. C’est le meilleur des médicaments.
Partie 3. Les conséquences de la course au bas prix
Pendant des années, l’obsession des consommateurs et des industriels était de produire et de consommer une nourriture bon marché. Ce choix résultait d’un contexte particulier : les années de guerre marquées par la famine avaient traumatisé les populations. Ce choix a des conséquences sur nos modes de production, nos modes de vie et sur la qualité des aliments que nous consommons encore aujourd’hui alors que le contexte a bien changé.
Elle conduit à la production de produits de mauvaise qualité
Dans le livre Eat, Gilles Lartigot affirme que cette course aux prix bas nous a finalement coûté cher en matière de santé publique. De plus, elle a entraîné la disparition des petites exploitations agricoles et le développement d’une production agricole industrielle. Aujourd’hui, les denrées alimentaires sont des marchandises comme les autres dont les cours sont fixés en bourse. Cette logique financière pousse à produire des produits de mauvaise qualité pour augmenter les marges et vendre toujours plus. L’auteur analyse comment la course aux rendements a condamné les agriculteurs à utiliser toujours plus d’engrais et de pesticides.
Elle conduit au développement des supermarchés
Cette course aux prix bas a également conduit au développement des supermarchés. La France est le pays où on compte le plus de supermarchés par habitant. Dans son livre Vous êtes fous d’avaler ça, l’auteur et spécialiste de l’agro-alimentaire Christophe Brusset a fait le même constat alarmant : les supermarchés sont les temples de la consommation. Ils sont pratiques, car on y trouve de tout. Le souci c’est que ce mode de consommation nous conduit à oublier la saisonnalité des aliments et nous déconnecte des réalités du monde paysan.
Des alternatives existent mais il faut surmonter des obstacles
En France, des alternatives existent. Les marchés de paysans locaux sont accessibles dans la plupart des villes et des villages français. Il est donc possible en s’informant de faire des choix éclairés et conscients.
Il y a des obstacles. Un des plus gros obstacles est le fait des industriels. Les industriels n’ont pas comme objectif de préserver la santé humaine. Ils emploient la stratégie du doute, financent des études qui contredisent d’autres études qui dénoncent l’impact sur la santé de tel ou tel produit. Ils diffusent des études qui vont dans leur sens. Gilles Lartigot prend l’exemple de l’industrie du lait pour démontrer la désinformation existante. Les données concernant le taux de pesticides présents dans le lait existent, mais elles ne sont pas diffusées. Par contre, tout le monde a en tête le slogan « Les produits laitiers sont nos amis pour la vie ». Les préconisations officielles en matière de consommation de produits laitiers relèvent plus d’une campagne marketing réussie et du lobbying des industriels que d’études scientifiques sérieuses.
Les gouvernements sont souvent impuissants face aux poids du lobbying. Il est donc de la responsabilité de chaque citoyen de s’informer et d’agir à son échelle.
Partie 4. Les animaux sont soumis à des pratiques inhumaines
Gilles Lartigot constate que la consommation d’animaux s’est beaucoup développée depuis les années 60. L’auteur affirme donc dans son livre EAT, que la qualité nutritive de la viande consommée aujourd’hui est très différente de celle produite auparavant.
Les scandales alimentaires illustrent une stratégie dominante : produire et vendre à bas prix
L’augmentation de la consommation d’aliments carnés a conduit à l’adoption de logiques financières et industrielles. On semble découvrir ces pratiques lors de l’éclatement de scandales alimentaires comme le «horsegate» mais elles dominent aujourd’hui l’industrie agro-alimentaire. Pour rappel, le « horsegate » est le nom donné à un scandale alimentaire pendant lequel on a découvert que des industriels avaient remplacé de la viande de bœuf par de la viande de cheval dans des produits industriels afin de diminuer leur coût de production. Ce scandale a mis en lumière une chaîne logistique mondialisée. La viande contenue dans les produits industriels était négociée auprès de « traders » et provenait de différents élevages éparpillés à travers l’Europe. Différents maillons de la chaîne opérant sur ce marché ont caché la nature chevaline de la viande pour tirer les prix vers le bas. Ce scandale traduit une stratégie devenue dominante aujourd’hui : produire des produits carnés au meilleur prix pour les vendre à bas prix tout en préservant les marges.
“Dans le milieu les animaux ne sont pas reconnus comme étant des êtres vivants mais comme des carcasses de viande.” ― Gilles Lartigot, EAT : Chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire
Les abattoirs sont des lieux de torture
Ces logiques financières et industrielles s’imposent également dans les abattoirs. La cadence est devenue le maître-mot. Gilles Lartigot est allé interroger un enquêteur, Jean-Luc Daub, qui a travaillé pendant 15 ans dans les abattoirs pour étayer son propos. Cette interview est très émouvante. Elle s’ouvre sur un fait : on abat 3 millions d’animaux par jour en France soit plus d’un milliard par an. Cette cadence imposée conduit à des dérives qui sont dénoncées régulièrement par les inspecteurs du travail ou les associations qui militent pour la protection animale. Au cours de cette interview, Jean-Luc Daub énumère certaines dérives qu’il a pu constater et qui relèvent du non-respect des règles en matière d’abattage : mauvaise utilisation de la pince, suspension des animaux par les pattes alors qu’ils sont vivants, généralisation de l’abattage rituel (c’est-à-dire sans étourdissement) pour des raisons économiques, abattage d’animaux malades…
Ces logiques sont visibles également dans les élevages industriels dans lesquels les animaux ne sont pas considérés comme des êtres vivants mais comme « des carcasses ». Or, 99% de la production de viande provient d’élevages intensifs.
Gilles Lartigot montre que les hommes qui travaillent dans les abattoirs sont aussi des victimes de ce système infernal. Le turnover est d’ailleurs très élevé dans les abattoirs. Il ne faut pas non plus occulter notre responsabilité en tant que consommateur. C’est aussi nos choix alimentaires qui conduisent au développement de telles pratiques.
Partie 5. Nos choix alimentaires sont des choix personnels
Chacun est libre de choisir son mode d’alimentation
L’auteur dit qu’on ne peut pas imposer ses choix à ce niveau mais qu’on peut éveiller les consciences pour que chacun soit libre de faire des choix en conscience.
Aussi dans les dernières chroniques de EAT, l’auteur met en avant ses choix.
Il fait le point sur certains « super-aliments » qu’il utilise régulièrement : huile de coco, sirop d’érable, gingembre frais, curcuma, piment de Cayenne et vinaigre de cidre de pommes.
Gilles Lartigot plaide pour une réduction du sucre dans l’alimentation surtout des sucres raffinés et la suppression de certains aliments qui n’apportent rien sur le plan nutritionnel.
Il critique les approches traditionnelles en matière de nutrition qui se concentrent sur le nombre de calories ingurgitées alors que l’essentiel n’est pas la quantité mais la qualité des aliments consommés. Ces approches ont favorisé l’émergence de produits comme les boissons dites « light ». Ces produits sont des créations marketing qui permettent de nous déculpabiliser et conditionnent nos goûts. Ils nous habituent au sucre. Ils sont inutiles d’un point de vue nutritionnel et potentiellement dangereux.
L’auteur nous plonge également dans sa cuisine et il livre ses habitudes alimentaires afin que les lecteurs puissent avoir des exemples concrets de ce que représente une « alimentation adéquate pour la santé ».
Il met en avant certains produits comme le miso ou le jus d’herbe
Le miso est une pâte composée de soja fermenté, de riz ou d’orge fermenté, de sel marin et d’eau. Elle présente un grand intérêt d’un point de vue nutritionnel puisqu’elle contribue à l’entretien de la flore intestinale. La flore intestinale est essentielle au bon fonctionnement de notre système immunitaire.
Le jus d’herbe provient de pousses d’herbes de blé fraîchement coupées. Il se consomme pressé à froid. Ce jus a des bienfaits sur la circulation sanguine grâce à sa forte concentration en chlorophylle.
Gilles Lartigot met en avant certains modes de préparation pour pouvoir cultiver ses aliments en ville
C’est le cas de la germination. La germination permet de produire des végétaux frais tout au long de l’année. Elle nous permet de nous reconnecter à une alimentation plus vivante et à faire le plein de protéines et de vitamines nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Les graines germées sont un des rares aliments qui apportent à l’organisme des protéines végétales complètes dans le sens où elles contiennent l’ensemble des acides aminés nécessaires au bon fonctionnement de notre organisme.
Il préconise également de disposer de réserves alimentaires avec des produits de première nécessité
Parmi ces produits de base, on pourrait citer le miel qui peut s’utiliser à la fois en cuisine et en pharmacie. Le miel est un puissant cicatrisant. Il peut également être utilisé en prévention des microbes et des parasites. Il faut toutefois bien faire attention lors de l’achat car un grand nombre de miels industriels sont coupés au sucre. L’auteur est allé interviewer des apiculteurs qui militent en faveur de la préservation de méthodes de production traditionnelles du miel. Il met en lumière l’ « industrie de l’abeille ». On apprend qu’en Amérique du Nord, 2 millions de colonies d’abeilles sont transportées d’exploitation en exploitation pour polliniser des grandes exploitations de fruits. Pour pouvoir supporter le stress du voyage et une alimentation peu diversifiée, les abeilles sont bourrées d’antibiotiques. La disparition des abeilles est liée à de multiples facteurs mais elle est symptomatique d’un système qui marche sur la tête. La course à la rentabilité aura des conséquences irréversibles sur notre écosystème. Sans abeilles notre système immunitaire sera considérablement affaibli.
L’auteur incite à être attentif aux choix des aliments, à privilégier les petits producteurs locaux. L’alimentation doit nous permettre de recréer du lien social.
Il invite également à s’intéresser aux pouvoirs des plantes
Camomille, mélisse, menthe poivrée, ortie.. Une tisane peut être une vraie habitude saine à installer.
Les plantes comme l’ortie sont des trésors de vitamines. L’ail a également bon nombre de vertus.
Enfin, l’éducation est indispensable pour permettre aux enfants de ne pas être manipulés par la publicité et pour acquérir de bonnes habitudes alimentaires. C’est d’autant plus indispensable que le goût s’apprend. Le goût dépend de la culture, qui est un savant mélange entre l’éducation et les pratiques dominantes du pays dans lequel on vit. C’est entre 3 et 6 ans que tout se joue. Les parents ont donc un rôle a joué dans l’apprentissage du goût.
Les enfants ont besoin de modèles, de « superhéros » à qui ils peuvent se comparer. La cuisine est un acte de tous les jours qui peut permettre de concrètement changer les choses et de devenir un « superhéros » du quotidien.
“Une alimentation équilibrée de type méditerranéen ou japonais traditionnel peut prévenir 40% des pathologies cardio-vasculaires, cancers et maladies métaboliques et ralentir l’évolution de ces pathologies dans 60% des cas. Il n’existe pas de médicament qui ait cette efficacité.” ― Gilles Lartigot, EAT : Chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire tags: food, healthy-living 0 likes Like “Le choix de notre alimentation est une forme de résistance contre des structures de pouvoir hégémoniques. C’est une forme de résilience.” ― Gilles Lartigot, EAT : Chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire
Conclusion sur le livre EAT : chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire
Gilles Lartigot constate que « 80% du bol alimentaire d’un individu moyen dans un pays industrialisé est composé de produits transformés pauvres en nutriments ». Ce faisant, la qualité des aliments a diminué. L’utilisation massive de pesticides a des impacts sur la santé humaine encore insoupçonnés comme la cigarette en a eu il y a quelques années.
Face à ce constat, l’auteur conclut son ouvrage par un message optimiste : les solutions existent, l’information est disponible et accessible mais il faut prendre le temps de l’analyser et remettre en question nos habitudes et nos façons de penser. Remettre en question ses habitudes sur le plan alimentaire n’est pas un acte facile. Il n’est pas simple de déconstruire ce qu’on nous a appris. Il n’est pas évident dans nos sociétés de prendre le temps de s’informer, de cuisiner, d’aller à la rencontre des producteurs.
Il n’est pas toujours évident d’expliquer ses choix. Donner l’exemple est le meilleur moyen de défendre ses convictions profondes en matière d’alimentation. Il faut toutefois garder une attitude ouverte et ne pas chercher à imposer son point de vue. Il faut rester humble dans ses ambitions. Nos choix individuels ont un impact mais on ne peut pas forcer les autres à adopter les mêmes comportements. Il faut défendre ses convictions en respectant les opinions des autres.
Le livre EAT m’a beaucoup apporté
Il a contribué à remettre en question mes habitudes alimentaires. Il m’a poussé à mieux m’informer sur les produits que je consommais. De plus, j’ai expérimenté de nombreuses recettes et j’ai découvert la germination ! Enfin, le livre a semé les graines pour le développement de mon blog Audasioux.fr pour aider les gens à vivre selon leurs convictions.
Points forts et points faibles du livre EAT : chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire
Points forts :
- Lecture agréable, livre découpé en 49 chroniques très synthétiques et entrecoupé d’images sur lesquelles on retrouve une « punchline » marquante de l’entretien.
- Les sources sont citées ce qui renforce la crédibilité de l’argumentaire. Cela permet d’approfondir certains points.
- Livre qui permet de mettre en pratique les principes décrits grâce aux recettes présentes à la fin de l’ouvrage.
Points faibles :
- Il est parfois difficile de suivre le fil conducteur et de connaître la position de Gilles Lartigot sur certains sujets. Cela est dû aux entretiens qui ne sont pas forcément retranscrits dans un ordre chronologique. De plus, l’auteur se repose beaucoup sur ces entretiens pour traduire implicitement sa pensée.
- Quelques interviewés habitent en Amérique du Nord, ils décrivent donc le système nord-américain. En tant qu’Européens, on a plus de mal à s’identifier et à savoir si le système décrit est aussi applicable en Europe.
- Le prix du livre le confine à un public restreint. Cela contredit l’ambition de l’auteur qui est d’éduquer et d’éveiller les consciences du plus grand nombre.
La note de Ester Ramos du blog audasioux.fr :
Le petit guide pratique du livre EAT de Gilles Lartigot
Les 4 sources de perturbateurs endocriniens environnementaux (PEE):
1. Les pesticides et les engrais,
2. Les plastiques,
3. Les médicaments
4. Les phyto-oestrogènes
5. Foire Aux Questions (FAQ) du livre EAT de Gilles Lartigot
Foire Aux Questions (FAQ) du livre EAT de Gilles Lartigot
1. Comment le public a accueilli le livre EAT de Gilles Lartigot ?
Ce livre à l’unanimité fut un grand succès au point où il devient rapidement un best-seller et des milliers d’exemplaires ont été vendus un peu partout dans le monde.
2. Quel fut l’impact du livre EAT de Gilles Lartigot ?
EAT a permis aux lecteurs d’avoir une vie plus saine et de lutter à petite échelle contre les lobbies et les industries qui ne se soucient que de l’argent qu’ils gagnent sur notre dos.
3. À qui s’adresse le livre EAT de Gilles Lartigot ?
Le livre de Gilles Lartigot s’adresse à tout le monde sans exception.
4. En quoi la disparition des abeilles est lié ?
La disparition des abeilles est liée à de multiples facteurs, mais elle est symptomatique d’un système qui marche sur la tête. La course à la rentabilité aura des conséquences irréversibles sur notre écosystème. Sans abeilles notre système immunitaire sera considérablement affaibli.
5.Quel est le but de l’auteur ?
Le but de l’auteur, c’est d’amener les gens à être attentif aux choix des aliments, à privilégier les petits producteurs locaux.
Produits de mauvaise qualité vs développement des supermarchés
Produits de mauvaise qualité | Développement des supermarchés |
La course aux prix bas nous a finalement coûté cher en matière de santé publique. | Cette course aux prix bas a également conduit au développement des supermarchés. |
Elle a entraîné la disparition des petites exploitations agricoles et le développement d’une production agricole industrielle. | La France est le pays où on compte le plus de supermarchés par habitant. |
Aujourd’hui, les denrées alimentaires sont des marchandises comme les autres dont les cours sont fixés en bourse. | Les supermarchés sont les temples de la consommation. |
Augmenter les marges et vendre toujours plus | Oublier la saisonnalité des aliments |
La course aux rendements a condamné les agriculteurs à utiliser toujours plus d’engrais et de pesticides. | Se déconnecter des réalités du monde paysan |
Qui est Gilles Lartigot ?
Activiste français en faveur d’une consommation alimentaire saine, loin des supermarchés et de l’alimentation industrielle, vivant entre l’Europe et l’Amérique du Nord. Il est l’auteur du livre « EAT – Chronique d’un fauve dans la jungle alimentaire », publié aux éditions WinterFields en septembre 2013.
Avez-vous lu le livre Eat ? Combien le notez-vous ?
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J’ai aussi la chance de découvrir d’autres livres qui ont beaucoup influencé ma santé. Vous les découvrirez ici, dans ma chronique intitulée Les 3 livres qui ont révolutionné ma santé.
En plus dans « EAT : Chroniques d’un fauve dans la jungle alimentaire » vous trouverez :
49 chroniques autour de l’alimentation et la santé
Ce sont des chapitres assez courts qui abordent l’alimentation et la santé sous un angle particulier. Ci-dessous, vous trouverez l’index des 49 chroniques de EAT. Comme vous pouvez le constater les chroniques de EAT traitent de sujets variés en lien avec ces deux thèmes.
- EAT
- Une époque formidable
- Les fils de l’homme
- Pas bon, pas cher
- La disparition des fermes
- First class pour le Bio
- L’agriculture biologique
- Des pesticides dans le lait
- Mad Men
- La stratégie du doute
- Buvez du lait
- Machines à lait
- Talk to me
- Horsegate
- Le tueur n’attendait pas
- La viande
- Qui mange un oeuf mange un boeuf
- Avec les dents
- Fast-food
- Viande ou poisson
- Une question de choix
- Supers aliments
- Pour some sugar on me
- Les calories ne font pas le poids
- Moins que zéro
- Les alicamenteurs
- Le miso
- Le vert c’est la vie
- Le jus de vie
- Un potager dans ma cuisine
- Mon grand-père était chasseur
- Les vins biologiques
- Overdose
- Notre indépendance alimentaire
- De l’or dans la bouche
- OGM
- Manger des pommes
- Sous pression
- Le lien social
- What else ?
- La cigale et la fourmi
- Apprenons à cuisiner à nos enfants
- Super héros
- Qu’est-ce qu’on mange ce soir
- Ma cuisine
- Une cuisine instinctive
- Et maintenant
- La machine est en marche
- Nos convictions profondes
Le livre EAT est ponctué d’entretiens avec 5 personnalités
- Pierre Marie Martin, un professeur émérite, spécialiste des perturbateurs endocriniens et des cancers hormono-dépendants.
- Jean-Luc Daub, un enquêteur notamment dans les abattoirs.
- Devin Townsend, un musicien.
- Anicet Desrochers et Anne-Virgine Schmidt, des apiculteurs.
- Michel Beaugregard, un herboriste.
Les 32 recettes du livre EAT
Ces recettes permettent d’expérimenter une alimentation naturelle, simple et bonne pour la santé
- Jus rouge vivant
- Smoothies verts
- Lait fait maison
- Hyperdrive Juice
- On the rocks
- Le plein d’énergie dès le réveil
- Quinoa aux pistaches
- Cuisson du quinoa
- Cuisson des légumes
- Salade du lutin rieur
- Houmoux XXL
- Apéro
- Soupe Miso classique
- Éteins la lumière
- Les légumineuses
- Menu express
- Champignons farcis
- Brouillade de tofu
- Soufflé détonnant
- King kale
- Courge spaghetti bolognaise
- Pommes de terre pétillantes
- Eatburger
- Rayon pâtisserie
- Sweet hot dog
- Pancakes
- Pain d’épices
- Powercake
- Persil et coriandre
- Vinaigrettes
- Levure de bière
- Dans ma pharmacie
Si l’alimentation et les bonnes habitudes de vie sont capitales pour vous, la vidéo suivante saura vous intéresser : 🌞 5 astuces prouvées par la science 👨🔬 pour vivre longtemps ⌚et en bonne santé 🏊:
Bonjour,
Merci Olivier Rolland pour la publication.
Il y a 2 ans, je n’aurai pas imaginé oser me lancer.
Depuis, j’ai beaucoup grandi grâce au développement personnel